Beau Travail

l’écart du mécontentement et du chagrin, avec ses bêtises. Lorsque Platon dautait si la place de la femme se trouvait parmi les êtres doués de la sagesse, ou parmi celles manquées de la sagesse, il voulait seulement montrer la bêtise incomensurable du beau sexe(sexe faible)” (p.25, L’éloge de la folie, Editura Antet) Quoique l’idée d’autres fois est changé aujourd’hui, que la femme a obtenu l’égalité des droits avec les hommes, il y a aussi des gens qui pensent encore comme Platon. Le psychologue

Thème : L’Art et le Beau : Platon : Hippias mineur Kant : La critique de la faculté de juger, L'Analytique du Beau. Mishima : Le Pavillon d’Or Victor Hugo : Le Chef d’Œuvre inconnu Introduction  La Beauté, ou le Beau : Déf : notion abstraite liée à de nombreux aspects de l’existence. Couramment : Comme l’amour : la beauté est un qualificatif marquant une opinion Employé constamment, souvent à tort à travers Belle femme, belle idée, beau match, beau costume…  Pente naturelle

 Nous sommes en présence du sonnet : « La beauté » de Charles Baudelaire, écrit en alexandrin, extrait des fleurs du mal qui est  un des recueils les plus importants de la poésie moderne . Ce poème est rédigé en 1857, à l’époque du romantisme et de la révolution poétique ou de grands auteurs comme Baudelaire vont apportés un changement aux contenus de leurs œuvres afin d’y accorder une plus vaste liberté et ouverture d’esprit. Ici la beauté est considérée par Baudelaire comme artificielle. Dans

peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées,

tout près. Assise sur ma grande chaise, Mi-nue, elle joignait les mains. Sur le plancher frissonnaient d’aise Ses petits pieds si fins, si fins. — Je regardai, couleur de cire Un petit rayon buissonnier Papillonner, comme un sourire Sur son beau sein, mouche au rosier. — Je baisai ses fines chevilles. Elle eut un long rire tris-mal Qui s’égrenait en claires trilles, Une risure de cristal… Les petits pieds sous la chemise Se sauvèrent : « Veux-tu finir ! » — La première audace permise

allons alors suivre le chemin expliqué par Platon. Tout d’abord revenons à l’Amour, il est toujours relatif à quelque chose, on retrouve alors amour de « … ». On peut aussi décrire l’Amour comme le désir d’être heureux c’est-à-dire, posséder le Beau et le Bien et le posséder pour toujours une sorte de possession perpétuelle, durable dans l’avenir. Toujours renvoie à la notion d’immortalité qui est importante pour l’Homme, celle-ci se retrouve sur le plan du corps et de l’âme. L’idée de la Beauté

légére, se sentant plutot comme le héro d'une tragédie sublime. C'est à cet instant que, se retrouvant face à son portrait, Dorian réalise qu'il y à quelque chose de cruel qui est apparu sur son visage peint, alors que son vrai visage est toujours beau et pur. Dorian commence alors à comprendre que son vœux à été exaucé, et enferme le tableau à triple tours dans une salle de son manoir, le surveillant réguliérement. A cet instant, son style de vie change radicallement. Il adopte une vie de plus

sensibilité. Elle doit répondre à trois critères : esthétique, technique et sémantique. Toute œuvre artistique cherche à atteindre une dimension esthétique. Cela signifie qu'elle essaie de provoquer des émotions et qu'elle cherche à atteindre « le beau », par opposition à l'utile. L'œuvre d'art offre des couleurs plaisantes, une harmonie dans les formes... Mais cette notion reste toutefois assez subjective : chacun apprécie le côté esthétique d'une œuvre en fonction de ses goûts, de sa sensibilité

Siècles; the Hugolian theory on the grotesque is deep and strongly organized. These pages study the combination of the sublime and the grotesque in Hugo’s texts. Key words: Victor Hugo, grotesque, sublime CLASSIQUES ET PRÉROMANTIQUES: LE STATUT DU BEAU Chez les classiques, le grotesque est universellement banni; il n’en est pas de même du sublime, qui provoque des opinions contraires. Pour Boileau, bien que le sublime ne tienne pas compte des règles, il est au-dessus de tout raisonnement logique

impuissance." il pense que les regards de Nadir a sa femme lui ote l'honneur . Il pense que la beaute' de Nadir (malgres son impuissance ) peut seduire sa femme mme si elle meme lui a dit quesa vertu l'empecha de le trahiil ne la croyait pas "Vous avez beau dire que des eunuques ne sont pas des hommes, et que votre vertu vous met au-dessus des pensées que pourrait faire naître en vous une ressemblance imparfaite ; cela ne suffit ni pour vous ni pour moi " il pense que seulement a cuse de la beaute' de