Bergson L Homme Est Le Seul Animal

des stéréotypes bourgeois londoniens. De plus, ils sont ignorants, prisonniers de leur propre bêtise. Les personnages sont des antihéros, des personnages privés de toute forme d’extraordinaire, ils ne sont même pas ordinaires- ils sont inutiles, leur seul rôle est celui de clown, ils amusent, divertissent le spectateur à leurs propres dépens- qui au contraire de s’élever, ne font que s’enfoncer dans leur médiocrité. Les personnages ne chutent pas car ils ne recherchent pas l’ascension. Dans En attendant

Montaigne Et il y a la foi fervente du mystique et du fanatique. * Que croit-on ? A qui ou à quoi croit-on ? En la présence du divin et, en Occident, d’un Dieu unique et créateur. Qui est Dieu ? Dieu existe-t-il ? I LE SENTIMENT DU DIVIN « L’homme est un animal religieux », Feuerbach A. LE SENTIMENT RELIGIEUX 1) Une pluralité de religions Dès la Préhistoire, à travers le culte des morts, se fait jour un sentiment religieux qui, au fil du temps et des lieux, prend des formes très différentes : animisme

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Carnap (31) — Greene (32) — Aspect (34) — Lem (37) — Kant (39) — Bergson (41) — Heidegger (43) — Sloterdijk (44) — Canguilhem (46) — Spengler (48) — Dardel (50) — Houellebecq (51) — Augé (52) — Arendt (54) — Traité (56) — Virilio (57) — Boudon (59) — Bachelard (61) — Cheng (62) — Delluc (64) L’ESPACE ET L’HOMME Sujet 1 Peut-on dire que seul ce qui s’étend existe ? 66 Sujet 2 Le silence de ces espaces infinis doit-il encore nous effrayer ?

figure emblématique du philosophe, n’a qu’un objet de réflexion et d’étude, les affaires humaines, en morale et en politique, et donc la Vertu entendue comme la valeur par excellence. Quels buts l’homme doit-il poursuivre pour être véritablement un homme et pour être heureux? Les hommes ignorent ce qu’ils font et ce qu’ils savent. En interrogeant les Athéniens estimés les plus compétents, Socrate découvre que le chef militaire ne sait pas ce que c’est que le courage et que le prêtre ne sait pas ce

actes.   Les instincts sont innés chez l’animal et l’Homme, mais l’Homme va les transformer par l’éducation, la culture,… Il né en quelque sorte animal mais du à plusieurs processus, il fait disparaître ses instincts pour laisser place aux pulsions psychiques, à l’intelligence. C’est un processus évolutive : l’Hominisation ( évolution de l’homme animal à l’Homme ). Les restes d’instincts que nous avons gardé sont l’instinct de nutrition, de reproduction,…   Un instinct est propre à tous les individus

sens à nos soins, souvent trop techniques et deshumanisés. Ils permetent de leur conférer ce que Bergson appelait « un supplément d’âme ». Dans la pratique, cela nous conduit au respect de l’être humain, de sa dignité, de son unicité et de son intégrité. l’humanitude est « l’ensemble des particularités qui permet à l’homme de se reconnaître dans son espèce, l’humanité… et de reconnaître un autre homme comme faisant partie de l’humanité ». Pour eux, ces particularités sont : la verticalité, le

notamment la capacité de ressentir de la souffrance) semble ainsi conférer un statut moral à l'individu (cf. l'utilitarisme de Bentham et celui de Peter Singer, qui incluent les animaux dans le calcul des conséquences, en raison de leur capacité à ressentir la souffrance). B. La conscience comme capacité de contrôle Texte de Bergson Un dualisme corps / esprit « Si, comme nous le disions, la conscience retient le passé et anticipe l'avenir, c'est précisément, sans doute, parce qu'elle est appelée à effectuer

pour s’adapter à la situation et faire le bon choix. Mais, à force d’expérience, cela se fait presque seul, je perçois et réagis tout en pouvant discuter avec mon passager. C’est pourquoi Bergson dira que la conscience est « la fonction du réel » et dès lors que l’adaptation n’est plus nécessaire par sur-adaptation, elle se retire, inutile. Je n’ai plus besoin de choisir, je réagis, comme un animal réagira instinctivement à un stimulus. Dans certaines pathologies, comme l’hystérie, on peut faire un

catégories : _ Les végétaux : ils n’ont pas conscience d’eux mais sont sensibles à l’environnement _ Les animaux : chez les animaux l’instinct remplace pour une part la conscience. Ainsi ils n’ont pas de conscience du bien et du mal qui est liée à l’image que l’on a de soi-même. Descartes lui ni toute forme de conscience chez les animaux, c’est la théorie des « animaux machines ». Pour lui les animaux ne sont pas différents des machines et ne peuvent donc pas être dotés de conscience. D. admet que les

Introduction : « L’homme est un animal doué de langage » Cette définition, formulée par Aristote, signifie que si l'homme est un être vivant parmi tous les autres, il s'en distingue cependant en ce que lui seul est doué du langage ou de la parole. Cette première définition ne saurait être comprise indépendamment d'une seconde, suivant laquelle : « l'homme est un animal politique », autrement dit un être qui ne saurait vivre qu'en communauté. Pourtant il existe des animaux qui, eux aussi, vivent en