Belle Et La Bête Morale

Personnages Portrait (physique et/ou moral) En quoi le personnage est différent physiquement Conséquence De cette différence dans sa vie Photo du Personnage Le petit Poucet Le Bossu de Notre Dame Pinocchio La belle et la bête Boucle d’or Le petit chaperon rouge Plan de leçon 1 / Thème : le rapport à la différence Annexe 1 : La description physique des personnages Leçon 1 : Le rapport à la différence Annexe 2 : Le portrait moral des personnages Personnages Caractère

une lumière intérieure, un instinct, un don divin qui permet de trouver et d’aimer le Bien, selon la nature : « (…) qui la suit obéit à la nature, et ne craint point de s’égarer ». Nulle lutte, nulle conquête dans cette conception de la « conscience morale » : elle nous est donnée et nous dispense même des règles. Nous nous attacherons davantage à l’approche psychologique de la conscience afin de savoir si « elle est source de liberté ou de contrainte ». Nous verrons comment conscience et liberté sont

la vengeance et a la destruction : ≪ vengeait ≫, ≪ destruction ≫, ≪ desorganisant ≫, reference a la ≪ mort ≫, verbe ≪ empoisonnait ≫). Nana = symbole du second Empire. L'image de la ≪ Mouche d'or ≫ : apparence extérieure de faste, de beauté, de morale, ... mais pourriture à l'intérieur (corruption, débauche, courtisanes, …). Cette opposition entre exteriorite et interiorite se traduit dans le texte par : • L'opposition entre les deux portraits (1ere et derniere partie du texte) • L'oxymore

choir. Double-tête n'en a cure. C'est fait. C'est terminé. Si fort que ses intentions aient pu changer, la forme est prise et lui dedans. Il n'a qu'à continuer, malgré l'erreur à présent évidente. Texte J : « Le Monstre » de Verlaine J’ai rêvé d’une bête affreuse et d’un grand nombre De femmes et d’enfants et d’hommes que dans l’ombre D’une nuit sans étoile et sans lune et sans bruit Le monstre dévorait ardemment, et la nuit Était glacée, et les victimes dans la gueule Du monstre s’agitaient et se

fabuliste ou le conteur? On retient souvent de la fable ou du conte des récits enfantins, ses animaux personnifiés et sa morale. La mise en scène d'animaux dans les fables et contes suppose un cadre merveilleux, où elle se révèle être une arme poétique et politique accessible selon les différents niveaux de lecture. Une fable est une histoire fictive dont le but est d’illustrer une morale. Ce récit représente pour le lecteur une leçon explicite que le lecteur apprendre pour mieux vivre. Les premières

excessif » mais également le pouvoir du roi (symbolisé par le lion dans cette fable) et sa sévérité envers les courtisans si on ne lui dit pas ce qu’il attend : V18 « sa grimace déplut. Le Monarque irrité L'envoya chez Pluton faire le dégoûté. » Dans sa morale, La Fontaine donne un conseil qui avec le « vous » s’adresse aussi bien aux courtisans qu’aux lecteurs, d’après La Fontaine pour être à la cour du roi il faut être hypocrite mais pas trop flatteur.  Les Obsèques de la Lionne  Les obsèques de

Double assassinat dans la rue morgue : Introduction : contexte d’émergence : texte appartient aux histoires extraordinairehistoire d’horreur à la base, issu d’un fond mythique qui entre dans La belle et la bête. Ce texte va dans la tradition du roman noir : genre apparaissant fin 18èmeroman lançant genre fantastique. Texte qui à avoir avec l’insolite, l’horreur, le fantastique. « Quelque chose d’excessif et de bizarre », « effroyable mystère ». Avec le personnage de Dupin, Poe instaure une

On a deux questions : « La beauté est-elle posée ici et maintenant ? » et « La beauté est-elle (ou a-t-elle) une vie ? ». La première question renvoie à ta dissertation. La deuxième est, selon moi, le « Balrog ». La beauté vit-elle ? Est-ce si bête de se le demander ? Mais qu’est-ce que la vie ? Les philosophes vont nous y aider ! VOICI MON PLAN DETAILLE : (Problématique : La beauté est-elle une vie présente ?) 1/ PARTIE I D’après Platon, la beauté que nous percevons dans le monde sensible

pas à assassiner plusieurs jeunes femmes pour atteindre son objectif : créer un parfum au "pouvoir invincible d'inspirer l'amour aux hommes". Ce personnage mourut, non pas de la sentence de son procès, mais dévoré par des cannibales. - Description morale "Il n'était pas agressif, pas fuyant, pas sournois, il ne provoquait personne" et vivait replié sur lui-même mais parce qu'il n'avait pas d'odeur corporelle, il inspira dès sa naissance, de l'horreur et du dégoût aux personnes qui s'occupaient de

mignonne, on appelle ce procédé une surprise feinte. * La dernière strophe fait rappelle a cette citation : vivre le jour, le jour dont la traduction en latin est « Carpe Diem ». Ce poème nous rappelle « Sonnet pour Hélène » où il lui fait cette moral à la fin de son sonnet. Il personnifie la rose qu’il décrit vers-3 « sa robe de pourpre au soleil ». Le thème est bien respecté à travers ce poème car la nature est bien représentée par la rose. Ronsard réussit tout de même a intégrer la figure féminine