Berenice Catharsis

imitation esthétique. En jouant la tragédie, le comédien va se libérer de ses passions personnelles en les jouant ( certes différemment mais en les exprimant au travers de quelqu’un d’autre : un personnage ) c’est d’ailleurs sur ce modèle de la catharsis aristotélicienne que Freud mena ses première cure s analytiques.

noyé dort entre eux dans le lit. Durant le chapitre XXV, la passion s’est transformée en haine violente, en souffrances physiques et morales auxquelles s’ajouta la peur l’un de l’autre. D’après Aristote, la visée ultime de la tragédie est la catharsis, c'est-à-dire la purification des spectateurs qui sont confrontés à la représentation d’émotions intenses (la terreur et la pitié) dont ils se trouvent libérés par l’effet de mise à distance induit par le spectacle tragique. Dans ces pièces, les

sociale et aux mœurs de leur pays), et la bienséance linguistique (pas d'excès de langage qui sont remplacé des figures d'atténuations et une syntaxe équilibrée) – La tragédie doit susciter la terreur et la pitié du spectateur afin de faire naître le catharsis (« purgation des passions »). La tragédie assume une fonction de mise en garde.

et qui respecte la règle de la tragédie classique qui consiste à avoir trois unités (lieu, temps, action), la bienséance (pas de mort sur scène). C’est une pièce composée de cinq actes, ils y a des personnages nobles, et la vraisemblance et la catharsis (purgation des émotions en provoquant terreur et pitié chez le spectateur) font parties de la pièce. 2. Le registre pathétique a) Définition * Il cherche à inspirer l’attendrissement et la compassion, en soulignant la tristesse

actants, et non par un récit, et qui effectue/mène à terme par la pitié et la terreur la catharsis de telles émotions.» Ce qu' Aristote explique dans cet extrait de La Poétique, est que la tragédie est l'imitation d'une action honorable, sous forme de spectacle où des acteurs sont en action et non sous forme d'histoire narrative, relevé «d'assaisonnements», donc de rythme, de chant et de mélodie. La catharsis signifie «la purgation des émotions», celui qui regarde le spectacle doit ressentir de la

souvenirs traumatiques. Freud développe la méthode cathartique (=décharge) → fondement de la psychanalyse. Connexions au traumas Abréaction → connexion avec l'expérience, on revit l'expérience ( flash). On se connecte avec la charge émotionnelle. Catharsis = Le patient est libéré de la charge du traumatisme. Les hystéries st de bon sujets pour l'hypnose, ts le monde ne pouvait pas se faire hypnotiser. Freud va y renoncer et garder la méthode Cathartique. Il va créer la Méthode d'association libre

erreurs. Ces deux sentiments doivent permettre aux spectateurs de se désolidariser des passions qui ont poussé les héros à agir et donc de ne pas les reproduire eux-mêmes. Par ailleurs, les théoriciens classiques ont repris à Aristote la notion de catharsis qui signifie approximativement purgation des passions. L'idée est qu’en voyant des personnages animés de passions violentes, les spectateurs accompliront en quelque sorte leurs propres passions et s'en libéreront.

n'empêchent pas l'ironie tragique. UNE FONCTION MORALE La tragédie a aussi une fonction morale. S'identifiant aux héros, le spectateur éprouve, en même temps qu'il les rejette, des passions génératrices de souffrance : c'est ce qu'on appelle la catharsis (ou purgation des passions). Les caractéristiques de la tragédie : a) La structure 5 actes qui vont de l’exposition au dénouement avec une apogée de la crise à l’acte III et l’espoir d’une solution à l’acte IV. Les règles de bienséances

sentiments sont paradoxalement des sources de plaisir. La tragédie a aussi une fonction morale. S’identifiant aux héros , le spectateur éprouve, en même temps qu’il les rejette, deux passions génératrices de souffrance : c’est ce qu’on appelle la catharsis (ou purgation des passions)

unique comme une pièce de palais et elle dure au maximum une journée. La pièce est écrite en alexandrins et en cinq actes. L'effet recherché par la tragédie est d'inspirer la terreur et la pitié et provoque ainsi une purification des passions (la "catharsis"). Son dénouement est souvent malheureux, en général, c'est la mort. Elle aborde des thèmes comme la passion, la vengeance et l'héroïsme. Les deux auteurs principaux sont Corneille, après 1640, et Racine. La mort n'est jamais représentée sur la scène