Bassin parisien

le seul média et son lectorat touche désormais les masses, car l'école libre et républicaine depuis les lois Ferry de 1882 fait progresser l'alphabétisation. •Plusieurs types de presse coexistent. La presse populaire (Le Petit Journal, Le Petit Parisien) touche un large public en cherchant le sensationnel. La presse engagée, ou presse d'opinion, est particulièrement vive dans ses propos. Certains journaux sont de droite, comme La Croix, d'autres de gauche, comme L'Humanité. Des lobbies ou des réseaux

pour la condition humaine, il était humaniste par l’amour de la vie et des gens, qu’il pouvait retranscrire parfaitement dans ses photos en noir en blanc. Le photographe s’adonnait à immortaliser pendant toute sa carrière la vie quotidienne des parisiens, il se disait fidèle à cette endroit, lui-même étant originaire de la capitale.Par ailleurs, sa manière de procéder, tout en simplicité, était la suivante : il circulait dans la ville, il regardait la population, et à cet instant, il éprouvait le

Revue de presse http://img11.hostingpics.net/pics/675081Par14102011.jpg Pour effectuer cette revue de presse, j’ai utilisé le journal « Le Parisien » daté du Lundi 7 octobre 2011. Ainsi, le principal sujet d’actualité qui occupe la majorité de la première page est la victoire de François Hollande pour la candidature socialiste de la présidentielle de 2012. Toutefois, les autres sujets d’actualités présents dans la première page sont : «  DSK veut être entendu dans l’affaire du Carlton »

1665 sous le patronage Colbert - Le Mercure Galant 1 janvier 1777 : parution du premier quotidien français → Le journal de Paris. Il traite principalement d’événement culturel et de faits divers. C’est un gros succès auprès de la population parisienne. Il suivra les événement de la révolution française. 1788 = naissance du Times. 1789 : Liberté de la presse « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme ; tous citoyens peut donc parler

simplement des bleus." ( in Le Matin, Lettre du front, 15 septembre 1914 « Nos troupes, d'ailleurs, maintenant, se rient de la mitrailleuse (...) On n'y fait plus attention » in Le Petit Parisien, L. Montel, 11 octobre 1914 «Les obus allemands ne sont pas si méchants qu'ils ont l'air d'être » in Le Petit Parisien, «Lettre de soldat », 19 janvier 1915. « (...) Mais au moins ceux-là [tués à la baïonnette] meurent de leur belle mort, dans de nobles combats (...) Avec l'arme blanche, nous retrouvons la

chambre. Titres présents L’Autorité, Le Matin, L’Aurore, Le Journal des débats, Le Siècle, Le Gaulois, L’Intransigeant, La Gazette de France, L’Eclair, L’Univers, Le Petit journal (supplément littéraire illustré),, L’Assiette au beurre, Le Petit Parisien (supplément littéraire illustré), Le Rire, L’Illustration, La Bastille, La Libre parole, un journal algérien, L’Antijuif illustré, Le Placard antijuif, L’Avenir antisémite de Toulouse et du midi, « Hebdomadaire illustré », Le Grelot, Le Sifflet,

lectorat touche désormais les masses, car l'école libre et républicaine depuis les lois Ferry de 1882 fait progresser l'alphabétisation. • Une presse contrastée Plusieurs types de presse coexistent. La presse populaire (Le Petit Journal, Le Petit Parisien) touche un large public en cherchant le sensationnel. La presse engagée, ou presse d'opinion, est particulièrement vive dans ses propos. Certains journaux sont de droite, comme La Croix, d'autres de gauche, comme L'Humanité. Des lobbies ou des réseaux

et la compagnie générale de TSF puis sous l’administration PTT. Pendant 20ans il y a une coexistence entre ce service d’Etat et une entreprise privée. Des radios concerts, des informations ainsi que des relations avec la presse notamment le poste parisien travaillent avec la radio. La radio retransmet entre autre des jeux, des retransmissions de théâtre qui va engendrer des conflits avec la presse. II L’Ere de la radio diffusion La radio s’appelait la TSF (télégraphie sans fil).De nombreux métiers

reportage. À la fin du XIXe siècle, les quotidiens atteignent des tirages spectaculaires, le Petit Journal, le Petit Parisien et Le Matin dépassant le million d'exemplaire. L'impact de certains articles est alors considérable, comme le célèbre J'accuse d'Émile Zola dans L'Aurore à l'occasion de l'affaire Dreyfus, ou l'enquête d'Albert Londres sur le bagne de Cayenne parue dans Le Petit Parisien. Après la Première Guerre mondiale, l'expansion de la presse périodique et le développement de la presse régionale

publie des recueils de poèmes, dont La Marche aux étoiles, en hommage aux aviateurs. Mais, très vite, le jeune homme va voir s'éveiller en lui une nouvelle vocation : celle du journalisme. En effet, en 1904, Albert Londres devient le correspondant parisien du journal lyonnais Le salut public. Deux ans plus tard, il est embauché par le grand quotidien Le Matin, pour lequel il rédige des chroniques politiques. En 1914, la première guerre mondiale éclate, le journal Le Matin l’affecte au ministère de