Biographie Blaise Pascal

janvier 2011 Citations de Blaise Pascal La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force ; et pour cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste. Blaise Pascal Ne pouvant fortifier la justice, on a justifié la force. Blaise Pascal Plaisante justice, qu'une rivière ou une montagne borne ! Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Blaise Pascal L'affection ou la haine

humain, personne ne le conteste, mais l’homme est-il fondamentalement mauvais ? // Une des réponses à cette question est fournie par Blaise Pascal qui fait ce constat amer dans ses Pensées : « le cœur de l’homme est creux et plein d’ordures ». // Grand défenseur de la doctrine chrétienne du péché originel qui fait de l’humanité une race pécheresse et maudite, Pascal estime que la séparation de l’homme d’avec Dieu suite à la Chute, a laissé au fond de lui un grand vide ou « creux » que rien ne peut

« Les deux infinis » (Blaise Pascal ;Les pensées) Pascal (1623-1662) : Surdoué, il se reconnaît dans le jansénisme. En réalité, il pense que Dieu ne pardonne pas à tout le monde et qu’il faut donc mériter son pardon puisque pour tout Chrétien la vie terrestre n’a aucun intérêt. Pour lui Dieu fait donc une certaine présélection et il existe une réelle prédestination. Son travail est donc de convaincre ses lecteurs de la véritable importance de la religion Chrétienne. Il pense que l’homme

Introduction : Dans sa Pensée « Diverstissement », Blaise Pascal constate le besoin irrépressible pour tout homme de se divertir pour oublier sa misérable condition de mortel, et il énumère les principaux divertissement de son époque. Peut-on expliquer la société d’aujourd’hui par le divertissement pascalien ? Nous verrons d’abord dans quelle mesure les divertissements du XVIIème siècle perdurent aujourd’hui et en quoi ils se sont renouvelés; ensuite nous nous interrogerons sur la ou les fonctions

Blaise Pascal Les pensées de la justice *La misère de l'homme sur terre: -L'homme n'est pas éternel,ainsi il vit en ayant une permanence conscience de sa finitude de sa vie.Ainsi,l'homme mène une vie de misère car il ne peut vivre sans l'effroi de mourir. -La condition de l'homme est inconstante,ce qui fait son malheur. -Les sentiments de l'homme sont instables. -L'homme ne peut pas assurer son équilibre. -Il est impuissant à tout connaitre. *La vanité de l'homme: -La vanité est le caractère de

c'est-à-dire jouer et convaincre par les sentiments, plus précisément par des faits auxquels un individu attache beaucoup d'importance, tel que la religion. Cette stratégie argumentative permet de rallier le lecteur à la cause de l'auteur. Blaise Pascal, dans Pensées, joue sur la persuasion et la conviction. Pour convaincre, il utilise un présent de vérité général : l.1 : « tous les hommes recherchent d'être heureux », donne des exemples réels : l.7 : « tous se plaignent […] conditions » , il

français, Blaise Pascal. Ce dernier reproduit et complète l’expérience de Torricelli (5): si c’est bien l’air qui appui sur le mercure, alors en s’élevant en altitude, comment cette pression va t’elle évoluer? Pascal étant malade, il confie ses instruments (mercure, cuve, tubes...un des premiers baromètres) à son beau frère F. Perrier, qui, habitant l’Auvergne, monte au sommet du Puy de Dôme et découvre alors qu’à 1000 m d’altitude, la colonne de mercure ne mesure plus que 68 cm. Pascal en déduisit

de ce monde, c'est un idéal toujours inaccessible. Le bonheur peut être conçu comme un idéal inaccessible mais de ce fait comme une idée régulatrice qui permet à l'homme de se dépasser. - Le bonheur n'est pas de ce monde : il est dans la foi : cf. Pascal, Pensées : Tous les hommes recherchent d'être heureux. Cela est sans exception, quelques différents moyens qu'ils y emploient. Ils tendent tous à ce but. Ce qui fait que les uns vont à la guerre et que les autres n'y vont pas est ce même désir qui

Les autres hommes sont déterminés à agir sans sentir, ni connoître les causes qui les font mouvoir, sans même songer qu’il y en ait. Le philosophe au contraire demêle les causes autant qu’il est en lui, & souvent même les prévient, & se livre à elles avec connoissance : c’est une horloge qui se monte, pour ainsi dire, quelquefois elle-même. Ainsi il évite les objets qui peuvent lui causer des sentimens qui ne conviennent ni au bien-être, ni à l’être raisonnable, & cherche ceux qui peuvent exciter

La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences. Blaise Pascal La connaissance de soi même est un ordre particulier de connaissance dans la mesure où, à son foyer même, le sujet connaissant et l'objet à connaître sont confondus, il est « juge et partie ». Cette difficulté centrale rend impérative une recherche exigeante de l'objectivité si cette connaissance doit être de quelque