Bataille de Waterloo

toutd’abord avec la représentation exacte du temps, des lieux et de la vie quotidienne. Les auteurs réalistes et naturalistes renvoient souvent à des événements historiques de leur époque. Dans La Chartreuse de Parme par exemple, onassiste à la bataille de Waterloo. Ces auteurs font également référence à des lieux réels. Ainsi, dans l’Assommoir de Zola, le quartier de la Goutte d’or est précisément décrit, et le Boulevard de la Chapelle [à continuer]

(Antée) Le gamin des rues devient un personnage mythologique Comparé à un oiseau (métamorphose filée) : moineau (=oiseau populaire) Personnage impossible (oxymore) : « petite grande âme »,  « un étrange gamin fée », « nain », « Antée » Flou sur la bataille : pas de description du lieu, la temporalité incertaine, seul Gavroche intéresse Victor HUGO (il n’est pas réaliste) Un texte romantique parce qu’il joue sur l’aspect théâtral et il mélange le rire et les larmes C’est un texte sur l’apothéose du

D’INSATISFACTION : - Le romantique éprouve un sentiment d’inadaptation par rapport à la rapidité des bouleversements historiques (cf. Musset dont le héros déplore l’absence d’idéal, l’impossibilité de s’illustrer sur les champs de bataille depuis la défaite de Waterloo). Il pense ne plus avoir sa place en ce monde auquel il ne s'identifie plus : en proie au «vague des passions» il s’accuse lui-même ou, le plus souvent s’en prend à la société qui ne le comprend pas, à «l’esprit bourgeois» : le romantique

tante, pour rejoindre Napoléon à Paris. Ce jeune milanais, à peine âgé de 17 ans au moment où se déroule la scène, rêve de gloire et de combats. Il s’engage dans l’armée impériale et se retrouve sur le front de la bataille de Waterloo. Voilà donc notre Fabrice errant sur le champ de bataille… Rendu au cœur de ce combat décisif, il n’y comprend « rien du tout » ! Nous allons observer le rôle du jeune homme dans cette scène, pour comprendre comment Stendhal fait rire son lecteur par le jeu des points

deux époux et par le divorce légale.Réforme industriels : le maître est cru sur son affirmation quotité des gages, pour le paiement du salaire de l'année échue, et pour les acomptes donnés pour l'année courante.1) Recherchez où et quand a lieu la bataille de Trafalgar. Est-ce une victoire ou une défaite napoléonienne ? _________________________________________________________________________________________ _________________________________________________________________________________________ 2)

assiste à la mort de Fantineet lui jure de protéger sa fille Cosette, puis il s'échappe et se rend à Paris. 2ème partie : Cosette Cosette est servante chez les Thénardier, couple diabolique qui fait fortune en volant lescadavres du champ de bataille de Waterloo. Jean Valjean de son côté a été repris par Javert et renvoyé au bagne. Il s'est encore évadé mais tout le monde le croit noyé. Il revient, enlève Cosette aux... [à continuer]

il y a plutôt des constantes. Dans un épisode donné, Stendhal réitère systématiquement les mêmes descriptions définies, sur lesquelles se retrouvent les interlocuteurs les plus divers de Fabrice. Le plus bel exemple est peut-être dans l'épisode de Waterloo. Fabrice y est catalogué sommairement, tantôt comme « blanc-bec », et tantôt comme « petit », « petit soldat », etc., selon que ce sont des hommes qui le nomment (le désignant ou l'interpellant), tous également agacés, ou des femmes (cantinières

-------------------------------- XIII - “L'expiation” Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. 5 D'un côté, c'est l'Europe et de l'autre, la France. Choc sanglant ! des héros Dieu trompait l'espérance ; Tu désertais, victoire, et le sort était las. Ô Waterloo ! je pleure et je m'arrête, hélas ! Car ces derniers soldats

législateurs en Europe et dans le monde. L'essentiel de son contenu est encore en vigueur aujourd'hui en France. Clairvoyant, l'empereur déchu dictera dans son exil de Sainte-Hélène : «Ma vraie gloire, ce n'est pas d'avoir gagné quarante batailles ; Waterloo effacera le souvenir de tant de victoires. Ce que rien n'effacera, ce qui vivra éternellement, c'est mon Code Civil».

transparait toute l’admiration que l’auteur portait à Napoléon. Il participa lui-même aux campagnes napoléoniennes dans sa jeunesse, et envoie ainsi Fabrice, le protagoniste de son roman, à Waterloo, dans le texte que nous allons à présent étudier. Dans ce dernier est donc présentée une vision de cette bataille et, par extension, de l’épopée en elle-même et de la guerre en général. Cependant elle est présentée sur deux plans, le premier étant plutôt objectif, et ne prenant pas parti, et le second