Bec

face vieillotte » → gpe nominal →agée. Le suffixe « otte » comique & péjoratif qu’on retrouve dans « grassouillette »l3 qui met l’accent sur sa grosseur + l9 «  embonpoint blafard » Physiquement disgracieuse voir laide. -comparaisons l3 « nez à bec de perroquet » (métaphore) → animalisation : nez crochue et l4 « personne dodue comme un rat d’église » Physique radine Embonpoint du psg : «  potelées » l3 , adverbe l4 « son corsage trop plein » → Mme vauquer

effet, est présent une progression des verbes associés à des termes menant au chemin de la détresse « dégringolait plus bas », « acceptait les dernières avanies », « claquait du bec », « mourrait un peu de faim ». De plus, l’infortune est clairement dénoncée avec différentes isotopies tel le lexique du froid « claquait du bec, os glacées » ou de la faim « ventre vide, mourrait un peu de faim ». L’humiliation avec les phrases « On avait parié » ou « On la chargeait des sales commissions » est également

il évoque également le Corbeau et le Renard quand il dit que « les enfants se moquent du corbeau, mais ils s'affectionnent tous au renard », ainsi que «  le fromage gâte tout, on leur apprend moins à ne pas le laisser tomber de leur bec qu'à le faire tomber du bec d'un autre ». Mais aussi, l'auteur parle de la Génisse, la Chèvre, la Brebis, en société avec le Lion lorsqu'il dit que « dans toutes les fables où le lion est un des personnages, instruit par son modèle », l'enfant, « a grand soin de

dizaine d'années, s'amuse avec ses copains, dont Loulou, dans les rues d'un quartier populaire de Paris) Ils se baladèrent goguenards (1) dans les rues à la recherche d'une bonne idée de farce, tirant sur une sonnette d'immeuble, appuyant sur un bec-de-cane et criant au commerçant : "C'est pas moi, m'sieur, c'est pas moi !" Puis Loulou eut une idée qu'il exprima par : "Les gars, on va se marrer !" Ils comprirent vite, barrant le bas de la rue Labat, avant la rue Lambert, avec ces sacs roulés

«Le héron, la fille Fable, Jean de la Fontaine, livreVII    LE HERON Un jour sur ses longs pieds allait je ne sais où     Le Héron au long bec emmanché d’un long cou.                Il côtoyait une rivière.    L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours ;     Ma commère la Carpe y faisait mille tours                Avec le Brochet son compère.     Le Héron en eût fait aisément son profit :     Tous approchaient du bord, l’Oiseau n’avait qu’à prendre

la nourriture des colibris [4] devient rare. Un colibri qui possède un bec beaucoup plus court que ces semblables augmentera sans doute la difficulté de sa recherche de nourriture. Ainsi, il possèdera de plus faibles chances de survie et ne pourra sans doute pas atteindre l’âge de se reproduire. De ce fait, il ne pourra pas transmettre cette caractéristique à la majorité de ces descendants. Contrairement à un oiseau dont le bec aurait été plus long que ces semblables et qui aurait pu transmettre ces

péchés : Non charitable et gourmandises. | III | Député Rat | Noble | Demandent de l’aide « demander quelques aumônes légère », « chercher quelques secours » Ils sont démunis « partir sans argent » | III | Le Héron | Noble | « long pieds » « long bec » « long cou » Pas gourmand “…” v9-10 «vivait un régime » Exigeant il n’aime pas les tanches mais il préfère les goujons (repas pour les nobles) | IV | La Fille | ? | -Personnage exigeant : critère de sélection pour trouver son mari parfait -Elle

rougi traîne sur les pavés Avec des yeux pareils à des raisins crevés. D’un tas d’huîtres vidé d’un panier couvert d’algues Monte l’odeur du large et la fraîcheur des vagues. Les cailles, les perdreaux au doux ventre ardoisé Laissent, du sang au bec, pendre leur cou brisé ; C’est un étal vibrant de fruits verts, de légumes, De nacre, d’argent clair, d’écailles et de plumes. Un tronçon de saumon saigne et, vivant encor, Un grand homard de bronze, acheté sur le port, Parmi la victuaille au hasard

qu'il est comique et laid ». Sa déchéance est physique : « maladroits » « gauche » « emboîtant » Il a perdu toute volonté : »veule ». Il est une victime consentante, il connaît la souffrance puisque les hommes le torture avec plaisir : « L'un agace son bec avec un brûle-gueule » et il est le sujet de moquerie. En fait l'oiseau est inadapté au monde des humains;Lorsqu'il est capturé c'est un peu comme si le mal, le monde des Hommes avait capturé un Ange. II. Le monde des Hommes Lorsque l'oiseau

Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : "Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois." A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur