Beyrouth

piégée, il y avait la « machine infernale », une diligence bourrée d’explosif. Utilisé pour l’attentat de la rue St Niquez, en décembre 1800, par des royalistes qui voulaient tuer Napoléon. Une des premières irruptions spectaculaires piégées se fait à Beyrouth en 1983 pour l’attentat du Drakar par le Hezbollah visant une base française et une base américaine. 68 parachutistes tués. Ces attentats étaient des attentats suicides et repose sur la même idée : l’idée de se faufiler au meilleur endroit pour atteindre

est le produit de perceptions qui se trouvent parfois confirmées, mais qui créent aussi des attentes, qui peuvent être un enjeu touristique. 1 Brassage et coexistence urbaine La ville méditerranéenne a une tradition de brassage culturel : Beyrouth au XX è siècle, avec le rôle de la minorité chrétienne Alexandrie, qui réapparaît au XIX è siècle (rôle des minorités chrétiennes ; rappelons que Dalida et Claude François sont nés en Egypte – et je vous fais grâce du refrain que vous attendez tous)

écoles qui appartenaient à la mouvance sunnite. © Eyrolles Pratique 38 Le rôle de l’État et des écoles juridiques École d’Al-Awza’i Elle porte le nom de l’Imam ‘Abd-al-Rahman Al-Awza’i (d. 774). Né à Damas où il fut qadi, il est mort à Beyrouth. Son enseignement est connu à travers les ouvrages des autres écoles. Ainsi, on le trouve dans l’ouvrage d’Al-Shafi’i : Siyar Al-Awza’i, qui comporte les opinions d’Abu-Hanifah (d. 767) dans les questions relatives à la guerre et aux traités de paix

repas du midi ou du soir varie entre 16 et 20euros selon les plats, mais aussi les accompagnements (coca, vin…). Horaires d’ouverture : Ce restaurant est ouvert du Lundi midi au Samedi soir de 12h à 14h et de 19h à 21h. Les Nuits De Beyrouth : Ce restaurant, qui est situé au 7 Rue Savary dans le centre-ville d’Angers, est un restaurant libanais. Ses outils de communications : Ce restaurant ne possède pas de site internet, mais il est présent sur certain site de partage comme linternaute

phéniciennes en tenaille, entre la mer et les chaînes de montagnes du Liban et de l'Anti-Liban, réduisant ainsi leur territoire. D'autres voyaient dans la position stratégique de ces cités, construites sur des promontoires en face de la mer (Byblos, Sidon, Beyrouth, Sarepta,...) ou sur des îles (Arwad, Tyr), une prédisposition à un contact avec cette mer qui leur semblait une alliée plus docile à traverser que la chaîne des montagnes. Cette image des Phéniciens ancrés au bord de la mer ou sur les îles et ne

-narrateur/Aurélien... qui est qui? On confond par ailleurs le narrateur avec Aurélien: "Il l'avait mal regardée(...) Plutôt petite, pâle, je crois..." -Le narrateur laisse de côté la narration est entrepend un monologue "Césarée, c'est du côté d'Antioche, de Beyrouth". Le lecteur doit se sentir tout à fait perplexe, en tout cas ce n'est pas l'habituel. -Ces grincements créent un décalage significtive qui suscite la relecture du texte. -De plus, les thèmes qui sont traités s'intercalent sans une cohérence

raisonnements non finis. On confond par ailleurs le narrateur avec Aurélien: "Il l'avait mal regardée(...) Plutôt petite, pâle, je crois..."  Le narrateur laisse de côté la narration est entreprend un monologue"Césarée, c'est du côté d'Antioche, de Beyrouth". Le lecteur se sent tout à fait perplexe, en tout cas ce n'est pas habituel : Ces grincements perturbe le lecteur se qui suscite la relecture du texte. Cet incipit, n'éclaircie pas la situation initiale,elle invite plutôt à l'imagination et la rêverie

traditionnelle et France contemporaine. - L’ONU : 1945, création de Nations Unis / membres / rôle / actions, etc. ARMAN Espoir de paix, 1995, 78 chars, jeeps et pièces d’artillerie scellés dans 5 000 t. de béton, h. 32 m, 6000 t., Liban, route de Beyrouth. BRANCUSI Constantin, La muse endormie, v. 1910, bronze poli, 16 x 27,3 x 18,5 cm, Paris, Centre Pompidou, MNAM. Man RAY, Noire et blanche, 1926, épreuve gélatino-argentique, 15,8 x 23,3 cm, collection particulière. [Publiée en 1926 dans

Chalandon (Grasset) → S. CHALANDON a été reporter de guerre au Liban, cette expérience l'a marquée → Georges (qui est en quelque sorte l'autoportrait de Sorj) est chargé par son ami mourant, Sam, de monter la pièce Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth au Liban. → Les acteurs de cette pièce sont d'origine différentes : Antigone : Palestinienne et sunnite Hémon (fiancé d'Antigone) : Druze Créon (père de hémon et roi de Thèbes) : Maronite Les Gardes : Chiites La Nourrice : Chaldéenne Ismène :

"mal" (l3) "pale" (l9), sans oublier les points de suspension par exemple à la ligne 9 et 16 montrant les pensées inachevées du narrateur. Selon son dernier son nom ne lui correspond pas. Bérénice lui fait plus penser à une princesse d’orient, de Beyrouth (l19), aux courbes imaginaires voir utopiques : "Mais Bérénice, drôle de superstition" (l10). Aurélien passe alors à penser à un vers de Racine « Je demeurai longtemps errant dans Césarée… » qui représente Bérénice car c’est un nom qui représente