Bergson Le Portrait Achevé S Explique

Troie. Ils participent à la nature humaine. Les femmes : Les femmes obéissent aux lois sociales qui les séparent des hommes. Par exemple Pénélope sort peut de son appartement. Elles ne sont pourtant pas méprisées pour autant. On a de très beaux portraits de femmes : Pénélope, Andromaque. Les hommes sortent et c’est très significatif du monde troyen : le monde des femmes est à l’intérieur du rempart et le monde des hommes sur le champ de bataille, et lorsqu’ils passent les remparts, ils se délestent

régime » (Arrêté du 30 mars 1992) Présentée par Valérie KOUAME épouse MARTIN Sous la direction de Monsieur le Professeur Jacques MOUNIER Novembre 1995 2 ASPECTS COMPARES DU ROMAN FRANCOPHONE CONTEMPORAIN Etude de six romans : Portrait d’un inconnu de Nathalie Sarraute Le planétarium de Nathalie Sarraute Habel de Mohammed Dib L’escargot entêté de Rachid Boudjédra Les crapauds-brousse de Tierno Monénembo L’anté-peuple de Sony Labou Tansi 3 A Claude, mon époux, A mes enfants

difficultés majeures : — Chaque auteur a une terminologie qui lui est propre, en fonction de l’époque et du contexte philosophique dans lequel il s’inscrit. Un terme tel que « objectif » ne répond pas forcément au même concept chez Hegel et chez Bergson : dans le premier cas, l’objectif renvoie à un stade de négation du subjectif par lequel l’esprit s’extériorise et se manifeste, alors que dans le second cas, l’objectif est ce qui est homogène et ce qui, par conséquent, n’est pas en mesure de traduire

tenter d’y suppléer en restaurant une relation de médiation par laquelle l’élève pourra accéder au sens de l’apprentissage. Sur un plan psychologique, Rosine Debray (1989) a étudié le concept de médiation de ses origines à ses conséquences. Elle explique qu’au sein d’un environnement stimulant et encourageant, le jeune enfant disposera des conditions énergétiques essentielles à l’élaboration de conduites motivées. Par exemple un bébé qui est encouragé à faire ses premiers pas « peut éprouver un sentiment

chemin de Damas », se mit à raconter une histoire simplement humaine et « où pourtant il y avait tout » ce qu‘il avait à dire. Dégagée désormais de la nébuleuse symboliste où elle aurait fini par s’étioler, son œuvre romanesque se mit enfin à vivre. Achevé au début de 1913, Le Grand Meaulnes ne doit rien à la rencontre de l’écrivain avec l’actrice Simone qui devint sa maîtresse cinq mois plus tard. En revanche, c’est sous son influence qu’il ébauchera un deuxième roman, Colombe Blanchet, et une pièce

même volontairement » (p. 80). L'auteur fait à ce propos une remarque explicative : est, par essence, esprit « toute évocation consciente et habile du comique, que ce comique relève de notre optique ou de la situation » (p. 78). K. Fischer, pour expliquer les rapports de l'esprit et du comique, fait appel à la caricature, qui, dans son traité, leur sert d'intermédiaire (Ueber den Witz, De l'Esprit, 1889). Le comique a pour objet la laideur dans ses diverses manifestations : « se cache-t-elle, il faut

de l’Ecole des femmes et l’Interroptu de Versailles. Pour Molière, la grande règle de toutes les règles est de plaire au public. Il ne faut pas donc juger une pièce d’après les règles, mais d’après l’effet qu’elle fait sur la. Ce souci de plaire explique en partie la diversité du théâtre de Molière. La matière de sa comédie est la peinture de la nature humaine. Il concilie la généralité de l’observation avec la peinture des moeurs contemporains. Il veut attaquer les vices de son siècle. Ce qui

affecte la partie du corps située autour des aisselles.» Ainsi, pour cet auteur de l’Antiquité, l’Homme, étant le seul capable d’expérimenter la sensation de chatouillement, il est le seul animal capable de rire. Dans sa thèse dans la Poétique, il explique que le rire réprouve le vice en exprimant et en sollicitant des sentiments de mépris envers ceux qui se conduisent de façon ridicule. Cependant, Aristote omet de donner une définition du ridicule et par conséquent d'indiquer quels vices particuliers

est-il capable d’exprimer l’émotion / les états ‘souterrains’ de notre conscience ou tout simplement la pensée ? 1.3 La relation entre le langage et la pensée Plusieurs philosophes se sont déjà intéressés à cette problématique, notamment Henri Bergson, qui estime que la « pensée pure » est « indépendante de toute formulation discursive », les mots ne pouvant que la dénaturer : « [...] le mot aux contours bien arrêtés, le mot brutal, qui emmagasine ce qu’il y a de stable, de commun et par conséquent

Pour la méthode d’observation, il dit qu’il n’y a pas de société sans histoire (inculte) -> Problème d’accès à l’histoire. LS revient sur le danger des comparaisons hâtives entre des systèmes culturels différents. En fait, il dit qu’on ne peut pas expliquer l’histoire d’une société en la rapportant à des exemples d’autres sociétés (p.30) : on projette sur la culture étudiée des raisonnements qui ont cours dans notre propre culture et on étudie le passé de notre propre culture par des observations de