Beau Travail

de beauté. Fidèle à son courant, Baudelaire a choisis pour son poème une forme fixe: le sonnet, où il parle de la beauté comme intérêt poétique, ceci en faisant appel à la suprématie de la beauté, les caractères d un poème idéal, et la méthode du travail d'un poète. Le premier quatrain commence par un "je" féminin, orgueilleux, "je suis belle", Baudelaire incarne la beauté dans le corps d'une belle femme  il s'agit d'une allégorie qui structure tout le sonnet à la forme(abab-cdcd-efe-ghh), cette

Préface L’anthologie poétique que nous avions a préparé est un travail fastidieux, compliqué et long. Il était donc tout naturel de prendre un choix de thème pour ce devoir qui nous intéressait ou qui même qui nous passionnait. Trouver un thème assez original mais aussi exploitable, c'est-à-dire pouvoir trouver des poésies sur le sujet en pouvant choisir parmi un grand panel de possibilités semblait être difficile. Il ne fallait pas prendre à la légère ce choix qui constituerait l’essence du devoir

un monde hostile et laid ( le bateau), comparativement au monde que lui se créer dans son monde( l’azur). La société le marginalise parce que selon elle, il n’a pas sa place dans un monde où il faut constamment travailler et contribuer aux labeurs. Ce que le poète considère comme son travail est banal et sans importance. Dantin fait de même. Il nous décrit un monde laid et hideux. Pour lui, ce monde est comparable à un marais visqueux et repoussant. La société est corrompue et seul le poète (le

emploie. Exemple : Si la question est « Ceci est-il beau ? », une réponse non philosophique consiste dans une réponse directe, éventuellement nuancée et riche, intelligente et cultivée, mais qui répond directement à la question en examinant seulement l’objet et en regardant si on peut le ranger sous le concept, supposé connu et clair, de beau. Une réponse philosophique, elle, commencera par s’interroger sur la catégorie de jugement qui est exigée : le beau. Une réponse philosophique consiste donc d’abord

Qu'est-ce qui distingue une oeuvre d'art d'un objet quelconque? Qu'est-ce qui distingue une oeuvre d'art d'un objet quelconque ? Qu'est-ce qui fait qu'un objet quelconque passe au statut d'oeuvre d'art ? Le beau, élément substantiel des oeuvres d'art traditionnelles ? Il tend à être dévalorisé par l'art moderne, qui de ce fait rapproche l'oeuvre d'art de l'objet trivial. La tension entre beauté et trivialité est intéressante à aborder. Est-ce une question de goût, de culture, de sensibilité ?

Satisfaire tous ses désirs est-ce la condition du bonheur ? Qui n'a pas vécu la satisfaction de ses désirs comme quelque chose de positif ? Richesses, obtention de bien, satisfaction du travail accompli. Si l'on admet de manière générale que satisfaire un désir; c'est à dire combler un manque; c'est faire l'expérience du plaisir; alors il semble évident de penser que le désir est une condition du bonheur, c'est à dire une condition pour atteindre un idéal de l'imagination; l'absence totale de

théorique de « l'art pour l'art » dans sa préface de Mademoiselle de Maupin. Les idées essentielles de cette théorie sont les suivantes : 1) L’art est désintéressé (il n’a aucun but utile) : il est à lui-même sa propre fin. « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid » dira Théophile Gautier. L’art doit demeurer indépendant de la morale et de la politique. Le mouvement de l’art pour l’art refuse donc la poésie sentimentale, la poésie philosophique

Une Charogne. Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse

Guys, de Baudelaire I- Définition du dandysme : §1 : Le dandysme est une institution vague et ancienne, soumise à ses propres lois très rigoureuses. Un dandy possède une vaste fortune, n’a pas de profession ni d’autre but que de cultiver l’idée du beau dans sa personne, de satisfaire ses passions, de sentir et de penser. Ils possèdent le temps et l’argent à même de transformer l’amour d’une répugnante utilité à un « caprice brûlant ou rêveur ». §2 : Le dandysme est « le besoin ardent de se faire

« gustus ». Le goût est un des cinq sens renseignant sur leur saveur et la composition des aliments. C’est aussi la saveur de quelque chose, caractéristique, reconnaissable (goût salé, amer..). Mais ici le « goût » est la capacité à discerner ce qui est beau ou laid selon les critères qui caractérisent un groupe, une époque, en matière esthétique par exemple quand on dit « elle a du gouts, c’est une maison meublée avec goût ». En effet, c’est un ensemble de penchants des préférences qui correspondent