Batiste

voir, il gravit les marches et entra. C’était le comte d’Athol. Chancelant, il monta les blancs escaliers qui conduisaient à c ette chambre, où, le matin même, il avait couché dans un cercueil de velours et enveloppé de violettes, en des flots de batiste, sa dame de volupté, sa pâlissante épousée, Véra, son désespoir. En haut, la douce porte tourna sur le tapis ; il souleva la tenture. Tous les objets étaient à la place où la comtesse les avait laissés la veille. La Mort, subite, avait foudroyé. La

placer ?». Ils échangent même un baiser: « il vint auprès d'elle. Leurs lèvres s'unirent dans une joie divine, --oublieuse, -- immortelle !» Un mouchoir est tachée du sang vivant et pourpre de la comtesse: «le comte toucha par hasard le mouchoir de batiste dont les gouttes de sang étaient humides et rouges comme des œillets sur de la neige !». Le phénomène de la clé est le plus étrange, clé qui se trouvait enfermer dans le tombeau et qui soudain se retrouve dans la chambre du comte: « L'abandonné se

Les dessous de 1895-1900 Les dessous de 1905 Les dessous de la Belle Époque mettent à l'honneur la dentelle, les rubans, et représentent un peu l'âge d'or du frou-frou. La femme revêt, dans l'ordre : une longue chemise (en coton, en batiste, etc.), par-dessus laquelle elle lace son corset (qui n'est jamais placé à même la peau, ce qui le salirait trop vite et obligerait à des lavages et un rachat trop fréquents). Puis elle met, souvent, un cache-corset brodé (qui tend à disparaître au

de jeux et de divertissements L’abbé Daniel de Cosnac premier gentille homme de la chambre, raconte dans ses comment, sur les recommandations de Sarasin un libertin s’il en fut la troupe nomade de Monseigneur le duc d’Epernon, où se trouvait Jean Batiste Poquelin, fut heureusement préférée à celle d’un certain Cormier depuis qu’ils avaient abandonné Paris après l’échec de l’>>illustre théâtre>>à l’automne 1945, les Bajart et les amis couraient ville et campagnes après l’Ouest, Nantes, Potiers et Bordeaux

Invoquer Dieu pour justifier un amour adultère : 3_151 – La Vierge au rang des breloques : 3-166 | Le lexique et les normandismes |   | Précision dans l'emploi des termes * exemple des tissus : Barèges – Basin (écrit baisin) - Baptiste – Batiste - Brocatelle - Cachemire - Calicot – Chincilla - Coton – Cotonnade - Coutil - Dentelle - Flanelle – Fourure - Futaine – Guipure - Gros de Naples - Indienne - Jaconat - Lasting – Levantine - Lin - Linon - Lustrine - Moire - Nankin - Percaline – Rouennerie

où il met en scène un seul personnage : « La Contrebasse » et « Le Parfum » est son premier roman, devenu en quelques mois un best-seller européen. Paris. XVIIIème. Sous un kiosque à poissons, une femme donne naissance à un enfant nommé Jean-Batiste Grenouille. Cet être possède un don. Il a la capacité de sentir, d'analyser et de démenteler ce dont tout autre être humain n'a même pas conscience. Son odorat le mènera à découvrir ainsi toute la capitale, puis à travailler comme compagnon chez un

Molière, Le malade imaginaire Molière est le pseudonyme de Jean-Batiste Poquelin. Il est né à Paris en 1622. Il vivait dans un milieu bourgeois, ce que lui a donné beaucoup d’inspiration pour ses comédies. on père était tapissier du roi et l’a mit au collège de Clermont pour devenir avocat. Mais Molière aimait mieux le théâtre. En 1643 il fondait, avec sa copine pour la vie Madeleine Béjart, "l’Illustre Théâtre". Ils jouaient des tragédies, mais n’avaient pas de succès. Molière allait

lumière du jour - et voyez-vous, me voilà perdu moi-même. La faute en est à mon père et sitôt mon cerveau disséqué, vous y distingueriez sans lunettes, large et irrégulier, le défaut de tissage pareil à ceux qu'on rencontre parfois dans une pièce de batiste invendable, courant d'un bout à l'autre de la trame, et si malencontreux qu'on ne saurait y tailler une ** (j'accroche encore ici une ou deux étoiles) un bandeau pour les cheveux ou même une « poupée » pour le pouce, sans que le défaut soit sensible

le narrateur du récit. A part son âge (40 ans), on ignore tout de son identité (nom, profession, etc.). Quelques indices éparpillés dans le texte permettent de dire qu’il appartient soit à la bourgeoisie soit à la noblesse ( redingote, chemise de batiste, utilisation du latin,…) Le personnage devient alors un être abstrait. Il incarne plus l’esprit du condamné à mort que son corps parce que c’est la souffrance morale qui compte le plus. Le chapitre XLVII censé fournir des indications sur le passé

élevé pour la séparer entièrement de la vue de ses femmes, elle le jetait sur ses épaules. Ainsi, aidée de ses femmes, elle sortait de la baignoire, ôtait la chemise ruisselante, se faisait essuyer et revêtir de sa première chemise du jour faite de batiste ou de linon ornée de dentelle et d’un négligé de taffetas blanc lui faisant office de peignoir. Une seconde toilette débutait un peu plus tard où les très intimes personnes de son entourages pouvaient l’approcher, le reste de la matinée se passait