Bible de Jérusalem

textes ou les cartes géographiques. La plupart des cartes sont faites pour appuyer des textes descriptifs qui ont un statut d’informer mais ici on peut dire que la carte se suffit à elle-même. Sources geographiques, religieuses, litteraires. La Bible d’où est tiré le plus grand nombre de choses. Dante (la divine comédie) 3 ref. L’illiade D’Homere 1 ref. Honorius Augustodunensis et son imago mundi. Isidore de seville notamment de natura rerum. Martianus Capella (de nuptiis philogiae et mercurii)

Jérôme de Stridon, saint Jérôme ou « Eusebius Sophronius Hieronymus » en latin, né vers 347 à Stridon, à la frontière entre la Pannonie et la Dalmatie (actuelle Croatie) et mort le30 septembre 420 à Bethléem, est un moine, traducteur de la Bible, fondateur d’ordres religieux, considéré comme docteur de l'Église et un des quatre Pères de l'Église avec Ambroise de Milan, Augustin d'Hippone et Grégoire Ier. Jérôme suit des études à Rome, se convertit à l'âge de 25 ans après un rêve mystérieux lors

PARTIE • LE MONOTHEISME DU JUDAÏSME AU CHRISTIANISME INTRODUCTION GENERALE 1 • LA BIBLE 1.1 • LE Livre ! • la Bible est le livre le plus diffusé dans le monde, le plus traduit, le premier sorti des presses de Gutenberg. • la Bible désigne l’ensemble du corpus des textes religieux judéo-chrétiens, c’est-à-dire le regroupement de textes sacrés du judaïsme et du christianisme, en un seul Livre. • le mot “Bible” vient du grec ancien βιϐλία (neutre pluriel, = “livres”), du nom de la ville de Byblos

La Bible La Bible est à la de toute la tradition chrétienne. En fait, la Bible n’est pas un livre mais plutôt une « bibliothèque » qui regroupe un grand nombre de textes très divers. Nous pouvons dire en fait que deux bibliothèques se sont formées, l’une appartenant à la tradition juive qui se trouve à être l’Ancien Testament et puis l’autre à la tradition chrétienne, le Nouveau Testament. La partie appartenant à la coutume juive est constitué des cinq premiers livres de la bible(le pentateuque)

Les Philistins et leur pays « Peleshet » (פלשת Pəléšeth) sont également mentionnés dans la Bible (qui parle aussi de « Cananéens » à la fois antérieurs et voisins par rapport aux « Philistins ») : selon le texte, les Hébreux étaient régulièrement en guerre avec ce peuple dont les principales villes étaient Ashdod, Ashkelon, Ekron, Gath et Gaza. Toutefois le mot « Palestine » n'apparaît jamais dans la Bible (qu'il s'agisse de l'Ancien ou du Nouveau Testament). Dans les textes non bibliques, le

Bible juive et Bible chrétienne Etude d’un ensemble documentaire Questions : 1. Le rouleau de la Torah, exposé au musée du cimetière juif de Prague est revêtu de plaques ornementales richement et finement ciselées, d'un velours protecteur et d'une couronne en argent forgé. La Torah est le livre saint le plus important des Juifs, c’était un véritable trésor pour la communauté juive qui la possédait dans le temple de Jérusalem, c’est pourquoi elle est richement décorée. 2. Les grands thèmes

contexte de rédaction La Bible (βιϐλια en grec) est un ensemble d’écrits de tout genre (poèmes, lois, récits, discours, épîtres,…) rédigés par de nombreux auteurs à des époques différentes. La Bible regroupe les textes fondateurs du judaïsme et du christianisme. Inspiré et considéré comme la Parole de Dieu, ce livre retrace l’itinéraire des Hébreux, un peuple choisi par Dieu, et raconte la venue de Jésus, avec pour conséquence, la fondation du christianisme. Malgré cela, la Bible a bel et bien une fonction

nourriture que les païens lui proposent, elle apporte sa propre nourriture. (chap 12, verset 2) • Elle sort du camp tous les jours pour aller prier. • C’est une croyante modèle en comparaison d’Esther (l’autre femme protectrice des juifs dans la bible), reine d’ Artaxerxès qui assimile la culture babylonienne et cache son identité juive. B- Une femme à l’image des prophètes. • C’est Judith qui prédit la bonne nouvelle : Yahvé sauvera le peuple juif, elle ne perd jamais la foi. • Elle est l’intermédiaire

dites. Rien n’est prouvé dans la religion. On se permettra de citer la Bible car même si ce n’est qu’un mythe, c’est intéressant d’utiliser ce que dit la Bible car c’est sur la base de représentations que les actions ont lieu. Des actions sont décidées à partir de représentations bibliques. Les croyances construites sur du faux peuvent avoir des conséquences. I La Palestine, les juifs et les palestiniens arabes avant 1948 La Bible nous rapporte que vers 1850 av JC, vit au Moyen Orient un peuple semi-nomade

entre Dieu et Moïse6. Les juifs fondent le judaïsme sur la religion abrahamique qui fleurira ensuite dans la Loi mosaïque (la Torah, les Nevi'im et les Ketouvim), collectivement désignés par l'acronyme Tanakh, dont le texte constitue la Miqra ou Bible hébraïque. Cette religion se fonde sur le culte du Dieu7 d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, au Nom ineffable, qu'elle conçoit comme une Essence éternelle (YHWH), qui détient tous les pouvoirs (Elohim), transcendant Seigneur des seigneurs (Adonaï)