Bipartisme Et Multipartisme

développement des systèmes de partis au XIXe (état bipartisme) et au XXe (état multipartisme et bipartisme). - historique et culturel : on peut expliquer la division de la droite dans un certain nombre de pays (France par exemple) - technique : liés au régime électoral - représentation proportionnelle : système multi-partisan rigide - scrutin majoritaire à deux tours : système multi-partisan souple - scrutin majoritaire à un tour : bipartisme Conclusion : les partis politiques ont pour

DIFFERENTES. Le droit constitutionnel a très vite eu des relations avec la science politique. Les approches de DUVERGER : Tout n’est pas détaillé dans la Constitution et il le faut. EXEMPLE : Loi électorale, un scrutin majoritaire à un tour génère le bipartisme. La science politique s’est, dans un premier temps (XXème siècle), tournée autour d’une analyse sociologique des partis politiques. Initialement, ils ont les mêmes objets. Autrement dit, ils examinent le pouvoir, c’est une science de l’Etat

ce mode de scrutin oblige les lecteurs à voter utile c’est-à-dire pour un grand parti ; ils votent pour quelqu’un qui a le plus de chance d’être élu. C’est un mode de scrutin qui favorise les grands partis politiques qui aboutit fréquemment au bipartisme. - Le deuxième avantage : cela assure une grande stabilité politique et gouvernementale et presque toujours, un des deux partis obtiendra la majorité absolue au gouvernement. - Le troisième avantage : favorise l’alternance politique. Premier

représentants ne sont pas élus, mais se font élire. L’électeur vote en réalité pour un candidat déjà présélectionné par les appareils politiques dont le caractère démocratique pour certains est contestable. Le multipartisme qui pourrait être un remède à cette tare est réduit à un bipartisme organisée par les institutions et promue par les médias. Le degré de renouvellement du personnel politique est faible. L’analyse socioprofessionnelle de ces personnalités politiques montre en effet une grande homogénéité

géographique des voix. Pour les partis susceptibles d’accéder au pouvoir, mieux vaut disposer d’une répartition homogène de leurs performances plutôt que d’être particulièrement forts à un certain endroit. Ce type de scrutin conduit généralement au bipartisme. En effet, les électeurs souhaitant Le travailliste Gordon Brown (à gauche) et le conservateur David Cameron ont vu émerger un 3ème rival, le libéraldémocrate Nick Clegg aux dernières élections en Angleterre. 10 Contrastes Crédit © Union européenne

chef du parti ayant la majorité parlementaire. Ce régime a évolué pour accepter, très récemment, pour que ce ne soit plus le premier mâle qui accède au trône mais aussi les femmes (Reine Elisabeth II). La stabilité du système est garantit par le bipartisme, soit le fait qu’il y ait deux grands partis représentés principalement aux communes et qui alterne au pouvoir : tories – conservateurs / labour – travailliste / (troisième émergent le liberal democrate party mais aussi d’autres partis comme écologiste

L’opinion
internationale
s’en
émut
Pendant
ce
temps
là,
Gorbatchev
à
Moscou,
depuis
 1985,
s’efforçait
de
faire
évoluer
le
système
soviétique
vers
la
Pérestroïka.
Les
chefs
 inamovibles
des
partis
communistes
des
pays
de
l’Est
furent
tous
peu
à
peu
remplacés
et
 on
s’orientait
vers
un
multipartisme.
Ceausescu
se
refusa
à
cette
évolution.
En
avril
 1989,
plusieurs
membres
influents
du
parti
et
des
intellectuels
demandèrent
en
vain
des
 réformes
et
l’arrêt
des
tracasseries
de
la
police
politique.
Le
16
décembre
1989,
un
 pasteur
hongrois
était
obligé
de
quitter
sa
paroisse

proportionnelle. Aucun de ces scrutins n’est satisfaisant : le majoritaire est trop brutal, la proportionnelle favorise l’instabilité. Le système préférable du point de vue de la clarté des enjeux est le scrutin majoritaire, car il favorise le bipartisme (que ce soit un candidat ou une liste); à l’inverse celui à la proportionnelle favorise la pluralité des partis car ils sont plus susceptibles d’obtenir des sièges au parlement (donc diversité des programmes…). Même si dans le scrutin proportionnel

battus sont perdus. Le SM ne permet pas une représentation fidèle des opinions existantes parties les électeurs. LE SM a des effets particulièrement douteux. -attaché au fait que c’est un scrutin à 1 tour , il favorise les majorités stables et le bipartisme qui est la structuration de la vie politique autour de 2 parties.( G-B et E-U). Puisqu’il y a 1 seul tour de scrutin , les alliances et les désistements ne sont pas possibles. Les électeurs ont privilégiés le vote utile. Cela signifie que ses électeurs

prépondérance théorique et la prépondérance de fait et ainsi la hiérarchie des organes peut-être contredit par la hiérarchie réelle. Cas des régimes parlementaire contemporain dans lesquels le parlement détient théoriquement la prépondérance. Le bipartisme entraine la prépondérance de l’exécutif. Exemple en Angleterre: parti travailliste & parti conservateur II. Les fonctions de l’Etat A) Distinctions traditionnelles des fonctions de l’état : Distinctions entre la fonction législative,