Belges

du profit et de contenter les actionnaires, les pressions politiques, les pressions d’audience, etc. Ils leur arrivent donc d’être menés en bateau (et de nous mener en bateau !) et de nous divulguer des fausses informations. * 10 Les médias belges à travers le temps Au début du 20ème siècle, on comptait plus de 100 journaux quotidiens en Belgique. Ils ne sont maintenant plus qu’une quinzaine, répartis dans 3 grands groupes de presse. L’histoire est différente pour les médias audiovisuels

passé de 45 % en 1993 à 56 % en 1997. ANVERS ET LES PORTS BELGES Anvers est le 3e port européen pour les trafics conteuneurisés. Il doit sa réputation surtout aux activités de négoce et de service, et aux trafics de marchandises diverses non conteneurisées. Dans ce domaine notamment, son attractivité vis-à-vis des trafics français est ancienne, à tel point qu’il est souvent qualifié de « premier port français ». Parmi les autres ports belges peuvent être également cités Zeebrugge et Gand. Zeebrugge

président et Patrice Lumumba est nommé premier ministre. Celui-ci fait un discours dans lequel il nie toute utilité de la présence des Belges sur le territoire congolais. Ce discours est retransmit à la radio et est perçu par une partie de la population comme un message anti-belges. Des émeutes commencent alors à éclater dans le pays. Il renvoie tous les Belges aux postes importants pour laisser la place à des congolais malheureusement pas formés à exercer ces fonctions. Pour essayer de calmer

Conclusions……………………………………………………..p.9 - Bibliographie……………………………………………………p.10 Biographie de Léopold II Léopold II est né le 9 avril 1835 à Bruxelles. Son père, Léopold I, fût le premier roi des belges et sa mère, Louise-Marie, était la princesse d’Orléans et la reine des belges. Léopold II avait deux frères et une sœur : Louis-Philippe, Philippe et Charlotte. Louis-Philippe aurait normalement dû aller sur le trône, mais il est mort alors qu’il n’avait même pas un an. Donc, Léopold

principal moyen d’identification de ses habitants et que la langue française était acceptée comme la langue commune des élites et des institutions. Depuis quelques décennies, il en va tout autrement. La division politique de l’espace et de la population belges, au fil des deux derniers siècles, sur le seul fondement de l’appartenance linguistique, a débouché sur l’existence de deux entités de nature quasi-nationale. L’entité flamande, nation en voie d’émancipation totale. Et celle qui, incertaine sur son

conséquences aurait une taxation sur les frites pour ces quinze mille personnes ? Une baisse de revenu dans le secteur de la frite aura par conséquent un effet désastreux sur l’emploi. Si la taxation de dix euros a lieu, la plupart des cinq mille friteries belges sera vouée à disparaître, condamnant les tenanciers au chômage. Ne pensez-vous pas que notre pays en souffre déjà suffisamment ? Un autre secteur qui risque de s’écrouler est celui de l’agriculture de pommes-de-terre. Sept mille agriculteurs sont

Belgique. Pour ne pas diriger l'opinion publique, les Allemands ne s'en prennent qu'aux seuls Juifs étrangers, et exemptent les Juifs belges de la déportation (or plus de 90 % des 70 000 Juifs présents en Belgique en 1940 sont des immigrés). Ne disposant eux-mêmes que d'effectifs dérisoires, les Allemands ont besoin pour appliquer leur politique de l'aide des autorités belges. La Belgique est un pays neutre face au Nazisme des Allemands. L’Holocauste en Belgique signifie l’organisation de l’Etat, par le

bien portée. Pourtant, dès les années 1950, c’est le déclin de l’économie wallonne. En effet, après la guerre, les belges commettent une erreur : Ils veulent relancer l’économie sur le modèle d’avant-guerre, les trois grands leviers de l’économie belge étant le charbon, le textile, et la sidérurgie. Malheureusement, ça ne marche pas. C’est la crise du charbon. Effectivement, les belges ne veulent plus retourner dans les mines. Le gouvernement belge décide alors de faire venir de la main d’œuvre de

monarchie Tutsi, leurs successeurs belges ont structuré la société rwandaise en se basant sur des rapports hiérarchiques raciaux (Tutsi « supérieurs » contre Hutus « destinés à servir »). Durant la colonisation, l’administration coloniale s’appuya sur un groupe de Tutsi ayant accédé à l’instruction publique. La monopolisation des plus hauts postes et des meilleurs emplois par les élites Tutsi provoqua les frustrations des élites Hutu. Les colons allemands (et belges par la suite) prétendaient que les

entre Flamands et francophones, sans oublier les Bruxellois et les germanophones. 9 L’avenir du fédéralisme en Belgique et au Canada L’objectif de ce livre est à la fois simple et compliqué. Il ambitionne de comprendre ce que pensent les citoyens belges et canadiens du fédéralisme dans leur pays et de son avenir. Plus précisément, le présent ouvrage vise à étudier les liens entre les perceptions du fédéralisme et les préférences envers son avenir, lors de panels citoyens permettant de recueillir