Bataille de Solférino

députés du Vaucluse car c’étaient des terres qui appartenaient au pape). Elle se réunit le 21 septembre 1792 pour la première fois. 20 septembre 1792: dernière séance législative qui va décréter le divorce et la laïcisation de l’état civil. Aussi bataille de Valmy qui est une victoire des révolutionnaires contre les autrichiens — > La convention a donc aboli la royauté et proclamation de la Rep. Cette assemblée provisoire va gouverner la Fr jusqu’en 1795. Entre septembre 1792 et 1795: 1ère

remportent victoire un peu partout dans le Nord de Italie, ainsi il ne cesse d’alimenter l’idée d’une conscience italienne, c’est pour libérer le Nord de l’Italie de l’occupation italienne. Mais à partir de mai 1848, défaite de plus en plus cuisante. La bataille de Custoza, Charles Albert et ses troupes sont défaites. L’empereur d’Autriche-Hongrie conserve ses positions en Italie du Nord. Conséquences : * L’unité italienne n’a pu se faire parce que manque de solidarité italienne. Charles-Albert

camarade Coutard évoque Frœschwiller et la déroute, le docteur Dalichamp et l'épicier Simonnot nous montrent les colonnes serrées de Bavarois envahissant Raucourt; et, le lendemain de Sedan, c'est avec Silvine Morange que nous visitons le champ de bataille, plein de morts, de rôdeurs, de chevaux affolés. Un procédé analogue a permis de mettre ici quelques figures historiques ou légendaires, dont Zola nous a dessiné la silhouette. Nous verrons donc passer Aristide Saccard, affichant madame de

Henry Dunant de Genève. Le 24 juin 1859, au moment de la guerre pour l’unité italienne, les armées franco sardes ont affronté les troupes autrichiennes autour de Solferino une petite ville d’Italie du Nord. Et Henry Dunant découvre avec horreur les 9000 blessés et à sont retour à Genève, il écrit un livre : Souvenir de la bataille de Solferino, à la fin de son récit il pose deux questions essentielles : - N’y aurait-il pas moyen pendant une période de paix et de tranquillité de constituer des sociétés

instabilité, les grosses sommes aussi vite perdues que gagnées : jamais il n'avait dormi sur le million réel, ne devant rien à personne. Et, à cette heure où il faisait son examen de conscience, il se disait qu'il était peut−être trop passionné pour cette bataille de l'argent, qui demandait tant de sang−froid. Cela devait expliquer comment, après une vie si extraordinaire de luxe et de gêne, il sortait vidé, brûlé, de ces dix années de formidables trafics sur les terrains du nouveau Paris, dans lesquels tant

instabilité, les grosses sommes aussi vite perdues que gagnées : jamais il n’avait dormi sur le million réel, ne devant rien à personne. Et, à cette heure où il faisait son examen de conscience, il se disait qu’il était peut-être trop passionné pour cette bataille de l’argent, qui demandait tant de sang-froid. Cela devait expliquer comment, après une vie si extraordinaire de luxe et de gêne, il sortait vidé, brûlé, de ces dix années de formidables trafics sur les terrains du nouveau Paris, dans lesquels tant

l'opposition, et notamment du fait de la campagne italienne : l'Armée françaisesoutien l'unification de l'Italie en alliance avec le roi du Piémont.      La bataille de Solferino s'inscrit dans cette campagne. Elle a son importance car un citoyen suisse, Henry Dunant, convainc les populations locales de s'occuper des blessés laissés sur le champ de bataille. Il crée progressivement un mouvement de soutien aux blessés de guerre, la Croix rouge : Henry Dunant sera le premier prix Nobel de la paix, en 1901

instabilité, les grosses sommes aussi vite perdues que gagnées : jamais il n’avait dormi sur le million réel, ne devant rien à personne. Et, à cette heure où il faisait son examen de conscience, il se disait qu’il était peut-être trop passionné pour cette bataille de l’argent, qui demandait tant de sang-froid. Cela devait expliquer comment, après une vie si extraordinaire de luxe et de gêne, il sortait vidé, brûlé, de ces dix années de formidables trafics sur les terrains du nouveau Paris, dans lesquels tant

instabilité, les grosses sommes aussi vite perdues que gagnées : jamais il n'avait dormi sur le million réel, ne devant rien à personne. Et, à cette heure où il faisait son examen de conscience, il se disait qu'il était peut−être trop passionné pour cette bataille de l'argent, qui demandait tant de sang−froid. Cela devait expliquer comment, après une vie si extraordinaire de luxe et de gêne, il sortait vidé, brûlé, de ces dix années de formidables trafics sur les terrains du nouveau Paris, dans lesquels tant

service de santé restreint, manque de soin, la moindre blessure entrainait mort et amputation etc. Ils abandonnaient les blessés sur les champs de bataille. On va développer des solutions: - Henry DUNANT: Suisse, qui arrivera après la bataille a SOLFERINO a ce moment là, les armées sont parties laissant les blessés et morts sur le champs de bataille, et DUNANT observe que c'est les habitant, les civils qui vont apporter les soins, et c'est la qu'il a l'idée de créer des sociétés de secourt qui partent