Bavard

« Les clochers »: aspect traditionnel de la ville de Paris - Les usines: « l'atelier », « les tuyaux », « les fleuves de charbon » - ville vivante, caractérisée par les bruits quotidiens: personnification, métonymie: « l'atelier qui chante et qui bavarde » 2)La vastitude, la liberté associée à la ville - Baudelaire se rend compte de cet aspect de la ville à sa fenêtre (romantique) - « Les tuyau, les clochers, ces mâts de la cité »: métaphore qui associe la ville à un navire naviguant sur l'immensité

passer ses mains dans des cheveux blonds, bruns, roux. Regarder au fond d'yeux bleus, verts, chocolats, noirs, froids, rieurs, distants,. Passer ses bras autour de tailles rondes, osseuses, moelleuses. Embrasser des lèvres douces, pulpeuses, fines, bavardes, taiseuses. Enlever un T-shirt rose, une jupe droite, un jean large, des converses, des talons. Observer un sourire moqueur, heureux, idiot, calculateur. Connaitre des dizaines de rires différents, de mimiques, de manies, de mains, de baisers, de

mots : trop et très Eviter d’utiliser trop à la place de très et inversement : Trop s’emploie dans un contexte d’exagération, d’excessif tandis-que très est utilisé pour une appréciation positive : Cet enfant est très intelligent mais trop bavard en classe. Ne dites pas : il boit de trop mais il boit ; il parle de trop mais il parle. 3- Emploi de mots : si et très Si et très sont deux adverbes qu’on utilise pour modifier un adjectif ou un adverbe, jamais un nom. Un

un grand roi très riche. Il habitait un magnifique château dans un royaume fort lointain. On le reconnaissait à ses cheveux noirs comme l’ébène et raides comme des baguettes, ses yeux perçants étaient aussi verts que l’émeraude. Gourmand et plutôt bavard, il était très apprécié de ses sujets car il savait toujours être généreux et partager son or avec les plus pauvres. Le grand roi avait eu en première noce un fils aîné qui était atteint d’une maladie : il ne pouvait pas bouger depuis sa naissance

fruit interdit ? Femme faible de par sa constitution, femme tentatrice, femme fatale, les femmes, depuis des temps très anciens, sont cause de nombreux malheurs. Elles ne sont pas lâches par nature mais par éducation. Le stéréotype de la femme bavarde à leur avantage concernant le métier d'avocate. Son premier argument est politique, elle a peuplé la Nouvelle Angleterre « j'ai mis cinq beaux enfants, au péril de ma vie, je les ai nourris de mon lait, je les ai soutenus par mon travail et j'aurais

procédés pour ne pas prononcer le mot " Peste " B) Critique de la Presse - Camus a été journaliste - Critique incisive de la presse à scandale qui ne s'intéresse qu'à ce qui est visible. Il pense que la Presse devrait plutôt prévenir les Oranais : " bavarde " 118 - Le narrateur n'est absolument pas neutre, contrairement à ce qu'il dit au début du livre. - Il critique l'attitude de la presse mais aussi des autorités : (Ironie) " mais la préfecture et la municipalité commençaient à s'interroger "

par simple solidarité humaine, je dirai plus, par esprit de palier, je conçois qu’elle éprouve un vif regret de sa disparition et qu’elle éprouve le besoin de se raccrocher à des broutilles. Zénobie les regarde – C’est effrayant ce que ça peut être bavard à cet âge-là. Le père va asticoter le schmürz et termine par trois bon coups de pied au ventre. Mère – Tu n’es pas plus touchée que ça par ma disparition de Xavier ? Zénobie – Je trouve qu’il a de la veine. Père – De la veine ? Mon petit lapin, tu

baroque s'observe aussi dans les différentes personnalités des deux filles. Toinette est une petite fille bavarde qui exprime ses émotions, elle ne reste pas dans la passivité au contraire elle se montre très dynamique. En effet elle peut montrer de la jalousie lorsqu'elle ne reçoit pas de viole alors que sa sœur en a une, de la joie quand elle la reçoit finalement. Toinette est beaucoup plus « bavarde » que sa sœur, et intervient plus souvent et laisse voir ce qu'elle ressent. Enfin vis à vis du monde

hymnes solennels emportés par le vent » ) , des sensations visuelles, qui s’inscrivent dans le futur, donnant un aspect visionnaire et idéal de la contemplation renforcé par l’emploi au vers 6 de la métonymie « je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde » par laquelle les ouvriers sont idéalisés, représentés heureux et communicatifs. Des sensations tactiles : il est doux au poète d’évoquer un paysage plongé dans la brume, le clair obscur du 3eme tableau favorise l’imagination comme le monde la magie

un '-y' précédé d'une consonne, le '-y ' se transforme en '-ied': to study (étudier) > they studied (ils ont étudié) 3) Les verbes d'une syllabe qui se terminent par consonne-voyelle-consonne doublent la consonne finale: to chat (bavarder) > you chatted (tu as bavardé) >> Forme négative On utilise l'auxiliaire DID NOT (ou DIDN'T si on le contracte) pour former la phrase. I didn't play football. Je n'ai pas joué au football. >> Forme interrogative Là encore, on utilise l'auxiliaire DID, qu'on