Baudelaire Au Lecteur Lecture Analytique

regarde la définition qu’en donné Jean René Ladmiral, la traduction apparaît comme une ‹‹ activité humaine universelle, rendue nécessaire à toutes les époques et dans toutes les parties du globe ›› et dont la finalité ‹‹ consiste à nous dispenser de la lecture du texte original ››. On peut remarquer que dans cette définition, la traduction est une réponse à un besoin,assimilable en cela à une voie de communication, au même titre que les chemins de fer, les routes, les fleuves navigables, les voies aériennes

l’expression littéraire (chez « un romancier hardi »4) de la complexité du temps vécu dans la conscience des personnages. A- Le temps vécu dans les œuvres I- Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience : Présentation analytique du chapitre II : (Voir document annexe) : Ce document subdivise le chapitre II en 11 parties et en résume les idées essentielles. Pour notre synthèse nous nous contenterons des thèses principales de Bergson concernant la « durée ». Du temps à

objectaient, identifiait le sens de l'oeuvre à l'intention de l'auteur ; elle avait cours communément sous l'empire de la philologie, du positivisme, de l'historicisme. Si l'on considère la littérature comme une communication entre un auteur et un lecteur, sur le modèle de la linguistique ordinaire où un locuteur envoie un message à un destinataire (ajoutons que le message porte sur un référent et que son médium est linguistique), la particularité de la littérature tien au fait qu'elle constitue une

1946, Présence africaine, 1971 (p. 40-42). 1 Pongo : grand singe. 2 Mégir signifie « tanner une peau » ; c’est l’action du mégissier, qui utilise pour cela la mégie. 3 Oreillard : chauve-souris. 1- Conseils de méthode Avant de se lancer dans la lecture du texte à commenter, il faut prendre le temps de comprendre la structure du sujet. Ici, nous avons une consigne, un chapeau introductif, le texte, la référence de l’œuvre et des notes de bas de page. Il ne semble pas inutile de rappeler au futur

UNIVERSIDADE FEDERAL DO RIO GRANDE DO SUL INSTITUTO DE LETRAS PROGRAMA DE PÓS-GRADUAÇÃO EM LETRAS ÁREA DE LITERATURA FRANCESA E FRANCÓFONAS SÔNIA REGINA VIEIRA DE « L’ERMITE » À « ZONE » : UNE LECTURE D’ALCOOLS DE GUILLAUME APOLLINAIRE Dissertação apresentada ao PPG em Letras da UFRGS como requisito para obtenção do grau de Mestre em Letras, na área de Literatura Francesa e Francófonas. ORIENTADOR : Prof. Dr. Robert Ponge Porto Alegre, 28 de novembro de 2005. 2 AGRADECIMENTOS Meu agradecimento

question éthique de telles pratiques. | |  | |Bonne lecture | |Géolocalisation des membres |

……………………………………page 15 L’énonciation ……………………………………page 18 Les figures de style ……………………………………page 21 Lecture Méthodique Données méthodologiques ……………………………………page 25 Étude des œuvres ……………………………………..page 28 Œuvre 1 : Soundiata ou l’épopée

plus, il met au point la formule du « retour en arrière » qui donne de la profondeur à l’exposition et du relief au personnage : le présent est suivi de près, le passé est évoqué et il pèse sur le présent. La « durée » entre dans le roman et le lecteur entre dans la vie du personnage qui a modelé à son image l’espace dans lequel son existence s’est accomplie. Il y a, dans l’atmosphère d’une maison, l’empreinte d’une vie, comme il y a , sur les traits d’un visage, le poids des années. C’est pourquoi

..............................................................57 Poésie et distanciation..................................................................................................................................................58 Charles Baudelaire.......................................................................................................................................................59 Un essai d'analyse distanciante ...........................................................

dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques