Baudelaire Tableaux Parisiens Réalisme

106 107 107 108 108 108 109 109 109 111 A. Cabanel, Phèdre Poésie et musique à l’époque romantique M. Desbordes-Valmore, « Je ne sais plus » G. F. Kersting, La Brodeuse C. Baudelaire, « Parfum exotique » Exercices d’approfondissement 1 A. de Lamartine, Méditations poétiques, « L’isolement » 2 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Paysage » 3 F.-R. de Chateaubriand, René 4 Pétrarque, Canzoniere, « En retournant en Italie » 5 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de mai » 6 L. G. Damas

| |1.11 Mort | |2 L’œuvre littéraire | |2.1 Du réalisme au naturalisme | |2.2 Méthode de travail et style | |2.2.1 Un écrivain minutieux

agace ». ____________________________________________________________ _____________________ En 1870, un nouveau professeur de rhétorique arriva au collège, Georges Izambard, qui avait vingt et un ans, qui était poète à ses heures, féru de Baudelaire et des poètes parnassiens. Il prit Arthur Rimbaud en affection, lui ouvrit sa bibliothèque et lui fit découvrir notamment Rabelais, Hugo, Banville, encouragea ses essais poétiques qui révélaient une étonnante faculté d’assimilation, une extrême

comme plus pesant qu'auparavant. Triste, Mme Bovary se remémore sans fin ce bal qui, il lui semble, a changé sa vie. Emma, dont les souvenirs du bal s'effacent, se met à penser à Paris. Elle achète des cartes de la ville, s'intéresse à la mode parisienne, se met à lire Balzac ou encore George Sand. Peu à peu, elle se transforme en femme du monde, subissant les caprices de la mode, sous l’œil transi d'amour de Charles. Son caractère aussi s'altère : elle devient plus hautaine, plus froide, aussi

qui nous agace ». _________________________________________________________________________________ En 1870, un nouveau professeur de rhétorique arriva au collège, Georges Izambard, qui avait vingt et un ans, qui était poète à ses heures, féru de Baudelaire et des poètes parnassiens. Il prit Arthur Rimbaud en affection, lui ouvrit sa bibliothèque et lui fit découvrir notamment Rabelais, Hugo, Banville, encouragea ses essais poétiques qui révélaient une étonnante faculté d’assimilation, une extrême

dadaïsme comme mouvement de pensée et d'action. Dans “Après Dada”, Breton, affirmant au passage que Tzara n'est pour rien dans l'invention du patronyme Dada, montre que Picabia, Duchamp et Vaché étaient des précurseurs suffisants pour que le mouvement parisien ne doive rien aux Zurichois. Duchamp d'ailleurs, celui qui «parvient le plus vite au point critique d'une idée» et s'en détache alors sans tarder, avait refusé son concours à l'une des expositions organisées par Tzara. Dans “Lâchez tout”, il reproche

En 1870, un nouveau professeur de rhétorique arriva au collège, Georges Izambard, qui avait vingt et un ans, qui était poète à ses heures, féru de Baudelaire et des poètes parnassiens. Il prit Arthur Rimbaud en affection, lui ouvrit sa bibliothèque et lui fit découvrir notamment Rabelais, Hugo, Banville, encouragea ses essais poétiques qui révélaient une étonnante faculté d’assimilation, une extrême précocité et même une originalité incontestable. Rimbaud connut un heureux printemps, faisant

Le Monde – rue des écoles, 2011 soMMAire Les mouvements LittérAires p. 5 chapitre 01 – Renaissance et humanisme chapitre 02 – Baroque et classicisme chapitre 03 – Le mouvement des Lumières chapitre 04 – Le romantisme chapitre 05 – Le réalisme et le naturalisme chapitre 06 – Le symbolisme Les genres et Les registres p. 6 p. 12 p. 16 p. 22 p. 26 p. 32 p. 37 chapitre 07 – Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde chapitre 08 – Le théâtre chapitre 09 – La poésie

dans la vallée des rois. Si l’on excepte la momie elle-même, l’objet de la tombe la plus importante est la statue du défunt où son Ka peut séjourner. Vers le début de la IVème dynastie. ( -2615/-2498) Ancien empire. On trouve des sculptures d’un réalisme sans précédent, certaines sont des portraits très convainquant comme celle du prince Râhotep (fils de Snéfrou) et son épouse Néfret. La polychromie (la peinture) a gardé tout son éclat (ocre pour Râhotep, beige pour Néfret). Les visages sont très

dadaïsme comme mouvement de pensée et d'action. Dans “Après Dada”, Breton, affirmant au passage que Tzara n'est pour rien dans l'invention du patronyme Dada, montre que Picabia, Duchamp et Vaché étaient des précurseurs suffisants pour que le mouvement parisien ne doive rien aux Zurichois. Duchamp d'ailleurs, celui qui «parvient le plus vite au point critique d'une idée» et s'en détache alors sans tarder, avait refusé son concours à l'une des expositions organisées par Tzara. Dans “Lâchez tout”, il reproche