Bien commun

publics bien différents et mobilisant des ressources et des énergies de nature dissemblable, tendent en fait vers une même direction et présentent de multiples recoupements. Non seulement il atteste de la connivence profonde des deux approches étudiées mais, à chacune d’entre elles, il offre une introduction immédiatement accessible aux lecteurs néophytes. Accessible mais aussi suffisamment approfondie pour permettre de plonger d’emblée au cœur des problèmes soulevés. Un tel point était bien nécessaire

testament de Seattle, sur la volonté des hommes blancs de créer la propriété des terres sur lesquelles vivaient cette tribu ; et en insistant sur la dangerosité et le coté néfaste pour la nature, car selon lui, elle n’appartient à personne, elle est le bien commun à tous les êtres y résidant (autant les annimaux que les hommes). On impose des structures à la nature (exemple des villes). Le chef de la tribu est pour le respect de la nature qui offre tout ce dont l’homme à besoin et aura besoin tout au long

gouvernance renvoie aux interactions entre l’État, le corps politique et la société, et donc aussi aux systèmes de lobbyismes et de coalitions d'acteurs publics et privés. La bonne gouvernance vise à rendre l’action publique plus efficace et proche du bien public et de l'intérêt général, et donc plus légitime. Elle est supposée rendre les sociétés plus facilement ou harmonieusement gouvernables. Elle suppose donc aussi un système qui ne surexploite pas sesressources et qui soit capable de résilience (notion

Quel lien entre croissance économique et bien-être ? Logiquement => augmentation du revenu entraine une augmentation des dépenses de consommation et donc une augmentation de la satisfaction. Mais, Easterlin montre que le niveau moyen de satisfaction déclaré par les individus reste constant, et ce malgré l'augmentation spectaculaire des niveaux de vie. Explique que des facteurs non-monétaires ont un effet plus important que l'augmentation du revenu. Le bien-être dépend aussi de la qualité de son environnement

•moral : Moral: 1) qui concerne la morale. 2) qui est conforme aux règles de la morale; opposé à immoral. Morale: ensemble des règles de conduite -concernant les actions permises ou défendues- tenues pour universellement et inconditionnellement valables. •intérêt : a) ce qui importe, ce qui est à son avantage, ce qui fixe l'attention. 2) Ce qui est utile à un individu (intérêt personnel) ou à plusieurs (intérêt général). Analyse du sujet : - Le sujet ne demande pas s’il arrive

a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a aa a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a Révisions exam Chap 3 Chapitre 3 : La finalité de l'entreprise et la notion de RSE I / La finalité de l'entreprise Ce sont les raisons d'être de l'entreprise Ce sont les buts à mettre en oeuvre et à maintenir sur le long terme

« Toute loi, avons-nous dit, vise l'intérêt commun des hommes, et c'est seulement dans cette mesure qu'elle acquiert force et valeur de loi. Dans la mesure, au contraire, où elle ne réalise pas ce but, elle perd sa force d'obligation (…) Or, il arrive fréquemment qu'une disposition légale utile à observer pour le bien public en règle générale devienne, en certains cas, extrêmement nuisible. Car le législateur, ne pouvant envisager tous les cas particuliers, rédige la loi en fonction de ce qui se

préserver les biens communs mondiaux ? Le 19 juin 2012, Elinor OSTROM mourait. Cette économiste américaine reçut le prix Nobel de l’économie en 2009, en même temps qu’Oliver Williamson, pour son travail sur la gouvernance des biens communs. Elle fut également la première femme à avoir reçu le prix Nobel de l’économie. Cette théoricienne des biens communs publia en 2010 La gouvernance des biens communs, pour une nouvelle approche des ressources naturelles. En économie, un bien est un objet utilisé

Bien public 1 Bien public Un bien public est, en science économique, un bien ou un service dont l’utilisation est non-rivale et non-exclusive. Ainsi le contrôle des épidémies ou la défense nationale sont des archétypes de bien public. Concrètement cela signifie qu'il y a pour les utilisateurs intéressés par un tel bien une situation particulière doublement caractérisée [1] : • non-rivalité : la consommation du bien par un agent n'a aucun effet sur la quantité disponible de ce bien pour les

Corrigé indicatif Caractériser et distinguer des organisations 1. Après avoir identifié le champ d’action commun aux trois organisations, vous montrerez qu’elles poursuivent des finalités et des objectifs différents. 4 pts - Les trois organisations sont engagées dans la protection de l’environnement et le développement durable. - L’association Les Amis de la Terre a pour finalité de défendre un intérêt général : « protéger les êtres humains et l'environnement ». Ses objectifs sont