Bien Raisonner Est Ce Renoncer A Croire

« China Business Times » publie un article d'un auteur qui raconte que ces derniers temps, il a consacré tout son temps à l'écoute du métal, qu'il en est tout étourdi et qu'il lui semble qu'il flotte dans les nuages, il pense alors que de sa nature il est peut-être quelqu'un qui n'a pas le don d'étudier la musique métallique. Ne sachant quoi faire, il télécharge par instinct des disques de Lisa Ono, la très populaire chanteuse de bossa nova au Japon, et il tombe par hasard sur le disque « Lisa Ono

Clara Forcier Morgane Flandrin La représentaiton de la guerre dans l'oeuvre de Camus : Les Justes Qui de mieux pour parler d'une oeuvre que son auteur lui-même ? “En Février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes, appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organisait un attentat à la bombe contre le grand-duc Serge, oncle du tsar. Cet attentat et les circonstances singulières qui l'ont précédé et suivi font le sujet des Justes. Si extraordinaires que puissent paraître, en effet, certaines

importante pour l’être humain, la liberté est une passion a charge émotionnelle très forte et cela quelle soit l’époque : on revendique sa liberté Ex : l’esclave va se battre pour son indépendance. La liberté n’a pas de prix on est près à mourir pour la posséder. La liberté est une notion philo, politique, et poétique. Rq2 : La liberté est une valeur qui donne un sens à l’existence humaine. La vie perdrai son sens si nous cessions de nous croire des sujets libre, des agents, des auteurs de notre destin

L'ETAT PEUT-IL ÊTRE AU-DESSUS DES LOIS ? Bien souvent on aimerait faire ce qu'il nous plait quand bon nous semble, par exemple prendre un bien qui ne nous appartient pas ou asservir quelqu'un. Mais nous ne le faisons pas parce qu'il y a les lois et les règles de la société. Et parce que nous savons que si on les transgresse nous risquons la sanction prévue par la loi. Et ce qui est vrai pour un individu devrait l'être pour l'Etat. Or, l'histoire offre des exemples où l'Etat est lui-même passé

C'est d'abord la liberté de penser. Je suis parfaitement libre, remarquait Descartes, d'adhérer ou non à une idée. Personne ne peut me forcer à croire ou non une chose, et d'ailleurs personne ne peut même savoir ce que je pense. On peut donc me forcer à agir (par exemple à adopter les signes extérieurs d'une religion qui n'est pas la mienne, ou à abjurer publiquement mon dieu), mais non à penser telle ou telle chose. La liberté de penser est donc une liberté évidente et indubitable, qui s'éprouve

Rochefoucauld par lui-même François de La Rochefoucauld Je suis d'une taille médiocre, libre et bien proportionnée. J'ai le teint brun mais assez uni, le front élevé et d'une raisonnable grandeur, les yeux noirs, petits et enfoncés, et les sourcils noirs et épais, mais bien tournés. Je serais fort empêché à dire de quelle sorte j'ai le nez fait, car il n'est ni camus ni aquilin, ni gros ni pointu, au moins à ce que je crois. Tout ce que je sais, c'est qu'il est plutôt grand que petit, et qu'il descend

DOCUMENT 1. [Dans la pièce de théâtre Ciels, le père Charlie Eliot Johns communique à distance avec son fils resté au Québec. L'adolescent doit effectuer un travail — à partir d'œuvres d'art — dont le thème est la beauté.] CHARLIE ELIOT JOHNS. Bon. O.K. Ecoute ! Je n'ai pas envie de te parler de l'école, je ne veux même pas te parler de la nécessité de faire le devoir, O.K. ? Fais comme tu veux. Mais il y a peut-être une autre manière de voir la chose. Ecoute-moi : on te donne l'opportunité d'aller

peut distinguer la liberté publique, c’est-à-dire celle qui dépend de l’État où l’on vit. De la liberté psychologique, c’est-à-dire la façon dont on utilise sa liberté sur le plan individuel. Aujourd’hui, la liberté est une valeur positive, un idéal que tout le monde semble rechercher. Il y a deux façons de la définir : - soit l’absence de contraintes extérieures - soit le pouvoir de faire ce que l’on veut Le problème est que l’on est toujours soumis à certaines contraintes (le fait de ne pas

.Il est a priori étrange de se poser la question : Qui parle quand je dis « je »? , tant la réponse semble évidente en premier lieu. C'est bien « moi » qui parle quand je dis je. Il serait étrange qu'il s'agisse de quelqu'un d'autre quand je dis « je ». Le « je » est en effet l'expression du « moi » , nous nous en servons pour nous référer à notre personnalité , à notre identité. Mais ne peut-on pas mettre en doute ces certitudes , qui pourraient être comme les ombres que Platon décrit dans son  Allégorie

C’est le fait d’être invité, attendu, parce que quelqu’un a besoin de nous, et qu’il nous fait confiance… Un signe, une parole fraternelle, un son de cloche, peuvent nous interpeller, nous faire sentir qu’il est important que nous existons, que nous soyons là, que nous nous bougions. Heureux qui se laisse interpeller… Plus heureux encore qui sait s’en réjouir ! Mt 21,28-31 Un Père qui fait confiance à chacun de ses enfants, leur confie son bien : « L’Evangile de la gloire de Dieu bienheureux – dit