Bienfaits Colonisation

Droit romain : les romains, fondateur de villes (colonies/colons) avec des cadastres (découpage de parcelles) droit coloniale =>colons (anciens légionnaires, citoyens) + nbses catégories de peuples (anciens proprio vaincus qui ont servi pr la colonisation) * Propriété du Code Civil (Napoléon) : Belg., Holl., Suisse, Italie, Lux., Esp., Port., Dane., Suède, Norv., All., Aut., Russie, Egyp., Am Lat. on peut posséder un bien ms il faut tenir compte des usages (droit d’usage = servitude : échec

Sujet : La France et l’Afrique au XIXe et XXe siècle. Composition de terminale (niveau élevé, 19/20 ) un peu hors programme, en relation avec la colonisation, décolonisation et la politique extérieure française. Remarque du professeur : - problématique à améliorer - il manque les flux migratoire - liens culturels à plus développer - donner la politique extérieur française en Afrique à la fin du XXe de siècle plus précisément ---------------------------------------------------------

viendrait salir les Africains qui ont le privilège d'avoir une pureté morale qui fait défaut aux anciens colonisateurs. Une Afrique convalescente, parce qu’en pleine ‘‘décolonisation’’ se doit de ne pas confondre la lutte contre les séquelles de la colonisation et le racisme. Obliger tous les gens de nationalité française prétendant aimer le pays africain qui les accueille à adopter la nationalité de ce pays et à être définitivement déchu de la citoyenneté française – ce qui s'appelle, légalement, renoncer

Par la suite, les Grandes Découvertes et les expéditions des conquistadores ont contribué à exporter la culture européene au-delà de son berceau, permettant de ce fait aux langues espagnole et portugaise d’être parlées en Amérique du Sud… La colonisation, qui découle de ces decouvertes, a également été un facteur d’expansion de l’identité européenne à travers le monde. Les langues officielles les plus répandues dans les pays d’Afrique sont l’anglais et le français. Au XIXe siècle, la révolution

------------------------------------------------- Colonisation et indépendances Du milieu du XIXème au milieu du XX-me siècle, l’Europe conquiert des territoires : c’est le phénomène de colonisation. De 1945 à 1965, les peuples colonisés deviennent indépendants c’est le phénomène de décolonisation. Ces nouveaux pays indépendants forment le tiers-monde. I. Colonisation et système colonial A. Les conquêtes coloniales 1. Les causes de ces conquêtes Voir discours de Jules Ferry

pour l’Alsace. Sur le plan sociologique on peut se demander s’il n’y a pas un lien très fort entre nation et Etat. En Afrique les Etats sont des Etats récents, c'est-à-dire que pour la plupart d’entre eux ils sont nés de la colonisation et de la décolonisation. Bon nombre de leurs frontières ont été dessinées par les puissances coloniales par souci administratif, indépendamment de toute réalité culturelle, sociologique. Quand les Etats sont nés de la décolonisation en Afrique

Vierges, la Guadeloupe, la Jamaïque, la Martinique. Il débarquera aussi au Mexique, Mais il est toujours persuadé d'être en Asie. Peu à peu, il perd de sa popularité car les épices et l'or n'arrivent pas autant que prévue. Les premiers essais de colonisation ont échoué et il est tenue comme responsable. Ses privilèges lui sont retirés et il meurt le 20 mai 1506. La même année, un autre navigateur italien du nom d'Amerigo Vespucci publia une lettre dans laquelle pour la première fois, il affirme que

progressive et pacifique a. Pour céder à la pression internationale i. Inde ii. Afrique britannique iii. Maroc iv. Tunisie b. pour conserver de bonnes relations avec ses colonies i. Afrique Française 3- Mais en cas d’enjeu majeur, le refus de colonisation engendre combat et guerre a. Pour conserver appuis et puissance i. Indochine ii. Indonésie : France envoie l’armée pour rétablir l’autorité b. Pour conserver les colonies de peuplement i. Algérie ii. Rhodésie

que l’éternel recommencement du temps rythmé par la répétition sans fin des mêmes gestes et des mêmes paroles »… Mais aussi, comme certains l’ont noté, dans le ton parfois conciliant du discours, une manière sournoise de réévaluer l’œuvre de la colonisation : « [Le colonisateur] a pris, mais je veux dire avec respect qu’il a aussi donné. Il a construit des ponts, des routes, des hôpitaux, des dispensaires, des écoles. » Aucun signe de repentance qui aurait libéré le dialogue… Par contre le ton, à

l n’y a pas si longtemps, la terre comptait deux milliards d’habitants, soit cinq cents millions d’hommes et un milliard cents millions d’indigènes. les premiers disposaient du Verbe, les autres l’empruntaient. Entre ceux-là et ceux-ci, des roitelets vendus, des féodaux, une fausse bourgeoisie forgée de toutes pièces servaient d’intermédiaires. Aux colonies la vérité se montrait nue; les «métropoles» la préférait vêtue; il fallait que l’indigène les aimât. Comme des mères, en quelque sorte. L’élite