Bibliothèque de l'Arsenal

rien ». Son ambition le pousse au succès et très jeune déjà il gagne des prix. Il étudie au Lycée Louis-leGrand et cela l’aide à faire connaître son premier recueil de poème Odes alors qu’il a 19 ans. Il prend part aux réunions Cénacle à la Bibliothèque de l'Arsenal, là où se naît le mouvement le Romantisme. En 1822, il épouse Adèle Fouchez avec qui il aura 5 enfants. C’est la pièce de théâtre Cromwell qui parvient à lui assurer sa renommée. Dans la préface de son œuvre, il critique les conventions classiques

an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Jeunesse du poète[modifier] Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché

 Mais tout en développant la construction navale, Colbert fait le choix de fortifier le  littoral. Vauban va protéger les approches des grands arsenaux comme Brest et Rochefort. En Charente‐Maritime, il décide de mettre  en place une ceinture de feu interdisant toute attaque de l’arsenal.          15 1‐ Les fortifications côtières de Charente‐Maritime  Pour  protéger  la  ville  de  Rochefort  des  attaques  anglaises  et  des  protestants  dont  Louis  XIV  se  méfie,  ce  dernier  charge  son  ingénieur  militaire,  Vauban

de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », ainsi que le salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché

« Antoine fait un signe de croix » (Flaubert, p.85). Au sujet de la religion, que représente la Reine de Saba ? Pour l’écriture de La Tentation Flaubert a réalisé une recherche importante, il a lu la Bible, il est allé aux bibliothèques impériales de l’Institut et de l’Arsenal, la plus importante a cette époque a Paris. Il a étudié Spinoza, les gnostiques, les Ennéades de Plotin etc. La Reine de Saba appert dans la Bible. Laurence M. Porter l’a décrit comme cela « In the Bible and in antiquity, the

envoyé à tous les intendants pour y répondre article par article et servir d'instruction à Monseigneur le duc de Bourgogne ». Cette citation constitue le titre exact du questionnaire, il fut découvert en 1881 dans le manuscrit 3868 de la bibliothèque de l'Arsenal en tête du mémoire de la généralité de Lyon. La préoccupation est donc d'ordre pédagogique et vise à préparer le duc de Bourgogne à son futur règne. C'est d'ailleurs peut être l'une des raisons qui font que c'est l'enquête la plus aboutie

commence la rédaction la même année de Han d'Islande (publié en 1823), qui reçoit un accueil mitigé. Une critique de Charles Nodier, bien argumentée, est l’occasion d’une rencontre entre les deux hommes et de la naissance d’une amitié[18]. À la bibliothèque de l'Arsenal, berceau du romantisme, il participe aux réunions du Cénacle, qui auront une grande influence sur son développement [réf. souhaitée]. Son amitié avec Nodier dure jusqu’à 1827-1830, date à laquelle celui-ci commence à être très critique envers

par les éloges dont la feuille avait bénéficié de la part de Chateaubriand, il partit pour Paris au début de novembre 1828 et s'installa à l'hôtel de Normandie, rue du Bouloi. Reçu dans le salon d'Émile Deschamps, des Hugo, de Charles Nodier, à l'Arsenal, il y rencontra Sainte-Beuve et lut quelques-uns de ses textes de prose. Mais le sentiment de honte que lui inspiraient sa pauvreté et sa fierté l'empêchèrent de trouver sa place dans le groupe des romantiques parisiens. Tombé malade et contraint

------------------------------------------------- Jeunesse du poète[modifier] Médaillon du cabinet des médailles (1831) Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché »

dans le sens est-ouest. Dix tours rondes la flanquent. A la différence du fossé du donjon, le fossé extérieur est en eau. C'est une construction défensive ; il s'agit de barrer l'accès de Paris et du cours de la Seine. Le Louvre, forteresse, abrite l’arsenal et, comme s’est un lieu très sûr, les souverains des XIIIè et XIVè s. (Saint Louis, Philippe le Bel) s’en serviront pour y enfermer des prisonniers. Ils l’utiliseront aussi pour y abriter les archives et le trésor. | | | | | Le Louvre