Bernadette Chirac

Jean-Louis Debré est assistant à la faculté de droit de Paris. Conseiller technique au cabinet du ministre de l’Agriculture et du Développement rural en 1973, il est fait conseiller technique au cabinet du ministre de l’Intérieur (en la personne de Jacques Chirac) en 1974. Proche du futur président de la République, Jean-Louis Debré devient son chargé de mission lorsque celui-ci est nommé premier ministre. Il devient ensuite le chef de cabinet de Maurice Papon, ministre du Budget de 1978 à 19793. Dans les

négrières Olivier Pétré-Grenouilleau ; par la reconnaissance officielle, en février, des « massacres » de Sétif et, en juillet, des « répressions » de 1947 à Madagascar ; et, finalement, par le discours solennel du Président de la République, Jacques Chirac, qui appela en décembre à un « apaisement des esprits ». Le temps paraît donc déjà lointain où Daniel Rivet pouvait écrire – dans un article appelant, en 1992, à un renouveau de l’histoire de la colonisation : « le temps des colonies et l’épreuve

fois sa faible utilité et justification juridique. Il n'a ainsi été utilisé que 6 fois en 59 ans sous la IIIe République et n'a entraîné aucune poursuite sous les présidences successives de MM. Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand et Jacques Chirac qui ont refusé d'y avoir recours. » ➢ Le dernier cas d'usage de l'offense date de août 2008 sous Nicolas Sarkozy (affaire «Casse toi, pov' con !»). Le général de Gaulle s'est servi plus de 500 fois de ces chefs d'accusation

a connu jusqu’à la prochaine élection présidentielle de 2007, quatre président de la république. On examinera successivement la continuité et l’ouverture avec Pompidou et Valery Giscard d’Estaing, L’alternance et la cohabitation avec Mitterrand et Chirac. Le pompidolisme et Giscardisme : Ouverture et continuité Le pompidolisme : Georges Pompidou élu en 15 Juin 1969 veut affirmer une continuité du Gaullisme qui dépasserai l’opposition gauche-droite, mais d’un gaullisme plus moderne. Il choisit

nouveaux, en conséquences de l'application de la Constitution : l'alternance et la cohabitation. Durant la Ve République la France a connu trois cohabitations. La première se passe de 1986 à 1988 avec le Président François Mitterrand de gauche et Jacques Chirac son Premier ministre de droite. La suivante est de 1993 à 1995, toujours avec le Président F.Mitterand mais avec Edouard Balladur comme Premier ministre et la dernière de 1997 à 2002 avec J.Chirac comme président et Lionel Jospin en Premier ministre

alterna entre une coalition de gauche (composée du parti socialiste et du parti communiste, et plus récemment Les Verts), et une coalition de droite (composé par l'Union pour la démocratie française et le Rassemblement pour la République de Jacques Chirac, plus tard remplacé par l'Union pour un mouvement populaire). Les années 1980 et années 1990 ont vu aussi l'émergence du Front national de Jean-Marie Le Pen, un parti accusant l'immigration, particulièrement l'immigration provenant des pays d'Afrique

« mai 1968 ». Les discussions regroupaient à la fois des représentants du gouvernement, des syndicats et des organisations patronales. Les représentants du gouvernement étaient principalement Georges Pompidou, premier Ministre de l’époque, et Jacques Chirac, le secrétaire d’Etat aux Affaires sociales. Bien que les négociations aient eu lieu au Ministère des Affaires sociales, Jean-Marcel Jeanneney, Ministre des Affaires sociales, a été écarté par Georges Pompidou qui voulait diriger les négociations

divise encore les Français. III.Les mémoires multiples de la Seconde Guerre mondiale (début des années 1990) 1. La reconnaissance officielle de la responsabilité de l’État français Le 16 juillet 1995, le président de la République française Jacques Chirac reconnaît la responsabilité de la France dans les crimes commis par l’État français. Les gouvernements successifs reconnaissent progressivement la responsabilité de la France dans la mise en œuvre du génocide. En 1996, la France finit de réparer

s’exprimer devant l4Assembl2e française. 26/27 juin 2000 : Jacques Chirac soutient au Bundestag l’entrée de l’Allemagne comme membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU et la mise en place d’une Constitution européenne. 6 juin 2004 : 60e anniversaire du débarquement des forces alliées en Normandie. Gerhard Schröder est le premier chancelier allemand à assister a cette commémoration. Gerhard Schröder et Jacques Chirac (1995–2005) De plus en plus, la coopération franco-allemande est au

Valéry Giscard d’Estaing qui est élu et il va gouverner avec plus de modernité et il va passer par des actes symboliques comme descendre à pied l’Avenue des Champs-Élysées. Il choisi comme Premier Ministre un candidat qui l’avait soutenu, Jacques Chirac, et va mettre en place de nombreuses réformes sociales (par exemple, il va abaisser l’âge de la majorité de 21 ans à 18 ans et va instaurer le collège unique), va s’intéresser aux mœurs (par exemple, il va faciliter la procédure de divorce, il va