Questions Corpus

Question un :

Le loup et le chien est une fable écrite, par le fabuliste français Jean de le Fontaine en 1668. Cette fable démontre l'opposition entre la liberté et l'esclavage. Cela est la logique du fait que le loup est libre d'aller où il veut tandis que le chien, lui, est rattaché et dépendant de son maître.
De plus, nous comprenons implicitement, alors, qu'il vaut mieux vivre malheureux mais libre, plutôt que riche et dépendant.
Par ailleurs, la Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion est une autre fable de Jean de la Fontaine ayant une morale implicite. Ce concept incite le lecteur à deviner, par lui-même, la moralité sous-entendue dans cette fable. Tout d'abord, dès le nom de la fable, le fabuliste veut nous montrer que le lion est au centre de toutes les préoccupations. De plus, vu que le lion est « fier », vers deux, les trois autres animaux doivent se méfier de celui-ci. C'est alors que nous, lecteurs, nous comprenons implicitement que la loi du plus fort est toujours la meilleure, tout comme dans le loup et l'agneau. Plus précisément, il faudrait que toutes personnes ne fassent pas confiance aux plus forts que soi-même.
Le Loup, la Louve et les louveteaux est la dernière fable du corpus ayant une morale implicite, écrite, en revanche, par Jean Anouilh. Tout d'abord, le loup est « horrible », mais aussi il « fait peur aux enfants », vers un, puis il est « maigre et cruel ». Cela reviendrait à dire qu'il faut se méfier de cet animal. Par ailleurs, l'humain est également un prédateur puisqu'il a tué l'agneau dans le but de se nourrir, tout comme le loup qui, lui, a tué l'agneau dans ce même objectif.
Jean Anouilh veut nous faire comprendre que l'homme n'est pas plus intelligent que tout animal et que tous deux, sont d'égales comparaisons.

Question deux :

Jean Jacques Rousseau reproche plusieurs reproches à l'égard des personnes qui font apprendre des fables de La Fontaine aux enfants. Effectivement,