Benito Mussolini

Saint-Exupéry et le fascisme: Pour une poétique de l’idéologie A de la seconde guerre mondiale ne favorise les antagonismes, le retentissement culturel des idéologies fascistes dépassait largement les frontières des régimes politiques de Benito Mussolini et Adolf Hitler1. Le rexisme de Léon Degrelle en Belgique ou l’Estado Novo de Salazar au Portugal indiquaient déjà une internationalisation politique progressive du mouvement, tandis que la conversion de nombreux intellectuels aux nouvelles

des régimes totalitaires (soviétique, fasciste et nazi) Durant l'entre-deux-guerres, l’URSS, l’Italie et l'Allemagne deviennent des régimes totalitaires. L’adjectif « totalitaire » a été utilisé pour la première fois en 1924 par un opposant à Mussolini pour dénoncer l’emprise du régime sur la société. Puis les fascistes et les nazis ont repris à leur compte cet adjectif pour qualifier leur régime. Le concept de totalitarisme a été forgé au milieu du XXe siècle par des politologues américains

fr/noritakazbrevet/histoire/front_populaire.htm 4. La conférence de Munish qui était tenue du 29 au 30 septembre 1938 fut assisté par Hiler ( pour l'Allemagne ), Edouard Daladier ( pour la France ), Neville Chamberlain ( pour le Royaume Unis ) et Benito Mussolini ( pour l'Italie ). Le sujet de celle-ci était de signé un accords qui permettrait de mettre fin à la crise des Sudètes et sceller la mort de la Tchécoslovaquie comme Etat indépendant. http://www.ushmm.org/wlc/fr/media_fi.php?ModuleId=187&MediaId=406

Dans ces totalitarismes, le peuple est totalement mis de coté, Dans certains cas, l’absolutisme peut être poussé à son extrême, l’Etat est alors comme un organisme dans lequel les individus ne seraient que les organes. Par exemple, le dictateur Benito Mussolini qui prit le pouvoir en Italie après la Première Guerre Mondiale, condamnait à la fois le « mythe » de la liberté individuelle et celui des « valeurs universelles » comme la justice ou encore la vérité. « Tout dans l’Etat, rien contre l’Etat,

capitole. Ceci est un évènement marquant car il fait parti du patrimoine romain mais également, à cause de sa construction, qui a entrainé la destruction de nombreux vestiges antiques. Par la suite, dans les années 1920, la dictature fasciste de Benito Mussolini s'inspire beaucoup de la Rome Antique de Jules César. L'ancien président italien souhaite se rattacher au patrimoine italien. Il décide de tracer une avenue reliant son siège politique, le palais de Venise, jusqu'aù Colisée mais ensevelira de

le drapeau frappé d’une croix gammée devient celui, exclusif et officiel, du Reich. En septembre et novembre 1935 sont promulguées les lois de Nuremberg, qui excluent les juifs de la citoyenneté allemande. Le 25 octobre 1937, il accueille Benito Mussolini à Berlin. Il annexe l’Autriche en mars 1938, envahi la Tchécoslovaquie en mars 1939. Le 1er septembre 1939, l’invasion de la Pologne déclenche la Seconde Guerre Mondiale. Le 30 janvier 1939, il annonce dans un discours, la "destruction de la

des conséquences désastreuses en Europe. Des mouvements de grève, de contestation, se développent. C'est le cas notamment en Russie, avec les révolutions de février et d'octobre 1917. En Italie, ce climat prérévolutionnaire favorise l’accession de Mussolini au pouvoir. Il se présente comme le seul rempart contre le communisme. A cela s'ajoute la crise de 1929. Elle a des effets désastreux en Allemagne en raison des liens étroits entre les banques allemandes et américaines. En 1932, un actif sur deux

réconciliation franco-allemande, sous l’égide des deux ministres des Affaires étrangères, Aristide Briand et Gustav Stresemann ; ils furent accompagnés par leurs homologues britannique (Joseph Chamberlain) et belge (Émile Vandervelde), ainsi que par Benito Mussolini, chef du gouvernement italien. Les accords signés garantissaient les frontières européennes, en particulier celles de la France et de la Belgique avec l’Allemagne. En 1926, la France, rassurée, accepta l’admission de l’Allemagne à la SDN. Autre

est ouvertement inspiré par le régime nazi mis en place par Hitler. Le dictateur incarné par Chaplin est largement inspiré par celui-ci et le personnage de Benzino Napoloni fait penser au premier coup d'œil à deux autres dictateurs, l'Italien Benito Mussolini et le Français Napoléon Bonaparte. Bien que réalisé avant le début de la Seconde Guerre mondiale, le film laisse entendre la possibilité d'une nouvelle guerre en Europe en même temps qu'il rappelle la brutalité du régime nazi. Sauf à la fin

du pouvoir en 1922 sous la conduite de Mussolini. Le nom s'étend de l'organisation au régime : le fascisme italien durera d'octobre 1922 (marche sur Rome) à la chute de Mussolini, qui s'opère en deux temps (juillet 1943 et mai 1945). L'usage du terme s'étend ensuite à d'autres expériences faites en d'autres pays (franquisme, salazarisme, nazisme, gouvernement de Vichy),et finit par désigner tous les régimes présentant quelque parenté avec celui de Mussolini. Le fascisme devient un élément essentiel