Bethsabée Au Bain Véronèse

plan la mer avec des caravels qui sont le point de fuite du tableau. Les caravels représentent l'ouverture sur le lointain. 9ème oeuvre: Bethsabée au bain , Véronèse L'oeuvre date du seizième siècle. La scène représente un envoyé du roi David venu voir Bethsabée avant ou après son bain dans l'optique de lui obtenir un rendez vous. Plus tard Bethsabée couchera avec David et naîtra ensuite Salomon. Le tableau a une perspective grace au colonnes corinthiennes et au carlage. Au niveau technique

projeté vers l’avant. Chez Véronèse, le choix du moment est important : dans le drame de Lucrèce, il ne choisit pas le moment du viol comme Titien ou Tintoret, mais l’instant qui précède le suicide de la jeune femme. Dans Persée et Andromède, la jeune femme se sait déjà sauvée. L’élégance du trait et l’harmonie des couleurs adoucissent le drame. ____________________________________________________________ _______________ Paolo Caliari, dit Véronèse ( 1528-1588 ) Véronèse est connu comme un grand

Lucas Cranach, dit l'Ancien [Cranach, 1472 - Weimar, 1553] Portrait d'une noble dame saxonne Vers 1575 Huile sur toile H. 191 ; L. 224 cm Envoi de l'Etat, 1811 Inv. A 63 Renaissance Véronèse (Paolo Caliari, dit) [Vérone, 1528 - Venise, 1588] Bethsabée au bain Véronèse (Paolo Caliari, dit) [Vérone, 1528 - Venise, 1588] Suzanne et les vieillards Huile sur toile, vers 1580 Musée du Louvres, Paris Le Caravage, Judith décapitant Holopherne Galerie nationale

Dans la même rubrique * Au salon de la Rue du Moulin * Crucifixion du X° siècle, quand la technique fait défaut * Famille de paysans dans un intérieur * Judith ou le repentir de Véronèse * L’absinthe de Degas * L’adoration des bergers * L’adoration des mages * La Bethsabée au bain * La communion du chevalier * La danse des paysans Même notre regard, aujourd’hui habitué aux plus délirantes extravagances de l’art moderne, voit immédiatement pourquoi cette « œuvre » [1]

et d’autre de l’axe central s’oppose en s’équilibrant. Les deux attitudes se répondent. Fait penser aux grands retables peints par Raphaël. Palette harmonieuse, perspective crédible. La femme à droite évoque les femmes blondes dans les tableaux de Véronèse. L. Carrache, Vision de saint Hyacinthe 1594 Louvre  Visage frappe car très réaliste, pas du tout embellie, idéalisé, visage tendu vers la vision de la Vierge, tout en émotion mais aussi en intériorité. Homme âgé, peau flasque, rides visibles

appuyé de l’ombre et de la lumière, lumière qui souligne aussi la présence divine. _Suzanne au bain : thème biblique. Même type de composition. Deux vieillards regardent Suzanne dans une composition décentrée, fréquente chez Tintoret. Profondeur largement soulignée par l’allée oblique. Couleurs chaudes, vénitiennes ; travail de l’ombre et de la lumière qui modèle les corps (le dos de Suzanne). _ Paulo VERONESE (1528-1588) Il reste hors du maniérisme, même s’il apprécie les dessins élégants et le raffinement

straw-coloured yellow jaune moyen medium yellow jaune d’or golden yellow jaune moutarde mustard yellow caca d’oie greenish yellow vert green vert clair light green vert foncé dark green vert Véronèse Veronese green vert bouteille bottle-green vert d’eau sea-green vert olive olive-green vert pomme apple-green vert amande almond green vert sapin forest green vert pistache pistachio-green vert menthe

toute la virtuosité de l'artiste. Au final, cette voûte connaît un succès immédiat qui inspire de nombre artistes comme Titien. Elle est cependant critiquée pour ces nus qui choque notamment le Pape Adrien VI (1522-1523) qui compare la chapelle à un bain public. Raphaël à Rome. Les stanze : une mue stylistique : En 1508, Jules II fait venir Raphaël et le charge de plusieurs travaux. Entre 1509 et 1511, il peint les lunettes et les voûtes de la bibliothèque du pape. Entre 1511-1514, il peint

et Venise. Et justement Elstir, dont l'art repose sur les "métaphores" picturales, notamment sur l'échange entre la terre et la mer, comme dans sa composition sur le port de Carquethuit, se réfère, dans sa conversation, à la peinture vénitienne de Véronèse et de Carpaccio, "où on ne savait plus où finissait la terre, où commençait l'eau, ce qui était encore le palais ou déjà le navire" (JFF 2me p., p. 294). Nous saisissons bien, par ces rapprochements, quel lien puissant à l'échelle du roman entier