Bidonville

physiquement qu’intellectuellement et sur le point affectif. Dans les bidonvilles, les familles sont confrontées soit à payer des frais pour inscrire leurs enfants dans des écoles privées de mauvaise qualité ou de les déscolariser. Même lorsque l’inscription est gratuite, les défenses annexes (uniforme, fournitures scolaires ou frais d’examen par exemple) empêchent souvent les enfants pauvres d’aller à l’école. Les enfants des bidonvilles qui naissent et grandissent dans des conditions de pauvreté et

ramassage sélectif des déchets existe dans le centre de Curitiba. Cependant, les camions de ramassage ne peuvent pas circuler correctement dans les bidonvilles car les voies sont étroites et accidentées. Pour faire face à cette difficulté, la municipalité a eu une idée originale : échanger les déchets contre de la nourriture. Les habitants des bidonvilles collectent des déchets recyclables ; en échange d’un kilo de déchets rassemblés, les gens reçoivent un kilo de nourriture. Ces quartiers de la ville

aller s’installer à Mohammedia chercher un terrain ou un logement. En effet, les grandes villes Casablanca et Rabat ne permettent pas aux populations rurales de se loger et d’avoir un mode de vie convenable La principale cause de la naissance de bidonville est l’augmentation soudaine de la population urbaine. Comme vu précédemment, l’exode rural est un facteur incontournable à étudier. Jean Paul Diry, dans son ouvrage les espaces ruraux définit ce phénomène comme « une émigration des habitants

Source: Manuel d’histoire géographie 1ere bac pro hachette Sur cette image on voit a gauche une grande Favelas (quartier très pauvres) bidonvilles insalubre et a droite on voit des bâtiments de luxe. Les inégalités entre les deux classes sociales sont frappantes. Les pauvres vivent dans les bidonvilles insalubres et les plus riches dans les villas de luxes et les grands hôtels. Les pauvres vivent à l’ écart de la ville et n’ont pas accès au richesse. Les inégalités

l’espace urbain car l’espace produit est très étendu (ex surface du Caire X2 depuis les années 50) et moyens souvent différents o périurbanisation dans les pays du Sud mais avec des réalités fort variables selon le niveau de développement (bidonvilles, banlieues pavillonnaires, habitat collectif…) o assurer la cohésion des ≠ réseaux est souvent problématique car manque de moyens o ségrégation socio-spatiale( exclusion sociale ( ghettoïsation o pression foncière

pénurie de logements. À l’époque, ces lotissements représentaient indéniablement un progrès social, car ils donnaient à tous les foyers l’eau courante, l’électricité, des sanitaires et participaient à la disparition des bidonvilles qui avaient émergé notamment en Île-de-France (le bidonville de Nanterre par exemple). Mais au fil des années et des décennies, le confort de ces « barres » d’immeubles a vite été contesté. Les rénovations n’ont pas été à la hauteur et les deniers publics injectés n’ont pas

Interprètes : Matías Quer (Gonzalo Infante) Ariel Mateluna (Pedro Machuca) Manuela Martelli (Silvana) Ernesto MALBRÁN (Padre Mc Enroe) Résumé Deux enfants âgés de 11 ans : Gonzalo Infante, issu des beaux quartiers, et Pedro Machuca, qui survit dans un bidonville... Alors que tout les oppose, les deux garçons se rencontrent sur les bancs de l’école grâce à l’initiative idéaliste du Père Mac Enroe : permettre aux enfants de milieu défavorisé d’intégrer le collège catholique très huppé qu’il dirige. Son but

1905, et croissait jusqu’à 350 000 en 1962 ; aujourd’hui elle a atteint environ 2,5 M d’habitants avec une croissance de 5% par an. Fig. 4: Le bidonville Kibera à Nairobi, Kenya Source : Google Earth, 24/04/2008 La ségrégation sociale est évidente : Dans les zones inondables ou insalubres se trouvent des quartiers précaires, les bidonvilles (Fig. 4). D’après SILVIE BRUNEL, « [plus] de la moitié des habitants de Nairobi s’entassent sur 5% de la superficie urbaine. » Par contre, au

de satisfaire les besoins de toute la population. On assiste donc à une constitution de quartiers d’habitat précaire et sous équipés : bidonvilles, favellas. De plus dans ces espaces la criminalité peut devenir un problème récurrent , comme à Sao Polo au Brésil, ville réputée la plus dangereuse au monde. « Dans le monde 1 personne sur 6 vit dans un bidonville » D) Critères sociaux - Scolarisation : elle est faible en particulier chez les filles. Ce dernier illustre le niveau de développement

l’égalité entre les hommes et les femmes plus avancée. Dans les pays du Sud, la ville est, pour les paysans pauvres, le seul échappatoire à la misère des campagnes. Pourtant, beaucoup de nouveaux arrivants ne trouvent abri que dans les taudis de bidonvilles insalubres. Dans le monde, 500 millions de personnes n’ont pas de logement ou vivent dans un état de dénuement qui menace leur survie. La surpopulation engendre des problèmes de déchets, de santé et de pollution. Il y a aussi la violence, la criminalité