Bernadette Chirac

contre l’humanité en France, notamment celui du haut fonctionnaire Maurice Papon en 1997, établissent désormais clairement la complicité de l’état dans les déportations. Officielle reconnaissance des crimes de l’Etat français en 1995 par Jacques Chirac qui lève le voile sur des ambiguïtés. Lois mémorielles : Lois qui, sur certains sujets, établissent des vérités historiques officielles et visent à réprimer ceux qui les nient ou les falsifient. Devoir de mémoire : (Expression apparu dès les

Travail de recherche n°2. Les combats pour l'abolition de la peine de mort en France 2. La trahison et l’espionnage, l'atteinte à l’ autorité de l’État et à l'intégrité du territoire, l’usage d'armes, l'atteinte à la paix intérieures, la participation à un mouvement insurrectionnel, le crime contre la personne, les crimes contre la propriété, le code de justice militaire; tous ses crimes étaient passible de la peine de mort. 3. Pour la plupart des exécutions la guillotine était utilisé sauf

ne sera donc théoriquement plus possible, et c'est le fait majoritaire qui s'applique. Le septennat fut finalement remplacé par le quinquennat suite à un référendum le 24 septembre 2000. Elle est mise en œuvre en 2002 sous l'initiative de Jacques Chirac.   transition II. La fonction Présidentielle : pouvoir variant et constant chapeau A. Pouvoir exécutif influent renforcé par une majorité législative. * L’article 5 de la Constitution de 1958 « le président de la république

Recherche sur la JAPD : Anciennement appelée JAPD et maintenant appelée JDC (Journée Défense et Citoyenneté) est une journée qui a été instaurée par Jacques Chirac en 1998. Elle a pour but de sensibiliser la jeunesse aux questions de Défense. On est obligé de participer au JDC suite à une Convocation envoyée par le ministère de la Défense. Vous avez le droits de ne pas aller aux JDC pour les raisons si dessous : Si vous êtes salarié ou apprenti Sur présentation de la convocation, vous bénéficiez

République reste-t-il la clef de voûte des institutions de la République dans tous les cas ? II/ Le président de la République, en pratique capitaine ou arbitre des institutions de la Vème République En 2000, le président de la République, Jacques Chirac, réforme la constitution : le mandat présidentiel passe du septennat au quinquennat. Ceci se fait dans le but de cadrer les élections présidentielles dans les élections législatives et ainsi disposer d’un soutien parlementaire inconditionnel et ne

surtout en cause les rapports de travail et les structures de pouvoir dans l'entreprise, le parti communiste (PCF) et la CGTinsistent sur les revendications professionnelles et salariales. Le 27 mai, les représentants du gouvernement (notamment Jacques Chirac, alors secrétaire d'État aux Affaires sociales, chargé de l'Emploi), des syndicats et du patronat signent les accords de Grenelle, qui portent essentiellement sur une augmentation de 10 % des salaires et une revalorisation de 35 % du SMIG (salaire

période de fait majoritaire se sont retirés plusieurs fois à la demande du Chef de l’Etat, en l’absence de tout conflit grave avec l’Assemblée Nationale : en 1972, Jacques Chaban Delmas a été invité à démissionner par Georges Pompidou. Monsieur Jacques Chirac en août 1976 en désaccord avec le Président de la République de l’époque en ce sens Valéry Giscard d’Estaing démissionnait. Le Chef du Gouvernement dans ce contexte politique est bien responsable devant le Chef de l’Etat qui peut le démissionner

ce que l’abstentionnisme ? C’est un phénomène consistant en ce que, volontairement ou de fait, certain nombre de citoyens ne fassent pas usage de leur droit de vote. Pour exemple, en 2002, lors de l’élection qui opposait Jean Marie Le Pen à Jacques Chirac, le taux d’abstention était de 28.4%.  III/ Le vote obligatoire à travers le monde : Plusieurs pays, et pour certains d’entre eux depuis longtemps déjà, ont fait le choix du vote obligatoire. Cette institution est aujourd’hui fort ancienne

parti et donc le candidat naturel à l’élection présidentielle va être désigné par les militants. En France, on constate que cette possibilité des primaires a été envisagée en 1994 par Charles Pasqua qui était confronté à un affrontement entre Jacques Chirac et Edouard Balladur. Cette idée de primaires a été écartée à l’époque car elle était étrangère a leur parti (RPR devenu UMP). Cela a commencé dans les années 90, défait massive du PS aux législatives de 1993 (deuxième cohabitation). On va décider

non-gaulliste. Ce centre français a été associer à la droite. F.Bayrou a été élu président de ce partie en 1998, sous son influence, il a procédé à un remaniement du parti, un recentrage progressif. Cela crée un séparation interne au sein du groupe. Jacque Chirac et Allain Juppé crée l'UMP comme parti unique de la droite et du centre. La plupart des UDF sortant, vont dans ce partie. En 2004, l'UDF quitte le partie populaire européen et fonde le partie démocrtate européen. Gille de Robien appelle à l'UDF,