Berenice Piece Tragique

Sujet : « Les passions n’y sont représentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont causes » écrit Racine dans la préface de Phèdre. Commentez cette affirmation en vous appuyant sur les textes du corpus, sur l’ensemble de la pièce de Phèdreet sur des pièces de théatre vues et lues. Le théâtre du XVIIe siècle s’est beaucoup inspiré des œuvres des Anciens, les auteurs classiques leur vouaient une grande admiration. Ils ont en effet reproduit la plupart des scénarios en y ajoutant

Alexandre le Grand qui est son premier succès. -L'important succès de latragédie Andromaque, assure sa réputation. -Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet(1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). - Racine renonce au théâtre après de nombreuses critiques. -Membre de l'Académie française depuis 1673, Racine est anobli en 1690. Ilest également trésorier de France ce

d’une représentation, le décor et la mise en scène sont primordiaux pour la compréhension de la pièce, sans, un texte peut être mésinterprété. De plus, le décor donne à la pièce une nouvelle dimension en la rendant plus concrète ; sans cette mise en scène une pièce peut perdre de sa finesse. Finalement, différentes mises en scènes peuvent mener à différentes interprétations d’un même texte. Une pièce de théâtre est généralement conçue avec l’idée de base qu’elle servira à une représentation spatiale

le gêne, Albine, et chaque jour / Je sens que je deviens importune à mon tour. (p.36) 5Les Plaideurs est l’unique comédie de Jean Racine. (p.38) 6Racine a été l’amant de célèbres comédiennes comme la du Parc qui interprètent ses héroïnes tragiques (cf. le film Marquise avec Sophie Marceau). (p.38) 7Néron dans Britannicus a suivi les conseils de Narcisse et fait empoisonner Britannicus au cours d’un banquet. (p.39) 8Argument d’Horace de Corneille : lors de la guerre opposant Rome à

Tartuffe : « attaquer par des peintures ridicules les vices de mon siècle » Racine : Tragédies : Bérénice : va se marier avec Titus (empereur de Rome)  pers. nobles et Phèdre fille de Minos et de Pasiphaé  nobles, rois, dieux Son unique comédie : Les Plaideurs La passion pousse les héros à tous les excès : jalousie, avidité, haine, cruauté  déchéance, conflits insolubles, mort ou folie Corneille : Pièce tragi-comique : Le Cid (fin heureuse donc pas tragédie) Ni baroque ni classicisme Ses premières

(1660). En 1659, il tente de reconquérir son public avec Œdipe et donne successivement la Toison d'or (1661), Sertorius (1662), Othon (1664), Attila (1667). Mais la plupart des suffrages vont maintenant à Racine, dont la Bérénice (1670) obtient un succès bien plus vif que Tite et Bérénice que Corneille fait jouer la même année. Après Pulchérie (1672) et Suréna (1674), Corneille cesse d'écrire, s'occupant d'une édition complète de son théâtre (1682). Il meurt à Paris en 1684. | Pierre Corneille

• tragédie : Pièce de théâtre écrite en style noble (alexandrins, style soutenu, etc.) en cinq acte et en vers. Racine et Corneille sont les grands tragédiens français. Cf. Bérénice� Pièce qui met en scène le sentiment de l'homme prenant conscience que des forces (divines, politiques, morales...) le dominent et le plus souvent, l'écrasent malgré la résistance qu'il leur oppose. Le discours tragique est ainsi caractérisé par le lexique de la fatalité et du désespoir. • Drame : Ce genre théâtral veut

ses premiers vers, puis sa première comédie, Mélite. Avec les pièces qui suivront : Clitandre, La Veuve, La Galerie du Palais, La Suivante, La Place Royale, Médée et L’Illusion comique, apparaît un nouveau style de théâtre où les sentiments tragiques sont mis en scène pour la première fois dans un univers plausible, celui de la société contemporaine. En 1641, il épouse Marie Lampérière dont il aura 6 enfants. Corneille, auteur officiel nommé par Richelieu, rompt avec ce statut de poète

et Chariclée », tirée du roman pour lequel il s'était tant passionné à Port-Royal. Molière, n'en ayant point été content, lui donna le plan de «  la Thébaïde , ou les Frères ennemis », sujet sur lequel on assure qu'il s'était exercé lui-même. Cette pièce eut quelque succès. « Alexandre », joué l'année suivante (1663), réussit complètement et montra de grands progrès dans la versification de l'auteur, alors âgé de vingt-cinq ans; mais hors les vers, rien dans ces deux ouvrages n'annonçait encore Racine

Britannicus, Jean Racine (1669) GENRE : Pièce de Théâtre RESUME : Junie est détenue par Néron, l’empereur. Celui-ci tombe amoureux de Junie, mais ce n’est pas réciproque puisqu’elle est l’amante de Britannicus. Néron décide de tout faire pour la conquérir, et organise une rencontre entre les deux amants pour qu’elle déclare à Britannicus qu’elle ne l’aime plus. Ceci ne marchant pas, Néron emprisonne Britannicus ainsi qu’Agrippine. Elle arrive à obtenir une entrevue avec son fils, et celui-ci