Bill Clinton

(+ 2 points) La politique combinée Clinton-Greenspan Quand Bill Clinton a été élu président des Etats-Unis en 1992, il a dû affronter un grave problème macroéconomique. Le déficit budgétaire fédéral était égal à 4,5% du PIB – le pourcentage le plus élevé de l’après Seconde Guerre mondiale – et il fallait absolument faire quelque chose. Au même moment, l’économie américaine sortait tout juste de la récession de 1990-1992. Le problème que Clinton devait affronter était clair : aussi nécessaire

importe de savoir pourquoi. La fin en soi de traverser la route justifie tout motif tel quel qu'il soit. Sigmund FREUD : votre préoccupation du fait que le poulet ait traversé la route révèle votre fort sentiment d'insécurité sexuelle latente. Bill GATES : nous venons justement de mettre au point un nouveau "Poulet Office 2003", qui ne se contentera pas seulement de traverser les routes mais couvera aussi des oeufs, classera vos poussins importants, vous protégera des virus avicoles, etc..

d’appliquer des réformes afin de modifier et améliorer leurs systèmes de santé. En 1935, le Social Security Act avait pour objectifs de créées différentes aides comme l’assurance vieillesse, chômage. Cette réforme a échouée. L’ancien président Bill Clinton voulait également mettre en place une réforme de santé qui avait les mêmes buts que celle du président actuel des Etats-Unis, Barack Obama, c'est-à-dire offrir une couverture universelle pour tous. Le système de santé se conçoit comme un système

sans adversaire militaire ; le système d’économie communiste disparaît d’Europe, tandis que la Chine, qui a introduit l’économie de marché en 1978, l’officialise en 1993. Les successeurs de R. Reagan (GEORGES BUSH (SENIOR), WILLIAM JEFFERSON (BILL) CLINTON) annoncent et cherchent alors à imposer un "nouvel ORDRE MONDIAL". La notion d’ORDRE MONDIAL signifie à la fois les tentatives de régulation dans un univers marqué par le désordre (mise en ordre) et d’autre part l’agencement et les grandes lignes

développement de prêts risqués à des emprunteurs peu solvables, avec des taux d'intérêts plus élevés. Parmi les responsables politiques ayant favorisé directement les conditions de cette crise par des mesures économiques et sociales, The Guardian cite Bill Clinton, George W. Bush, Gordon Brown, ainsi que, dans le domaine de la finance, les PDG anciens et actuels de la compagnie d'assurance American International Group Inc., des banques Goldman Sachs, Lehman Brothers, Merrill Lynch, Halifax-Bank of Scotland

de Llap  Notes : - Citoyen d'honneur de Lezha - Citoyen d'honneur de Korça - Pacolli reçoit " Gusi Prix international de la paix » - 2011 à Manille - Docteur Honoris Causa - Université européenne de Tirana - Reconnaissance de la Fondation Clinton Global Initiative. - Sera honoré avec la "Clé de Tirana " - Kryeqytetar honneur de Baton Rouge , État de la Louisiane , États-Unis - Médaille d'honneur du chancelier de Baton Rouge Community College - Le président du Mouvement pour l'Union économique

Lee Cary, “Obama’s Oratorical Motif”, American Thinker, 15 novembre 2008. 19. Voir Jeff Zeleny, “Clinton Camp Says Obama Plagiarized in Speech”, The New York Times, 19 février 2008. 17 04-a-Laurent:Mise en page 1 8/12/08 10:14 Page 17Cet argument, et d’autres d’ailleurs, furent effectivement utilisés avant lui par son ami Deval Patrick, gouverneur noir

journée s’est faite en présence de Bill Clinton, président des Etats-Unis en 1993. La vive poignée de main entre les deux dirigeants politiques a fait renaitre un certain espoir chez les populations palestiniennes. Cependant, ces accords n’ont pu aboutir suite à l’assassinat de Yitzhak Rabin en novembre 1995, par un extrémiste juif. Cet évènement a amené à l’arrivée de nouveaux ministres peu favorables au processus de paix en Israël. Le président Bill Clinton, en 2000, tente alors un nouveau processus

vitaux, comme l’équilibre de la première région productrice de pétrole, sont concernés. G. H. Bush considère que les grands enjeux du monde doivent être gérés collectivement, même s’il réserve aux États-Unis un rôle prépondérant. Son successeur Bill Clinton poursuivra cette politique, au nom de la défense de la démocratie et du libéralisme. Les États-Unis apparaissent comme la seule hyperpuissance*. Leur suprématie est incontestée dans tous les domaines : militaire, politique, économique et culturel

la majorité des 2/3 dans chacune des deux assemblées (Chambre des Représentants et Chambre du Sénat) et dans les mêmes termes. C'est au prix de cette procédure qui peut être longue dans la recherche de compromis que la proposition devient loi ( de "Bill" à "Act" ). Conférences de presse et médias sont aussi des outils utilisés par le chef de l'exécutif pour faire pression sur les autres pouvoirs. Le droit de grâce est aussi une prérogative du chef de l'exécutif. E/ Il dirige l'administration fédérale