Belle Marianne

Les Caprices de Marianne, Acte I, scène 3 (à compléter par des citations du texte) I- Une scène de comédie: « un dialogue de sourds » a- Une conversation absurde qui revient comme par enchantement à son point de départ : la vertu de Marianne ⇒ les sérénades ⇒ l’art du chant ⇒ les artistes ⇒ le salaire des juges ⇒ la beauté des sentences de mort ⇒ le greffier et sa femme ⇒ le spadassin ⇒ la vertu de Marianne. …...............................................................................

Commentaire Composé sur « Les Caprices de Marianne » de Alfred de Musset « Une sentence de mort est une chose superbe à lire à haute voix » d’après Alfred de Musset. Ce dramaturge français de la période romantique a écrit une pièce de théâtre qui s’intitule : Les Caprices de Marianne. Cette pièce fut publiée le 15 mai 1833. Dans l’acte deux, scène six, Octave, l’un des personnages principaux de l’histoire est accablé suite à la mort tragique de Coelio qu’il considérait comme « le double de lui-même

de la Terre Thème : Environnement et progrès ----------------------------- PLAN ----------------------------- INTRODUCTION I. MILIEUX AUX CONDITIONS DE VIE EXTREMES A. La fosse océanique des Mariannes : un milieu à pression extrême B. Le lac Vostok : un milieu à température extrême II. LES ORGANISMES EXTREMOPHILES A. Définition B. Exemple : les piézophiles et la bactérie MT 41 III. LA DECOUVERTE

Intro :Ce corpus sur le théâtre est composé de quatres textes : Le premier est extrait de l’art poétique III de Nicolas Boileau, puis, Les Caprices de Mariannes nous vient d’Alfred Musset, Célèbre  poète et un dramaturge français de la période romantique, tandis que la troisième pièce de l’auteur contemporain Eugène Ionesco intitulé La cantatrice chauve dénonce le vide et la vanité des conversation quotidiennes, enfin c’est l’auteur René de Obaldia qui s’exprime à travers deux femmes pour un fantôme

poèmes, adressés à des personnes en particulier (dont Georges Sand par exemple, mais aussi sa mère ou son frère). Alfred De Musset Œuvres principales : Théâtre * 1830 : La Nuit vénitienne (pièce en un acte) * 1833 : Les Caprices de Marianne * 1834 : Fantasio * 1834 : Lorenzaccio * 1834 : On ne badine pas avec l’amour Poésie * 1829 : Contes d’Espagne et d’Italie * 1833 : Rola * 1835 → 1837 : Les Nuits (quatre poèmes) Roman autobiographique * 1836 : La Confession

qui rêve à plus de justice sociale ,plus d'égalité ...Le roman picaresque représente bien les aspirations de la bourgeoisie à jouer un rôle plus important dans la société . On retrouve ces thèmes dans deux grands romans de Marivaux :"La vie de Marianne ", où une jeune orpheline essaie de sortir de la condition la plus humble, et connaît de rudes épreuves avant de parvenir à la considération et à la fortune,et" Le paysan parvenu "qui met en scène un fils de paysan Jacob sans fortune qui fait son

Figaro » écrite par Beaumarchais en 1784. Elle met en scène ici Figaro et Suzanne qui se disputent pour une chambre lors de l’organisation du mariage. Le second texte est tiré de la pièce « Les Caprices de Marianne » (acte II, scène 3) créé en 1851 par Musset. C’est un dialogue entre Marianne et son mari Claudio qui refuse que sa femme revoie son cousin. Le dernier extrait est un passage de la scène 2 de l’acte II de la pièce « Hernani » écrite en 1830 par Victor Hugo. Elle décrit une dispute entre

pièces.Il se brouille avec V.Hugo.   1833 Rencontre avec George Sand, c'est la naissance d'une passion. Ils séjournent à Fontainebleau et partent en Italie, à Venise. On ne badine pas avec l’amour (Pièce de théâtre); Rolla (Poème)Les caprices de Marianne (Pièce de théâtre). 1834 Au début de l’année, Musset tombe malade. Sand noue une liaison avec Pagello, le médecin qui vient soigner Musset. Rétabli, Musset quitte Venise pour Bade, G.Sand rentre à Paris avec Pagello puis le congédie. Lorenzaccio

par laquelle le marivaudage se met en place : jeu délicat où la tendresse le dispute à l’ironie. Sa consécration a lieu avec « Le Jeu de l’amour et du hasard » (1730) et « Les fausses Confidences » (1737). Il est l’auteur de roman comme « La Vie de Marianne » (1731-1741) et « Le Paysan parvenu » (1735). Mais aussi de journaux : « Le Spectateur français » (1722) ou encore « L’indigent philosophe » (1728). Il meurt le 12 février 1723, à la rue de Richelieu à Paris.

italienne, mais sa seule vraie grande pièce, durant ces années, reste la Seconde Surprise de l'amour (trois actes, 1727), présentée au Français où elle reçut un accueil réservé. Même s'il est vrai que Marivaux s'était beaucoup donné au roman (la Vie de Marianne) et aux Journaux, le moment était sans doute venu pour lui d'une grande pièce et d'un beau succès chez ses chers Italiens. On se doute que le Jeu a mobilisé la laborieuse confrérie des sourciers; on trouvera la synthèse de leurs filatures dans