Belle Du Seigneur

de vocabulaire mélioratif pour décrire Candide par exemple il y a un superlatif absolue puisqu’il est doté des mœurs les plus douces (L.3). Il en va de même pour le baron qui est décrit comme l’un des plus grand seigneur (L11), Cunégonde à la L.45 n’est pas belle mais extrêmement belle (adverbe qui intensif un adjectif déjà mélioratif). Comme dans les contes, la question de l’héritage familiale de Candide est posée puisque le verbe soupçonné (L6) remet en question l’identité paternelle néanmoins

Figaro Dix-neuf pieds sur vingt-six. Suzanne Tiens, Figaro, voilà mon petit chapeau: le trouves-tu mieux ainsi? Figaro lui prend les mains. Sans comparaison, ma charmante. Oh! que ce joli bouquet virginal, élevé sur la tête d'une belle fille, est doux, le matin des noces, à l'oeil amoureux d'un époux!... Suzanne se retire. Que mesures-tu donc là, mon fils? Figaro Je regarde, ma petite Suzanne, si ce beau lit que Monseigneur nous donne aura bonne grâce ici. Suzanne

qui parle, stratégie de la parole, il pose des questions, mène le dialogue. Phrases interrogatives - Questionnement, intérêt - Volume des répliques Portrait élogieux, flatterie, valorisation => Compliments Adjectifs mélioratifs : « la belle » (r.5), « belle personne », « yeux pénétrants » (r.13), « agréable », « jolie taille », « mignon », « beaux », « appétissantes », « charmante personne » (r.15) Réduction de l'écart social : - Plan d'égalité (aristocrate/paysanne) - Flatte sa vanité et son

dieu, mon dieu que ma maitresse est belle !1. lecture linéaire 1er mouvement : éloge de la maitresse de l’auteur (L.1-L.4)2nd mouvement : plaintes de l’auteur, il exalte sa souffrance (L.5-L.8)3e mouvement : mélange des deux premiers mouvements (L.9-L.11)4e mouvement : comparaison de son sort à celui des frères Œbalie (L.12-L14)Mouvement 1 :En répétant « mon dieu » (L.1) deux fois, il accentue la beauté de sa dame, « Mon dieu, mon dieu, que ma maitresse est belle » (L.1).

pour qu’il soit protégé et qu’il devienne, le moment venu, roi. Arthur est un grand roi aimé de son peuple et redouté par ses ennemis. Mais à plusieurs reprises, il fait preuve de faiblesses notamment lorsqu’il se laisse séduire par une jeune et belle inconnue, en réalité sa demi-sœur Margawse, envoyée pour le séduire et concevoir un enfant chargé de perdre Arthur. Arthur est avant tout un homme bon et généreux. Il a d’ailleurs pardonné à Lancelot la première fois qu’il l’a trahi dans les bras

ricanement et de risée. "Et quand j’ai trébuché, ils se sont attroupés pour en rire" (Psaume 34, verset 15). Si "l’infidèle se rit de Dieu" (Psaume 10, verset 13), le Seigneur aussi "se rit de l’impie" (Psaume 36, verset 13). Pire : Dieu semble "se rire du désespoir des innocents" (Psaume Job chapitre 9, verset 23). Que le Seigneur se rie des méchants (Psaume 58, verset 9) on peut non seulement le comprendre, mais aussi l’approuver ; mais qu’il rie des innocents, voilà qui semble condamner le rire

cette foi je veuil vivre et mourir. Vous portâtes, digne Vierge, princesse, Iésus régnant qui n'a ni fin ni cesse. Le Tout-Puissant, prenant notre faiblesse, Laissa les cieux et nous vint secourir, Offrit à mort sa très chère jeunesse ; Notre Seigneur tel est, tel le confesse : En cette foi je veuil vivre et mourir. Introduction François Villon, né en 1431 et mort en 1465, est l’un des poètes les plus connus du Moyen-Age. Il a écrit ses recueils le Petit Testament et le Grand Testament sous

Vénétie, parce que les fleuves y sont tumultueux et dangereux au passage. Maurolycus rapporte qu’on le représentait en Sicile sous les vêtements et l’attirail d’un chasseur ; tandis qu’en Belgique les peintres en faisaient un chevalier ou un seigneur, avec une petite barque à la main et un cerf à son côté ; on trouve enfin son histoire, « telle à peu près » que l’écrivit Flaubert, sur un vitrail de la cathédrale de Rouen. La vie de Julien a été recueillie dans la Légende dorée, par Jacques

enrichi au bourgeois avare, du paysan stupide à l’aubergiste roublard, chacun en prend pour son compte. Les personnages n’ont pas d’épaisseur psychologique, mais ils rappellent par leurs défauts, leurs manies, le voisin que l’on connaît, le seigneur, le prêtre du village. Les fabliaux rencontrent un succès qui ne se dément pas au cours des derniers siècles du Moyen Âge parce qu’ils sont proches des préoccupations de chacun et se jouent dans des lieux familiers (la taverne, la demeure,

l'évêque la fit citer D'avance il l'absolvit à cause de sa beauté Ô belle Loreley aux yeux pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m'ont regardée évêque en ont péri Mes yeux ce sont des flammes et non des pierreries Jetez jetez aux flammes cette sorcellerie Je flambe dans ces flammes ô belle Loreley Qu'un autre te condamne tu m'as ensorcelé Évêque vous riez Priez