Bergues

langue ce parle dans une partie de la Flandre Française. Puis il y a le Dunkerquois. Cette langue la ce parle bien sûr à Dunkerque mais aussi quelques villes au tour de Dunkerque, comme par exemple Saint-Pol-sur-Mer, Grande-Synthe, Coudekerque et Bergues. Et puis encore une langue, le picard, avec ses variantes locales : le Ch’ti, le rouchi et tout simplement le patois. C’est avec cette langue que les habitants du Nord-Pas-de-Calais sont parfois appelés les Ch’tis. 8. Les beffrois.

l'enquête, la recherche d'indices. on surveille, on guette, on essaye de comprendre les motivations de l'assassin.      Les investigations de Bergues d'abord, puis celles de Langlois sont sans succès : on ne retrouve pas le coupable. La  présence de la police n'empêche pas le criminel d'agir, d'autres disparitions sont constatées, celles de Callas Delphin et de Bergues ;  L'enquête se termine sur un non-lieu, Langlois quitte le village et laisse les villageois avec leurs angoisses et leurs interrogations

Le personnage de Langlois est-il un héros romanesque? Rappel: Portrait La première fois qu'il vient au village, après la disparition de Bergues, il est capitaine de gendarmerie. Au Café de la route, où il s'installe, il tire de son havresac "une longue pipe en terre", "des pantoufles fourrées et une casquette en poil de bichard". Mais les villageois ne tardent pas à se rendre compte que, sous ces dehors bonshommes, se cache "un sacré lascar". On apprendra plus tard qu'en Algérie, il a dû affronter

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Lamartine est élu député de Bergues (Nord). Il apprend cette élection en avril alors qu'il est encore en Orient. En octobre, il rentre à Mâcon. En décembre il prend séance à la chambre des députés, il y siègera jusqu'en 1851. | 1834 | Les Destinées de la poésie sont publiées dans la Revue des Deux Mondes | 1835 | Publication de Voyage en Orient | 1836 | Publication de Jocelyn, inspiré par la vie de l'Abbé Dumont, curé de Milly | 1837 | Lamartine est élu député de Bergues et de Mâcon | 1838 |

décident de s’associer. Signe de leur rapide prospérité, ils rachètent en 1870 la ferme d’une abbaye à Bergues, près de Saint-Omer (Pas-de-Calais). Louis Dutour fils la transforme en 1872 et y installe une malterie (usine pour la préparation du malt provenant de l’orge). Faute d'accord entre les descendants, en 1901, les usines sont réparties entre les deux branches de la famille, Wat et Dutour. A Bergues, Louis Dutour assisté de ses fils transforme la distillerie de grains en distillerie de betteraves

cache un « sacré lascar ». Nous le voyons tout de suite mener l'enquête, selon les règles du roman policier, se mettant à la table de Bergues, imitant les gestes supposés de la victime en train de manger... Mais Giono pervertit très vite le système. En tant qu' enquêteur-protecteur, Langlois accumule les échecs. Malgré ses recherches méthodiques, le corps de Bergues n'est pas retrouvé. En dépit des consignes de sécurité instaurées, Callas Delphin-jules disparaît et l'amour-propre de Langlois est blessé

décident de s’associer. Signe de leur rapide prospérité, ils rachètent en 1870 la ferme d’une abbaye à Bergues, près de Saint-Omer (Pas-de-Calais). Louis Dutour fils la transforme en 1872 et y installe une malterie (usine pour la préparation du malt provenant de l’orge). Faute d'accord entre les descendants, en 1901, les usines sont réparties entre les deux branches de la famille, Wat et Dutour. à Bergues, Louis Dutour assisté de ses fils transforme la distillerie de grains en distillerie de betteraves

par un grand succès en 1820. Plus tard, il épouse Mary-Ann Birch. En 1829, il est élu à l’Académie française. Sa carrière diplomatique et politique : d’abord nommé attaché d’ambassade à Naples en mars 1820, Lamartine est élu tour à tour député à Bergues (Nord) en 1833 après un voyage en Orient (1832), conseiller général de Mâcon, ministre des Affaires étrangères. Il devient chef du gouvernement provisoire de 1848. La même année, il est battu aux élections présidentielles. Parallèlement à cette carrière

nous plonges au coeur de le vie hospitalière avec un patient, Jean-Dominique Bauby, qui est bloqué dans son « schaphandre », comme il se plait à l'apeller. L'auteur nous fait donc découvrir, son nouveau lieu de vie, sa chambre et l'hôpital de Bergue. Au travers de ces mots, on découvre, plusieurs situations et émotions. Il nous raconte ces journées, bloqué dans un fauteuil, ou dans son lit, ou certain passe sans même prendre le temps de l'écouter, de le regarder. Au travers des chapitres, on