Bidonville

situer en dessous du niveau de pauvreté chaque année » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Économie_de_Haiti) En Haïti, par exemple, le taux de mortalité pour les moins de cinq ans est de 15 pour 1000 dans la zone la plus riche de la ville. Dans les bidonvilles de la même ville, le taux est de 254 pour 1000.« Les taux élevés de mortalités maternels et infantiles indiquent souvent un manque d’accès aux soins basiques de santé primaire tels que des installations sanitaires, une eau propre, une immunisation

également dans l’industrie du textile (arméniens) ou de la métallurgie ( italiens) . Cette main-d’oeuvre coûte beaucoup moins cher à la france , en effet , elle est bien souvent mal payée et leurs conditions de vie deviennent médiocres (apparition de bidonvilles en Ile-De-France par exemple). Les français voient ces travailleurs immigrés d’un regard indigné , ils les qualifient de personnes sales “la saleté de la plupart de ces étrangers” ligne 18 , de personnes agressives pour cause de l’augmentation

L’exclusion urbaine n’est pas récente mais continue à s’aggraver. Les logements sont de plus en plus chers dans les centres villes donc la population va vers les banlieues. De ce fait, les problèmes sont délocalisés vers les banlieues. - Les bidonvilles européens ont été détruits vers les années 1960/1970 et les personnes pauvres ont été relogé dans de grands immeubles (HLM en France). A cette époque, cela semblent bien mais maintenant ces quartiers ont aussi des problèmes. Dans le monde, une

Histoire / Géographie Question page 200 1°) Une favela correspond aux bidonvilles brésiliens qui sont des quartiers pauvres. Il s'agit de quartiers situés sur des terrains occupés illégalement, le plus souvent insalubres (marécages, pentes raides des collines), et dont les habitations sont construites avec des matériaux de récupération. La plupart des favelas sont perchées sur les hauteurs de la ville de Rio de Janeiro. 2°) Le Brésil est très richement doté en matières premières, le Brésil

priorité. 3 À l’échelle urbaine À l’échelle des villes, les dysfonctionnements urbains refl ètent les inégalités de richesses. Les déséquilibres les plus forts se situent dans les mégapoles du Sud où 30 à 60 % des populations urbaines habitent des bidonvilles, quartiers d’habitat informel, installés dans des zones à risques (pentes fortes en milieu tropical, zones inondables...). Les sous-équipements sont nombreux : carence des transports collectifs, insalubrité, insécurité, pollutions. À la pénurie

vivent dans les villes petites et moyennes. La population urbaine représente 15% de la pop totale en 1950, 40% aujourd'hui, et plus de 60% vers 2050. 1. Les limites de la croissance urbaine (doc 3 p 257) Les bidonvilles sont en plein essor : Kibera, près de Nairobi, est le plus grand bidonville d'Afrique de l'Est : 1 M de personnes sur 4 km2. il cumule tous les critères du mal développement : espérance de vie 35 ans, absence d'eau courante et de réseau d'assainissement, routes non bitumées. La pression

maladies qui affectent 90 % de la population mondiale. D’ici à 2010, nous devons réduire de 25 % le taux d’infection par le VIH chez les jeunes. Assainissement des taudis et des bidonvilles. Nous devons appuyer le plan de lutte contre les taudis, qui vise à améliorer les conditions de vie des 100 millions d’habitants de bidonvilles d’ici à 2020. Intégration de l’Afrique. Dans le rapport, le Secrétaire général en appelle aux experts et aux fondations philanthropiques pour qu’ils trouvent des solutions

parler de la pollution qui devient très grave à l'échelle mondiale. Les villes du monde produisent de plus en plus de déchets. La pauvreté se voit aussi dans les paysages urbains : on trouve des quartiers d'affaires modernes qui côtoient d'immenses bidonvilles, dépourvus de tout équipement urbain, situés à la périphérie dans les zones polluées ou insalubres. A ces problèmes d’urbanisme s'ajoutent ceux de l'emploi, de l'insécurité et d'une forte ségrégation sociale. Nous pouvons donc conclure que l'urbanisation

santé. Nombreux sont les garçons et filles, parmi ces travailleurs, qui ne reçoivent aucune éducation et se font piéger dans des emplois sous-qualifiés et mal payés qui les coincent dans l'engrenage de la pauvreté. Pour les enfants vivant dans les bidonvilles, les perspectives sont particulièrement sombres. La communauté internationale prend lentement conscience des conditions de vie épouvantables des enfants qui travaillent, de leur pauvreté, de leur vulnérabilité et des privations dont ils sont victimes

cerveau ▲ Le défi urbain Urbanisat° rap et forte depuis 50ans → grosses mégapoles (Johannesburg, Kinshasa) MS urbanisat° rap + fort étalemt urbain d'où pb d'infrastructures (eau potable, transports, électricité, routes) ▲ Le défi social Bcp de bidonvilles, bcp vivent avec 1$ par jour, sous alimentation, pauvreté → mortalité infantile élevé + faible espérance de vie (55 ans) Maladis, guerres, crise écoq → IDH faible + bcp maladies liées à qlté de l'eau. # Un continent qui évolue ▲ Le décollage