Bertha Pappenheim

psychanalytique. Poursuivant les idée psychogénétiques de quelques-uns de ses prédécesseurs, il a donné à l'hystérie et à la nervosisme leur lettre de noblesse. dès 1883, joseph breuer a consulter à freud de son commission de sa serein Anna O. alias Bertha pappenheim qui souffrait de opaque hystériques. Les avatars transférentiels et contre-transférentiels de cette cure menée par breuer ont donné lieu jusqu'à récemment à toute une série de sape 9. c'est à Paris dans les services du maître charcot en 1885

suggestion à la cure psychanalytique[modifier] Article détaillé : Société psychanalytique de Vienne. En 1895, Breuer et Freud publient leur Études sur l'hystérie qui regroupent les cas traités depuis 1893, dont celui d'Anna O. (de son vrai nom Bertha Pappenheim). Anna O. est la patiente de Breuer, qui est présentée comme un exemple type de cure cathartiqueB 16. Avant de devenir la cure psychanalytique au sens strict, Freud a en effet dû abandonner lasuggestion et l'hypnose, puis la méthode cathartique

avec Martha Bernays en avril 1882, ils se fiancent. Au même moment, il entre dans le service du professeur de médecine générale Nothnagel, initiateur à Vienne de l’électrophysiologie, et est mis au courant par Joseph Breuer du traitement de Bertha Pappenheim (plus connue sous le pseudonyme de Anna O. en psychanalyse), qui souffrait de troubles hystériques, par la méthode cathartique. L'année suivante, Freud devient stagiaire dans le service psychiatrique de Theodor Meynert, considéré en son temps

travaillant sur l'hystérie; ce dernier maîtrisait l'hypnose. Il a aussi fait la rencontre de Joseph Breuer, médecin viennois, ils écriront ensemble Les études sur l’hystérie. Breuer a d'ailleurs traité une patiente, Anna O. (de son vrai nom : Bertha Pappenheim) malade puis soignée, sur qui Freud écrira un article. Cette dernière souffre de multiples symptômes : paralysie, hallucination, et hydrophobie. Breuer décide alors d’utiliser la méthode cathartique. Anna O. raconte sous hypnose son passé

Peut-on refuser l'idée d'inconscient ? Pour commencer en lisant cette question la première chose a faire, c'est de la définir. L'inconscient c'est certains processus psychiques qui échappent à la conscience. ensuite « peut-on refuser l'idée de... » peut être réinterprété avec « quels sont les arguments nous poussant à refuser cette idée ».  Cette idée d'inconscient est en effet controversée par certains auteurs comme Alain où Sartre. La question à se poser ici est, que si on refuse l'idée

IL SOGNO “ ciò che parte dall’inconscio arriva alla mente anche se per strade tortuose…” [pic] Acciaro Nunzia V F Anno scolastico 2007/2008 Sommario: FILOSOFIA: Sigmund Freud e l’interpretazione dei sogni. LETTERATURA: Italo Svevo e la Coscienza di Zeno. STORIA DELL’ARTE: il Surrealismo e Salvator Dalì. STORIA: i Sogni di Adolf Hitler. [pic] Introduzione: La mia è una trattazione sul sogno, sviluppata attraverso un breve e personale viaggio nell’arte

flamme Ces nouvelles armes vont nottament ammenés destruction et morts en nombre. Front n'est plus le seul objectif militaire il y a l'épuisement de la pop ,devient un moyen de victoir => Guerre d'usure Bombardement de Paris en 1918 "la grosse Bertha" 2 Censure , pression économique et diplomatique Gouvernement accuse d'incapacité a résoudre le confilt censure pour preserver espoir de victoire Les moindres défaites sont sous silence , et la moindre victoir est une grande gloire , ennemie

famille désordonnée est récurrent dans la pièce. Tout d'abord, le personnage de Joseph ne semble pas avoir une très belle convivialité de famille avec sa belle-mère Bertha. En effet, lors d'une réprimande de cette dernière à son égard, celui-ci s'empresse violemment de répondre qu'il "n'a pas d'ordre à revecevoir [de] la grosse Bertha [, ce] n'es[t] pas [sa] mère [et] elle ne [le] sera jamais"(p.125). Suite à quoi, on considère aisémment l'opinion dégarnie de l'homme face à la femme de son père, par

cette guerre ; en effet, elle brise nette toute offensive de l'infanterie adverse et la retient dans ses tranchées. La science s'intéresse donc aux canons et les rend progressivement plus puissants , plus mobiles et avec une portée accrue (« la grosse Bertha » canon allemand sur rail produit par Krupp, bombarde Paris à 120 km de distance). On crée aussi : lanceurs de mines allemands, mortiers français. Le fusil évolue aussi avec l'apparition de la mitrailleuse qui fauche toute attaque depuis la tranchée

ne suffisant pas à assurer les commandes, des contrats sont passés avec des industriels privés afin que ceux-ci fassent des armes dans leurs usines. En Allemagne, le sidérurgiste Krupp fabrique ainsi des canons (dont le plus célèbre est « la grosse Bertha » qui menace Paris en 1918) ; en France, les constructeurs automobiles Citroën et Renault sont sollicités (le premier produit des obus et le second tout type d'arme, des fusils aux chars d'assaut). Pour ces industriels, la guerre est une bonne affaire