Bergson Tuile

de texte : Le Rire, Bergson Le mot conscience vient du latin cum-scientia qui signifie accompagné de savoir. Être conscient, c’est en effet percevoir que le monde existe. Le fait d’être conscient constitue donc pour l’homme un événement décisif qui l’installe dans le monde et lui commande de prendre position. L’homme, dans la mesure où il est conscient, n’est plus simplement dans le monde une chose parmi les choses, un vivant parmi les vivants. Toutefois pour Bergson le voile existant

en tire des outils et des objets fabriqués qui composent un monde nouveau, le monde humain." Par "ainsi" l'auteur annonce l'explicitation du processus de négation: "changer" signifie effectivement rendre autre, donne un autre forme: grâce à ce que Bergson appelle la structure naturelle de l'homme, une intelligence fabricatrice, l'homme invente des instruments et donne à ses instruments la permanence en les fabriquant avec un matériau qu'il tire de la nature: le bois, le fer... Les instruments lui permettent

la conscience par Bergson qui est un philosophe français du 19ème siècle. Dans ce texte, Bergson s'intéresse principalement à la notion de langage. L'auteur soutient que le langage a une influence sur nos sensations. Dans ce cas, est-il possible de donner une définition exacte de nos sensations par le langage sans les déformer? Bergson tente d'y répondre par ce texte composé de sa thèse, du problème implicite qu'il pose et de sa réponse au problème. Pour commencer, Bergson nous expose sa thèse

un autre de façon successive dans cette forme pure et a priori qu'est le temps. Ce texte de Bergson a pour thème ces changements d'états qui concernent tout être humain et la façon dont chaque état affecte l'individu concerné. Le problème ici est de savoir si un individus peut ou non prévoir ces états futurs et également de savoir comment ces changements d'états définissent nos personnalités. Pour Bergson, il est tout à fait impossible de prévoir un état futur alors même que ceux-ci affectent notre

décidé, rien pu maîtriser. Pourtant, si l'on rit de cette situation, peu de temps après, on le regrette en se disant que ce n'est pas drôle, mais au fond avons nous réellement pu maîtriser ce rire ? l'empêcher de s'échapper ?D'ailleurs comme le dit Bergson

pour l'homme et qui devient donc parfois nécessaire. L'homme croit alors en un pouvoir supérieur , celui de Dieu. Chacun trouverait alors en Dieu une consolation , une sorte d'écoute divine , qui ne jugerais pas et qui pardonnerai les hommes. Selon Bergson, la religion aurait pour but de renforcer l'homme. Les croyances peuvent aussi se décliner sous forme de superstitions. En effet , l'homme en doute va avoir tendance à interpreter certains signes. Par exemple , le passage de corbeaux qui seraient

Philosophie Explication de texte. Extrait de l'ouvrage de H. Bergson : « Les deux sources de la morale et de la religion ». Bergson, dans la première partie de l'extrait, expose et analyse les réactions de ce que l'on appelle « les mentalités primitives » face à un fait de la Vie comme « la mort, la maladie ou tout autre accident ». Il oppose à cela les réactions d'une éducation, elle, scientifique, confrontée au même fait. Il exprime les différences et les '' attitudes '' intellectuelles des deux

une renommée internationale et une certaine aisance financière. Le prix Nobel honore avant tout les romanciers, essayistes, poètes et dramaturges. On compte toutefois, dans la liste des lauréats, trois philosophes (Rudolf Christoph Eucken, Henri Bergson et Bertrand Russell) et deux historiens (Christian Matthias Theodor Mommsen et Winston Churchill, également distingué pour ses discours politiques). LE PREMIER PRIX    L'Académie Nobel vient d'annoncer que le prix Nobel de littérature 2010 était

l’être humain réside aussi dans le fait qu’il est un être culturel. La culture nous révèle que l’homme a sa manière de manger, de s’habiller, d’enterrer les morts. Aussi trouve t-il des solutions spécifiques aux problèmes qui se posent à lui. Henri BERGSON ne s’y est point trompé en ce sens en définissant l’homme comme « homo faber » c’est -à –dire un fabricant, un producteur de culture. Si l’homme est producteur de la culture il est aussi produit de la culture, d’où le mot célèbre de KANT « L’homme

Religion et Société Introduction : « On trouve des religions qui n'ont ni science, ni art, ni philosophie. Mais il n'y a jamais eu de sociétés sans religion. ». Cette phrase d'Henri Bergson tirée de Les deux sources de la morale et de la religion montre bien le lien très fort qu'il existe entre religion et société. Cicéron a été le premier à donner une définition à la religion, c'est « le fait de s'occuper d'une nature supérieure que l'on appelle divine et de lui rendre un culte ». Il n'existe