Beffroi

atteinte aux intérêts de la France10. 11 Rubiales : 2005. 12 Trautmann : 1922. René Trautmann (1875-1956) est diplômé de l’école de Médecine coloniale de Bordea (...) 13 Léon Bocquet (1876-1954), poète et romancier, fonde en 1900 les éditions du Beffroi, consacrées à l(...) 14 Bocquet : 1924. 6Avec Lourdes Rubiales, nous nous accordons cependant à dire que la césure entre la deuxième et la troisième phase n’est pas si nette11. L’ouvrage de René Trautmann12 auquel nous nous intéresserons ici en détail

gothique Clef de voûte de Durand déposée au musée des Antiquités En 1144, Hugues III d'Amiens assiste à la dédicace de l'abbatiale de Saint-Denis20 sur l'invitation de son ami Suger21. L'année suivante, il met en chantier la « Tour neuve »20, un beffroi à six mètres au nord de l’ancien massif de la façade romane12. D'autres travaux sont authentifiés dans la cathédrale même, mais dans une lettre de 1445 dans laquelle il fait part de travaux à l'intérieur, mais sans en préciser la localisation; néanmoins

poste administratif colonial), le mettent pensionnaire dès l'âge de six ans, au lycée de Talence puis au lycée Montaigne de Bordeaux. Il y rencontre Félix Éboué. René Maran débute en littérature en 1909 dans la revue lilloise de Léon Bocquet : Le Beffroi. Il quitte Bordeaux en 1910, après des études de droit, et devient administrateur d'outre-mer en Oubangui-Chari en 1912. Il écrit des poèmes puis son roman Batouala - Véritable roman nègre, encouragé en cela par son ami Philéas Lebesgue qu'il vient

fois la tour terminée, Gustave Eiffel n’en a pas fini car il doit affronter les critiques concernant cette tour. Les critiques étaient pour certaines très négative comme : « ce lampadaire véritablement tragique ». (Léon Bloy), « ce squelette de beffroi ». (Paul Verlaine) , « ce mât de fer aux durs agrès, inachevé, confus, difforme ». (François Coppée), « cette haute et maigre pyramide d'échelles de fer, squelette disgracieux et géant, dont la base semble faite pour porter un formidable monument

---------------------------------------------- • l’hôtel de ville : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- • le beffroi : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- • les halles : ------------------------------------------------------------

première fois, nous percevons le jugement négatif que porte l’auteur sur cet environnement hostile qu’est la mine. « Devant lui, il retrouvait bien le Voreux, dans un plie de terrain, avec ses bâtiments de bois et de briques, le criblage goudronné, le beffroi couvert d’ardoises, la salle de la machine et la cheminé d’un rouge pâle, tout cela tassé, l’air mauvais » (l 3-5 Germinal). Dès le début de Germinal , le lecteur est plongé dans une atmosphère pesante qui amorce le reste de l’histoire. La description

-Tipi immobilier : 165 rue Sadi Carnot -Arcadim :2 bd Vauban -Sergic : 51 avenue jean Jaurès - Abrimmo : rue Sadi Carnot -Orpi : 215 rue maréchal Joffre -Evrard immobilier :27 rue Astride Briand Les offices notariales : -Office notariale Béthune beffroi : place st Vaast - office notariale Me Hollander : 54 place du maréchal Foch - office notariale de Me Lagache : rue Eugène Haynaut Le marché visé s’étendra sur le centre ville de Béthune mais aussi sur les villes et villages voisins qui n’ont pas

de la province), des bâtiments religieux d’importance (une cathédrale ou une basilique)… 3 B. Des villes qui obtiennent leur autonomie politique Doc. 1 page 132 : « Le sceau d’Ypres, 1409 » Doc. 10 page 143 : « Bruges, les halles et le beffroi » Consigne : Analysez les documents pour identifier les moyens par lesquels les villes affirment leur plus grande autonomie politique à partir du Moyen-Age. • Entre le XIème et le XIIIème siècle, certaines villes obtiennent leur autonomie politique

Abbeville) et la puissance des fortifications militaires s'illustra par des réalisations comme à Ham, Lucheux, Péronne, Picquigny, Rambures. Politiquement, la bourgeoisie s'organisa et obtint des chartes communales avec autorisation d'édifier des beffrois, symboles de liberté des cités (Doullens, Rue, Saint-Riquier). Comme ailleurs, les populations eurent à souffrir assez régulièrement des épisodes de famine et de peste. Tout le territoire de l'actuel département eut à souffir de la Guerre de Cent

celles avec l’aigle autrichien à deux têtes, autres vestiges qui rappellent l’histoire mouvementée de la ville. La tour de l’église décanale, imposante, aux murs massifs, avec ses meurtrières jumelées, aurait, dès le 12e siècle, fait fonction de beffroi de la ville. A remarquer que l’église et la porte Saint-Nicolas sont classées monuments nationaux. A vous de découvrir ces « trésors » dans les ruelles de Remich. La Moselle, un long fleuve tranquille Des esplanades fleuries aux pistes cyclables