Bimétallisme

monométallisme or et le bimétallisme (double référence à l’or et à l’argent). L’étalon-or classique émerge dans les années 1870 et reste en vigueur jusqu’en 1914 lorsque les pays engagés dans le conflit mondial sont contraints de proclamer le cours forcé de leur monnaie. Le choix de l’Allemagne d’opter pour l’étalon-or en 1873 paraît décisif du point de vue de sa généralisation. Pour Eichengreen, « le réseau d’externalité qui avait un temps maintenu le bimétallisme en place s’est alors mis

individualistes ou d'après celles des socialistes ; s'il est meilleur que l'État intervienne dans les rapports industriels et commerciaux ou les abandonne entièrement à l'initiative privée ; si le système monétaire doit être le monométallisme ou le bimétallisme, etc., etc. Les lois proprement dites y sont peu nombreuses ; même celles qu'on a l'habitude d'appeler ainsi ne méritent généralement pas cette qualification, mais ne sont que des maximes d'action, des préceptes pratiques déguisés. Voilà, par exemple

réseau routier (cf. « Les routes postales » en France…). e. une nouveLLe donne monétAIre et fInAncIère À partir du xviiie siècle, la majorité des États renoncent aux dévaluations récurrentes pour installer des systèmes monétaires plus fiables (bimétallisme puis monométallisme), la fiabilité dans la monnaie instaure un climat de confiance plus propice aux investissements et aux échanges. De nouveaux supports monétaires vont accompagner et susciter l’essor économique : le billet de banque, la lettre

vétérinaire, médecin ou avocat, qu'il acquiert sur les questions sociales des clartés particulières. Tous nos économistes sont des gens instruits, professeurs et académiciens pour la plupart. Est-il une seule question générale : protectionnisme, bimétallisme, etc., sur laquelle ils aient réussi à se mettre d'accord ? C'est que leur science n'est qu'une forme très atténuée de l'universelle ignorance. Devant des problèmes sociaux, où entrent de si multiples inconnues, toutes les ignorances s'égalisent

vétérinaire, médecin ou avocat, qu'il acquiert sur les questions sociales des clartés particulières. Tous nos économistes sont des gens instruits, professeurs et académiciens pour la plupart. Est-il une seule question générale : protectionnisme, bimétallisme, etc., sur laquelle ils aient réussi à se mettre d'accord ? C'est que leur science n'est qu'une forme très atténuée de l'universelle ignorance. Devant des problèmes sociaux, où entrent de si multiples inconnues, toutes les ignorances s'égalisent

vétérinaire, médecin ou avocat, qu'il acquiert sur les questions sociales des clartés particulières. Tous nos économistes sont des gens instruits, professeurs et académiciens pour la plupart. Est-il une seule question générale : protectionnisme, bimétallisme, etc., sur laquelle ils aient réussi à se mettre d'accord ? C'est que leur science n'est qu'une forme très atténuée de l'universelle ignorance. Devant des problèmes sociaux, où entrent de si multiples inconnues, toutes les ignorances s'égalisent

l’esclavage, à l’usure, à la guerre, hostile à l’impôt | | | |Il affirme le caractère inaliénable du domaine public, favorable à un libéralisme commercial régulé par l’Etat, au bimétallisme | | | |universel (définition d’un rapport légal de l’or et de l’argent) populationniste, anticipe le Colbertisme. | | | |Mais surtout il propose la première formulation de ce qui deviendra plus tard la théorie quantitative

modéré, auteur d’une “ République ” (1576 / mode platonicienne). Hostile à l’esclavage, à l’usure, à la guerre, hostile à l’impôt Il affirme le caractère inaliénable du domaine public, favorable à un libéralisme commercial régulé par l’Etat, au bimétallisme universel (définition d’un rapport légal de l’or et de l’argent) populationniste, anticipe le Colbertisme. Mais surtout il propose la première formulation de ce qui deviendra plus tard la théorie quantitative de la monnaie en 1568 à la faveur d’un

individualistes ou d'après celles des socialistes ; s'il est meilleur que l'État intervienne dans les rapports industriels et commerciaux ou les abandonne entièrement à l'initiative privée ; si le système monétaire doit être le monométallisme ou le bimétallisme, etc., etc. Les lois proprement dites y sont peu nombreuses ; même celles qu'on a l'habitude d'appeler ainsi ne méritent généralement pas cette qualification, mais ne sont que des maximes d'action, des préceptes pratiques déguisés. Voilà, par exemple

tour devenir la monnaie de référence bien que l’or soit visiblement le premier choix, ne laissant sa place à l’argent que lorsque sa rareté devient problématique. En France, en 1803, nous allons avoir un système particulièrement original: le bimétallisme. Ce système est fondé sur deux métaux: l’or et l’argent qui vont être à l’origine du franc germinal, une monnaie qui va avoir une stabilité exceptionnelle. Ce système est basé sur trois principes: • Liberté de frapper monnaie: on peut avoir de