Biomasse

l’ensilage. Les ensilages développés au sein du laboratoire (LBBMA4 et LBBMA25) ont d’abord été testés in vitro en tant que milieu de culture pour micro-organismes. Il s’avère que l’ensilage LBBMA25 permet une cinétique de croissance et l’obtention de biomasse équivalente à ce qui est obtenue avec des peptones commerciales. De plus, l’utilisation des ensilages en tant que compléments alimentaires pour post-larves de crustacés ou juvéniles de mollusques et de poissons, montre un très fort potentiel. Ainsi

agrosystème, l’homme favorise une seule espèce au dépend des autres. Pour cela, il agit à la fois sur le biotope mais aussi sur la biocénose. Une des différences majeures entre écosystème et agrosystème est l’exportation de la quasi-totalité de la biomasse par l’homme dans l’agrosystème, ce qui est compensé par des importations humaines appelée intrants. Parmi les agrosystèmes, on différencie les agrosystèmes de type culture aux agrosystèmes de type élevage. Un agrosystème repose sur deux principes:

matière et d'énergie. L'homme prélève de la biomasse (matières organiques) dans les écosystèmes, ce qui peut détruire leur équilibre si la quantité de matière perdue est trop importante. Mais en général la partie prélevée reste assez faible.  Un agrosystème est bâti à partir d'un écosystème, naturel et équilibré. Il est modifié par la main de l'homme pour répondre à des exigences totalement différentes, à savoir la production d'un maximum de biomasse pour la prélever dans un but nutritionnel (alimentation)

dépenses d’énergie, c’est d’abord faire des économies, en diminuant les besoins de votre logement et en faisant appel à des équipements performants. C’est aussi utiliser les énergies renouvelables. Les énergies du soleil, du vent, de l’eau, de la biomasse et la chaleur de la terre permettent d’épargner le pétrole, le gaz et le charbon qui sont des énergies fossiles, épuisables et génératrices de pollution. Cela permet égalemment de limiter les émissions de gaz à effet de serre qui participent au réchauffement

estimer quantitativement la photosynthèse :Biomasse végétale : masse totale de matière végétale présente dans un milieu donné à un moment donné. Elle s’exprime en masse de matière sèche par unité de surface de sol (kg.m2 )Production primaire brute : quantité d’énergie (Joule) ou Masse de Carbone (Kg) assimilée par photosynthèse, sur une unité de surface et par unité de temps.Production primaire nett : quantité d’énergie ou Masse de Carbone fixée dans la biomasse produite par la plante par unité de surface

monde : mettre un terme à la consommation de la viande reviendrait à mettre au chômage un grand nombre d’individus (bouchers, agriculteurs...). La biomasse est l'ensemble de la matière organique d'origine végétale, ou animale. Or on constate grâce au document 3 que chez les consommateurs de premier ordre (ceux qui ne mange pas de viande) la biomasse est beaucoup plus rentable (500 kg.ha-1) que chez les consommateurs de 2ème et 3ème ordre, qui sont carnivores (seulement 10kg.ha-1). On remarque au

pollution, le réchauffement et l’exploitation intensive des nappes phréatiques par l’agriculture industrielle, ce qui nous pousse a faire encore plus attention en nos dépenses d’eau en trop[8]. 3. Les conséquences pour la biodiversité[9] et la biomasse[10] Il y a la disparition des forêts qui est du a l’exploitation forestière, agricole ou minière. Les activités humaines ont pour conséquence une augmentation du taux de CO2 et donc nous détruisons les forêts qui contribuent à éliminer le CO2

du végétal utilise des matières premières renouvelables à la place du pétrole. • Biomasse La biomasse désigne l'ensemble des matières organiques d'origine végétale (algues incluses), animale ou fongique pouvant devenir source d'énergie par combustion (ex : bois énergie), après méthanisation (biogaz) ou après de nouvelles transformations chimiques (agrocarburant). • Biocarburants Issus de la biomasse, les biocarburants sont commercialisés principalement sous deux formes: l’éthanol

seule fonction de recouvrir au maximum le sol. Les plantes de couvertures doivent être rabattues avant semis, mécaniquement ou chimiquement. • Lorsqu’on parle de couverture morte, il s’agit d’un mulch constitué soit de résidus de culture, soit de biomasse importée11. Aucune action spécifique n’est nécessaire entre le paillage et le semis. Rappelons les principales abréviations utilisées. SCV : système de culture à base de couverture végétale ; SDCV : semis direct sur couverture végétale ; SD :

soit 18 % de la population mondiale, contre 1,6 aujourd’hui, seraient encore privés d’accès aux services de l’électricité. 2,6 milliards d’habitants (31 % de la population mondiale), 240 millions de plus qu’aujourd’hui, n’auraient accès qu’à la biomasse traditionnelle (principalement le bois de feu) pour assurer les services énergétiques essentiels. Plus généralement, l’augmentation rapide du recours au pétrole et au gaz naturel, non seulement dans les PED et les pays en transition, mais aussi