Bataille des Dardanelles

des autrichiens leur permet de faire reculer les russes avant que le front se stabilise • les Balkans : la coalition France/Angleterre affronte les turques et les allemands. La 1ère expédition française en 1915 reste bloquée dans le détroit de Dardanelles qui contraint les français à se replier en Grèce • le Moyen-Orient : l’empire ottoman entre en guerre en novembre 1914 auprès des allemands. Ils lancent une offensive vers l’Égypte qui est arrêté au canal de Suez par les anglais. Ces derniers lancent

l’empire seldjoukide : en 1395, Bayezid Ier obtient du calife du Caire le titre de Sultan -Vocabulaire p.116 al Rûm (des terres byzantines). - Puis Bayezid est défait par le turco-mongol Tamerlan qui anéantit ses armées et le fait prisonnier à la bataille d’Ankara (1402). Avec ce premier recul depuis un siècle, l’expansion est stoppée et le territoire réduit. Mehmed Ier puis Murad II doivent reconstruire la puissance perdue. Après quoi, Mehmed II le Conquérant : o détruit ce qui reste de l’Empire

sous l'œil des médias, de faire la guerre autrement et se trouve en contradiction avec les valeurs de l'olym pisme45. La « course aux médailles » relève des mêmes objectifs que la « course à l'espace » : démontrer la supériorité de son camp ; une bataille que remporte en l'occurrence plutôt le camp soviétique. En période de tensions internationales, l'arme du boycott est aussi utilisée à de nombreuses reprises. En 1956, l'Espagne, les Pays-Bas et la Suisse boycottent les J.O. de Melbourne pour protester

condamne le recours à la guerre pour le règlement des différends signé par 63 Etats (dont les futurs Etats participant à la 2GM) = diplomatie moins bilatéral ou encore la convention de Montreux qui prévoir la libre circulation sur les Détroits (Dardanelles et Bosphore) signé par 10 états (Russie, Turquie..) -Apres la 2GM (troisième tournant) :Les USA donnent l’impulsion et prennent en charge l’organisation du nouveau système avec la création des grandes institutions internationales : SMI, FMI, ONU=

gouvernement, tombe. Ainsi, le Générai Pétain demande aussitôt l’armistice. Celui-ci sera signé à Rethondes dans le wagon de l’armistice de 1918. 2- la bataille d’Angleterre. Après la débâcle française, l’Angleterre reste seul dans la guerre. Galvanisé par Winston Churchill, les britanniques tiennent bons. En août 1940, Hitler déclenche la « bataille d’Angleterre ». il s’agit d’une gigantesque guerre aérienne entre l’aviation allemande (la Luftwaffe) et l’aviation britannique (la Royal Air Force)

L’Empire est fort, l’effondrement est moins rapide que prévu par les puissances européennes. Au début effectif réduit et matériel insuffisant. Avec l’aide de la triple-alliance, entre fin 14 et début 16 aug importante des effectifs et de sa qualité. Batailles, front : les Russes franchissent la frontière au niveau du Caucase. Les Britanniques arrivent par le Golfe persique : ville de Bassora puis tentent de remonter vers Bagdad. Tenus en échec dans un 1er temps. Canal de Suez : les Ottomans attaquent

front mais aussi à l’arrière 2) Les premières offensives et les multiples fronts. vont provoquer une crise dans la plupart des pays, et même si tous les pays ne sont pas touchés avec la même intensité. Malgré la violence qui caractérise les premières bataille, montreront que ce conflit ne trouvera pas d'une fin rapide. En Allemagne : le parlement allemand vote le 19 juillet 1917, une motion de paix sans annexions ni indemnités et des mouvements révolutionnaires connaissent un Sur le front occidentale

véritable puissance ne saurait être qu’une puissance maritime, que la suprématie navale est la clé de la puissance, permettant le contrôle des terres (finalité de la puissance) par le contrôle des mers ; Mahan prône également la recherche de la « bataille décisive » entre escadre de cuirassés qui assurera au vainqueur la maîtrise des mers. Ces thèses légitiment les immenses programmes d’armement naval qui marquent l’avant-guerre : de 1898 à 1912, l’Allemagne, sous l’impulsion de l’amiral von Tirpitz

maisons anciennes et ses rues étroites. La ville est close par le mur des Fermiers généraux et ses 52 barrières d'octroi. Une sorte de frontière sépare l'Ouest et l'Est, elle sera tragiquement retracée lors des Journées de Juin 1848, par la ligne de bataille qui, du boulevard Rochechouart à l'actuel boulevard de Port-Royal, suivra le boulevard Poissonnière, la rue Saint-Denis, traversera l'Île de la Cité et remontera la rue Saint-Jacques. Si cette frontière n’est nullement rigide (les quartiers populaires

est devenu bipolaire => explication par la métaphore de l’échiquier. L’autre métaphore disponible est celle des dominos. Les conflits locaux se multiplient => que fait les Etats- Unis ou l’URSS ? D’un autre côté, l’Europe devient un champ de bataille possible => installation de missiles à l’Ouest / à l’Est. Avec ces menaces, on s’intéresse à la notion de stratégie mais aussi à la manière dont on s’adresse à la population (Allemagne => « Plutôt rouge, que mort »). 7 => on ne raisonne