Beaucoup de bruit pour rien

soupirs. On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole ; Le Temps ramène les plaisirs. Entre la Veuve d'une année Et la veuve d'une journée La différence est grande : on ne croirait jamais Que ce fût la même personne. L'une fait fuir les gens, et l'autre a mille attraits. Aux soupirs vrais ou faux celle-là s'abandonne ; C'est toujours même note et pareil entretien : On dit qu'on est inconsolable ; On le dit, mais il n'en est rien, Comme on verra par

au poète d’exprimer ce qu’il désire. Les mots sont en quelque sorte les outils dont il se sert pour créer un rythme, des sons, des images, etc. C’est pour cette raison que certains prétendent ne pas aimer la poésie car, selon eux, celle-ci ne sert à rien et le poète ne fait que compliquer son message, le rendant ainsi incompréhensible. Cependant, je crois que cela est un des aspects de la poésie qui la rend différente des autres genres littéraires. En effet, je ne considère pas la poésie comme quelque

une belle journée à l’hôtel Sheraton de Moorea, le ciel était d’un bleu immaculé, les oiseaux des tropiques gazouillaient gaiement, les poissons de toutes les couleurs émerveillaient les touristes venus du monde entier. Bref, un jour magnifique que rien ne semblait pouvoir troubler. Mais une personne aurait préféré ne pas travailler ce jour -là, et cette personne était une jeune fille nommée Marie, la vingtaine, plutôt jolie qui devait s’occuper du bungalow 72 ce matin-là. Elle entama son « petit

en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault fait la connaissance de Thomas Pérez, l’ami de sa mère. Après la cérémonie à l’église puis l’enterrement au cimetière, Meursault ressent un apaisement en retrouvant Alger. Il ne semble en rien affecté par la mort de sa mère et ne pleure pas pendant l'enterrement. Chapitre 2 : Le lendemain de l’enterrement, un samedi, Meursault va se baigner et rencontre Marie Cardona. Le soir, ils vont au cinéma voir un film avec Fernandel puis ils passent

serai ravie de le revoir. Marie: Très bien, je lui confirme. Scène 2 : Marie, pensante : D'après ce que j'ai entendu dire, Grégoire est devenu un docteur très demandé, et de ce fait il est très aisé. Il serait parfait pour ma fille. Scène 3 : Bruit de sonnette. Marie: Louisa, Grégoire est arrivé. Louisa: Oui, j'arrive! marie ouvre la porte à Grégoire Grégoire: Bonjour Marie, cela fait si longtemps que nous ne nous sommes pas vu ! Grégoire enlève son manteau et le donne à la bonne. Marie:

RIEN Pas grand-chose car nous n’avons pas trop pratiqué. MARDI Les outils et objets que nous utilisons en électricité. J’ai fait des tranches avec une rainureuse ensuite j’ai pris un burin pour couper les tranches que j’avais faites. RIEN Pas grand-chose. MERCREI La fabrication de la colle. J’ai fait de tranche avec des une rainureuse ensuite j’ai pris un burrin ou ensuite j’ai mis de la colle pour faire tenir les tuyaux. RIEN Pas grand-chose

LA POLLUTION SONORE ET LES RISQUES D'ACCIDENTS INDUITS PAR LES CANONS A GAZ DITS « EFFAROUCHEUR D'OISEAUX » Le bruit est un son non désiré 1 - LE PROBLEME GENERAL Ce dossier n'a pas de vocation écologique, il est destiné à attirer l'attention sur un phénomène en cours de développement qui va à contre-sens de tous les efforts entrepris pour améliorer la qualité de la vie et, surtout, lutter contre les nuisances sonores. Il s'agit de dénoncer les dérives concernant l'utilisation des canons

Ania raconte ses retrouvailles avec sa mère. Ensuite, quand elle est présente, les attentions des personnages se portent en permanence sur elle : Varia demande du café à Douniacha pour sa mère, Firs s'occupe de la collation de Lioubov qu'il aime beaucoup, Firs lui glisse un petit coussin sous les pieds, Iacha lui apporte ses médicaments... Les actions des protagonistes de la pièce sont centrées sur Lioubov qui revient à la cerisaie. L'espace devra surement concentrer l'attention sur elle durant l'acte

de faire entrer ici des vérités si éclatantes; et ce sont choses, à mon avis, et d'une trop vaste étendue et d'un mérite trop élevé, pour les vouloir renfermer dans une épître et les mêler avec des bagatelles. Tout bien considéré, Madame, je ne vois rien à faire ici pour moi que de vous dédier simplement ma comédie, et de vous assurer, avec tout le respect qu'il m'est possible, que je suis, De Votre Altesse Royale,

l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai