Bataille De Bouvines

l’habitude de les convoquer, le magnum concilium. Afin de les consulter. Et par la suite cela devient une institution a part entière, elle va acquérir des pouvoirs importants, suite a une défaite du Roi d’Angleterre en France, bataille de Bouvines, a l’issu de cette bataille, Le roi dit Jean sans terre, se trouve politiquement affaibli, et se fait prisonnier pas ses vassaux. Ce roi qui est fait prisonnier, va devoir négocier sa libération, a condition qu’il leur abandonne une partie de ses pouvoirs

droit romain. Puisque c'est à partir de ce droit romain que l'empereur fondent sa supériorité. Se sont les armes qui mettent fin aux conflits entre le roi et l'empereur en 1214 Philippe II Auguste écrase l'empereur lors de la bataille de Bouvines. Chapitre 2 : l'institution royale stabilisée. La souveraineté royale en se développent rend deux problèmes plus aigües. D'une part celui de la succession au trône et d'autre part celui de l'intégrité du domaine. Il s'agit au fond

Grand Conseil. Cela enclenche le processus de transformation de ce conseil en institution. Il va se doter d’un certain nombre de pouvoir après la défaire de 1214 où les armées anglaises échouent à la bataille de Bouvines face aux français et le Roi Jean qui est politiquement affaiblie par la bataille est fait emprisonné par ses vassaux et vont monnayer sa libération à condition qu’il fasse un certain nombre de concessions. Parmi ces concessions, on lui demande d’abandonner quelques pouvoirs au Grand

nouveau un triumvirat entre Octave, Antoine et Lépide. Il commence en -43 avec la mort de Cicéron, Antoine ayant pour objectif de créer une monarchie hellénistique en s’alliant avec Cléopatre, en direction de l’Orient. Cette lutte se traduit par la bataille d’Actium en -31 et la mort d’Antoine, Rome est alors totalement maître de l’Afrique du Nord. Le sénat est obligé de négocier avec lui et en -27, le sénat lui reconnait un certain nombre de pouvoirs exceptionnels qui sont un cumul de magistratures

traits, l'histoire des rapports de la nation française et de la nation germanique peut se résumer ainsi : il y a eu antagonisme, conflit violent, chaque fois que l'Allemagne a été une grande construction politique, que ce fût l'Allemagne d'Othon (Bouvines) ; de Charles-Quint (deux cents ans de lutte contre la maison d'Autriche) ou des Hohenzollern, avec toutes les différences que le régime des Othon, des Charles ou des Guillaume comportait. Au contraire, chaque fois que l'Allemagne a été formée

et du dernier débordement celtique à Waterloo, en 1815 ; après trois périodes séculaires celtiques (romaine, catholique et française) et une période teutonique (franke) ? La race celtique occupe le plateau-seuil à l'occident, couvert de champs de batailles dont l'ensemble formé un vaste champ de sang, qu'elle a conquis pied à pied, à travers son apogée et son maximum d'expansion physique et morale, politique et guerrière. C'est le résultat de l'expansion qui vient de finir, et qui fut celle de la plus

largement contournée grâce à la suzeraineté au profit du roi ce qui marque un recul certain de la médiatisation du pouvoir. Après la fin de la première moitié xiiie siècle, on peut constater le rétablissement de la fonction royale. La victoire de Bouvine en 1214 en est une parfaite illustration, attaqué à la fois par Jean Sans-terre à l’ouest, et par l’Empereur du Saint Empire Romain germanique, Philippe Auguste remporet une victoire éclatante et conforte ainsi l’autonomie du royaume de France. Aboutissement

rois de France s'émancipent de ces deux géants. D'abord contre l'empereur, les rois de France revendiquent la auctoritas. Contre le pape, tout d'abord Philippe Auguste refuse d'obéir aux injonctions du pape, cela sera à l'origine de la bataille de Bouvines de 1214. Mais la vraie rupture est organisée par Philippe le Bel qui refuse de payer des impôts au pape, il coupe les vivres de la papauté en s'appuyant sur les États généraux. Le modèle royal s'impose. La rupture contre le modèle féodal :

mais aussi ses institutions et ses lois. On parle donc d’un citoyen-soldat. Question 4 : Un citoyen athénien doit faire preuve d’honneur au combat en respectant un serment pour se montrer à la hauteur de son statut. Par ailleurs, sur le champ de bataille, les hoplites combattent les uns à côté des autres, ce qui prouve leur solidarité. Question 5 : Pour Aristote, le citoyen est avant tout celui qui s’implique dans la vie politique de sa cité. Ainsi, dans la démocratie athénienne, ce sont les citoyens

pour qu’il apparaisse comme le successeur de Charlemagne et parce que auguste à la même racine que l’auctoritas. De plus, Philippe auguste épouse une princesse carolingienne de sorte qu’il renoue avec le sang de Charlemagne. Bataille de Bouvines le 27 juillet 1214 : bataille la plus illustre dans la lutte contre l’empereur germanique : oppose l’armée de Philippe auguste, une coalition anglaise, une coalition allemande et une coalition flamande. Philippe auguste sort victorieux et Otton IV doit battre