Big beat

Having rejected all sources of interference, the pair published a paper announcing their findings. This was later identified by Robert Dicke [1] as the cosmic microwave background radiation (CMB), the radio remnant of the Big Bang. This allowed astronomers to confirm the Big Bang, and to correct many of their previous assumptions about it. Penzias and Wilson received the 1978 Nobel Prize, sharing it with Pyotr Leonidovich Kapitsa (Kapitsa's work was unrelated to Penzias and Wilson's). The two had

The Big Apple (en franais la grande pomme) est lun des surnoms pour la ville de New York utilis par les New-Yorkais. La popularit de ce surnom date dune campagne de publicit du New York Convention and Visitors Bureau (quivalent de lOffice de tourisme pour New York) des annes 1970. Cependant lorigine de ce surnom ne fait pas lunanimit. Cest aussi le symbole de New York. Une thorie avance par la New-York Historical Society (socit historique de New York) et dautres serait que cette dnomination a t popularise

et si ce n’était pas vrai ? La matière noire et l’énergie noire permettent d’apporter des explications à beaucoup de problèmes, que ce soit la vitesse de rotation des galaxies ou la relation entre la quantité hypothétique de matière crée lors du Big Bang et celle que l’on observe aujourd’hui dans l’univers. Nous voyons aussi, par exemple, qu’en utilisant des ordinateurs très performants, il est possible de créer une simulation de notre univers, très semblable à la réalité en utilisant ce modèle

de milliards de milliards de degrés = « Big Bang ». Le big bang, limite de nos connaissances L’horizon de nos connaissances. Pour contourner ce casse-tête, pourrait-on alors définir le Big Bang comme le début de l’espace et du temps ? En réalité, le Big Bang est notre horizon dans le temps et dans l’espace. On le considère comme l’instant zéro de notre histoire car faute de mieux. Le Big Bang est la limite de nos connaissances. On décrit souvent le Big Bang comme une boule de matière concentrée

Le Big Data NSA, données personnelles, monétisation… Quels sont les enjeux du Big Data ? Tamara– Bret Aurélia 1 Introduction • L’avènement des TIC grâce au succès d’internet • Le Big Data • Enjeux du Big Data – Traitement et monétisation 2 Développement I- Le Big Data, c’est quoi ? A. Définition et règle des 3V B. Quelles utilisations ? C. Affaire Snowden/NSA et paradoxe II- Utilité et impact du Big Data D. Provenance et monétisation des données E. Utilité pour le public F. Utilité pour

d’anticipation décrivant une Grande-Bretagne appartenant à un plus grand ensemble, l’Océania, soumise au régime totalitaire d’un dictateur nommé Big Brother et dévastée par des guerrescontre l’Eurasia ou l’Estasia. Georges Orwell y effectue une violente critique de toute forme de régime totalitaire à travers le régime décris dans ce roman.  Le régime totalitaire de Big Brothersemble être fortement inspiré du régime soviétique dans les années 1948 comme le montrent l’existence dans le roman d’un parti unique

Etude de cas « General Motors » : 1. Présentation de la société : General Motors (ou General Motors Corporation) est une entreprise multinationale de construction automobile, basée au Etats Unis, fondée en 1908 par William Crapo Durant. En 2008 le capital de GM s’élevait à 7.2 milliards d’Euros, et en 2009 GM s’est transformée en entreprise publique. 2. En plus de la concurrence avec Ford et Toyota, General Motors souffre de plusieurs problèmes aussi bien internes qu’externes. Tout au long

Liberté ou sécurité « Big Brother is watching you ! »1 Dans son roman d’anticipation 1984 (publié en 1949), George Orwell dépeint un Londres ultra-totalitaire dans les années 1980. Caméras et micros omniprésents ainsi que police de la pensée font partie intégrante de la vie des personnages de ce roman. L’auteur soulève ainsi la question de la sécurité dans la société. En France, l’augmentation des chiffres de la délinquance a conduit les gouvernements récents à appliquer une politique sécuritaire

imaginait déjà dans son roman d’anticipation en 1948, une société avec des caméras partout, rues, magasins, immeubles où ces caméras portaient le nom de « Big Brother », Au milieu du 20 ème cela paraissait pour la société une idée complètement folle et irréalisable. Seulement voilà qu’en 2001 arrive « Love story » sur M6, qui n’est autre que « Big Brother » l’émission de télé-réalité transmise au Pays-Bas qui a complètement repris l’idée d’être filmer a tout moment, partout de George Orwell. Mais Loft

nquement à ma culture littéraire est un doux euphémisme. Entre sa réputation internationale ayant du faire connaître Big Brother à un bon pourcentage de personnes n'ayant pourtant jamais touché à un livre ou encore sa note SC de 8.5 pour plus de 13000 notes, autant dire que je pensais plus ou moins savoir à quoi je m'attaquais. Aussi, avec de telles attentes, difficile de ne pas être dérouté en s'y lançant. Le style de George Orwell, bien qu'assez accrocheur, se révèle classique, très classique