Beau et chaud

de son visage, ruisselait d'eau, de grosses gouttes continues et rapides, tombant sur une sorte de rythme entêté, toujours à la même place.     Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque: elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche. Au bout d'un quart d'heure, il était trempé, couvert de sueur lui-même, fumant d'une chaude buée de lessive. Ce matin-là, une goutte, s'acharnant dans son oeil, le faisait jurer. Il ne voulait pas lâcher son havage, il donnait de grands coups, qui

impécablement coupé.Lorsqu’il eût finit il prit la parole avec une voix douce : - Une chance qu’il ne soit pas trop lourd ! Je m’appelle Alexandre .Venez je vais vous amener chez moi, pour que vous puissiez prendre une douche et boire un bon chocolat chaud. Le regard d’Alexandre et celui de Lucy se croisèrent , cela fit un frisson sur la nuque de Lucy. - Merci dit-elle simplement .Elle prit Pierre par les épaules et suivit Alexandre.Il marchèrent une dixaine de minutes et arrivèrent devant une belle

Charles Baudelaire (1821-1867) Biographie Charles-Pierre Baudelaire est n' le 9 avril 1821 ' Paris. ' six ans, il perd son p're et tombe sous l'autorit' de son beau-p're. En 1837, il remporte le 2e prix des vers latins au Concours g'n'ral. Le jeune bachelier s'inscrit ' la facult' pour faire son droit. Il se m'le aux 'crivains, aux po'tes, aux peintres, jouant le r'le d'un personnage cynique et d'sabus' en qu'te de toutes les provocations. Baudelaire apprend ' formuler et

veut pas craquer, dit la vieille. Mais c'est un oeuf de dinde, tu peux m'en croire ! Moi aussi, j'y ai été pincée une fois, et j'ai eu bien du mal avec les petits, car ils ont peur de l'eau, je dirai ! Je ne pouvais pas les décider à y aller ; j'avais beau les gourmander et les houspiller, rien n'y faisait... Laisse-moi voir... mais oui, c'est un oeuf de dinde ; tu n'as qu'à le laisser et enseigner la nage aux autres enfants. - Je resterai tout de même dessus encore un peu de temps, voilà si longtemps

dans une pièce. Dans ses rêves, elle devait fuir, se cacher mais était toujours rattrapée, retrouvée. Elle ne parvenait pas à s'échapper. Elle ne comptait plus les nuits où elle s'était réveillée, échevelée et terrifiée, en sécurité dans son lit. Au chaud, chez elle. Avec ses parents à côté. Boum boum. Combien de temps ? Quelques jours, semaines ? Alice ne sait pas. Tous ses souvenirs commencent à s'effacer. Sauf un. Un seul reste. Un seul est là et ne part pas. Ce jour là, elle rentrait de l'école

depuis la fin de l’acte IV, revient pour prendre possession de la maison d’Orgon, léguée par un acte notarié qu’il lui a extorqué malhonnêtement… Scène dernière L’exempt1, TARTUFFE, ORGON, VALÈRE, ELMIRE, MARIANE, etc. TARTUFFE Tout beau, Monsieur, tout beau, ne courez point si vite ; Vous n’irez pas fort loin pour trouver votre gîte, Et de la part du Prince2 on vous fait prisonnier. ORGON Traître, tu me gardais ce trait pour le dernier ! C’est le coup, scélérat, par où tu m’expédies3,

rongea jusqu’à qu’elle devenue la première perle, peut-être est elle encore dans le coquillage de la déesse. Métamorphose A la manière d’Ovide Les pleurs de la nymphe Sahara Une nymphe, nommée Sahara, tomba amoureuse de Psyché, un Athénien beau comme Apollon venu se désaltérer dans la rivière qui bordait le mont Olympe. Après une longue et dure chasse, le guerrier avait rapporté une belle biche qui était la récompense des efforts de toute sa journée. Psyché s'était finalement endormie autour

Rédaction Seulement je sentis une vive douleur au cou La seule chose qui resta encrée en moi c'est cette douleur,je me souvenu que des crocs me transperça tout ce liquide chaud passa de mon corps à des lèvres pulpeuses je pense qu'elles étaient colorés de ce rouge,je sentis un souffle chaud,puis sur mon torse je sentis une poitrine de femme. Après être rester plusieurs jours dans le coma dans ma maison vide,je me réveilla avec beaucoup de mal. Je partis vers la salle de bain,dans

l’odeur du pain chaud Pour la neige qui fond Pour les premières fleurs » Ce texte est bien en rapport avec le thème choisi, en effet malgré que cela lui monte à la tête il continue à l’aimer : « Tu es le grand soleil Qui me monte à la tête » JE T’AIME Je t’aime pour toutes les femmes Que je n’ai pas connues Je t’aime pour tout le temps Où je n’ai pas vécu Pour l’odeur du grand large Et l’odeur du pain chaud Pour la neige qui

Mona Upphoff, 2°7 Récit d'invention Je n'avais jamais vu un si beau ciel de toute ma vie : sa douce teinte azure mêlée au rose du soleil couchant, les traînés de nuages absorbant les couleurs et le chant des oiseaux semblant me jouer un joyeux concerto. Mais je savais tout au fond de mon cœur que ces détails n'étaient en rien responsables de mon bonheur, car toutes mes pensées étaient tournées vers mon cher et tendre Arthur. Je l'avais rencontré mardi dernier lors