Bipartisme Et Multipartisme

Cette injustice a été mise en relief dans le système à la majorité à un tour, on a dénoncé cela en prenant référence sur la Grande Bretagne. Le scrutin majoritaire a deux conséquences : - surreprésentation du parti vainqueur - il génère le bipartisme   1. la surreprésentation du parti vainqueur On a constaté qu’?il existe une disproportion entre le pourcentage des vois obtenus par un parti au niveau national et le pourcentage des sièges qu’?il a remporté au parlement. On a constaté qu’?un

Cette injustice a été mise en relief dans le système à la majorité à un tour, on a dénoncé cela en prenant référence sur la Grande Bretagne. Le scrutin majoritaire a deux conséquences : * surreprésentation du parti vainqueur * il génère le bipartisme 1. la surreprésentation du parti vainqueur On a constaté qu’il existe une disproportion entre le pourcentage des vois obtenus par un parti au niveau national et le pourcentage des sièges qu’il a remporté au parlement. On a constaté qu’un parti

majoritaire Cette injustice a été mise en relief dans le système à la majorité à un tour, on a dénoncé cela en prenant référence sur la Grande Bretagne. Le scrutin majoritaire a deux conséquences : surreprésentation du parti vainqueur il génère le bipartisme 1. la surreprésentation du parti vainqueur On a constaté qu’il existe une disproportion entre le pourcentage des vois obtenus par un parti au niveau national et le pourcentage des sièges qu’il a remporté au parlement. On a constaté qu’un parti

partis : La R.P. tend à la formation de partis multiples indépendants. Le scrutin majoritaire à deux tours tend à la formation de partis multiples mais dépendants (pour gagner, il faut s'allier). Le scrutin majoritaire à un tour tend au bipartisme (vote utile) Fonctionnement des institutions : le scrutin majoritaire favorise l'apparition d'une majorité (surtout avec un seul tour, car à deux tours risque que la coalition se fissure). La R.P. rend beaucoup plus difficile

susceptibles d’être aplanis voire réglés d’un jour à l’autre. Le mimétisme évoqué par A. de Raulin se situe essentiellement dans le désir de l’« intelligentsia » africaine de transposer à ce continent le multipartisme (d’où une floraison de partis ethniques : 48 en Guinée) alors que le bipartisme (aussi démocratique) permet 1 in revue juridique et politique n°2 Mai-Septembre 1994 : « à partir du régime constitutionnel guinéen : réflexion sur les institutions futures de l'Afrique » — 51 — d’éviter

à se retirer au profit du front de gauche et dans l’autre l’inverse. Cela à conduit à la bipolarisation, deux camps au sein duquel il y a deux partis. Pendant longtemps ce fut PS-PC à gauche, rpr-UDF à droite. Ce scrutin ne remet pas en cause la bipartisme, cela se fait au second tour et c’est donc une bipolarisation. Appréciation critique de ce système. Le scrutin proportionnel érode l’amplitude des pouvoirs, F M, a voulu amoindrir la victoire prévisible de la droit a voulu établir le scrutin proportionnel

Guerre Froide et qui s'achève en 1991 par la disparation de l'un des deux adversaires, l'U.R.S.S. Est et Ouest se proclament chacun démocratiques mais leurs conceptions sont opposées. Celle de l'Ouest repose sur la concurrence (politique avec le multipartisme, économique avec le capitalisme...) tandis que celle de l'Est repose sur l'égalité sociale (abolition de la propriété privée, établissement d'une société sans classe. Ces deux modèles, deux universalismes ont par conséquent vocation à s'appliquer

annihilée. Elle trouve aussi son origine dans des variations techniques du scrutin: Le bipartisme est caractéristique du scrutin à un seul tour. Le vainqueur est désigné dès le début, donc la coalition est encouragée avant le vote. Le scrutin à deux tours caractérise le multipartisme modéré, car au premier tour, il n'y a pas besoin de s'associer pour gagner des voix, mais ensuite, cela devient nécessaire. Le multipartisme intégral est bien entendu l'apanage du scrutin proportionnel. Il faut néanmoins

sont les députés qui le maitrisent. Tout de même, il y a eu une dissolution sous la 4 ème République, en 1955. b - Les facteurs politiques de l’échec. La 4ème République a aussi été victime de son système de partis. Ce système est qualifié de multipartisme inorganisé = non seulement plusieurs partis, mais pas de discipline entre eux. Cela empêche la formation d’une majorité de coalition solide pour soutenir le gouvernement. La Constitution de 1946 avait été prévue pour fonctionner avec le tripartisme

comme étant très efficace. Il permet de former une majorité stable. L’effet le plus notable du SUM est sur les institutions politiques elles-mêmes ou sur les partis politiques. Bipartisme se développe. Il est visible en GB et aux USA (partis travailliste et conservateur en GB, Démocratique et républicain aux USA). Le bipartisme est souvent critiqué car il ne permet pas de représenter fidèlement les différentes tendances politiques d’un pays qui ne se résument pas à 2 partis. Le parti politique qui sort