Bipolarisation Du Monde à Un Monde Unipolaire

quotidien. Avec la mondialisation, le monde devient de plus en plus interdépendant : il s’agit de l’interdépendance structurelle. Exemples : dans le domaine économique et financier : la crise En 2007, on disait que les finances européennes, françaises a fortiori ne seraient pas touchées par cette crise.Mais 2008 a prouvé le contraire ce qui est une preuve de l’interdépendance. Dans le domaine de l’écologie : la lutte contre le réchauffement planétaire et les gaz à effet de serre La gestion commune

société internationale soit anarchique. Il n’y a pas d’autorité régulatrice au-dessus des Etats. Ils sont leur propre souverain. Pas de gendarme, pas de juge au-dessus des Etats. La conséquence est l’incertitude stratégique des Etats. Les Etats sont dans ce que Hobbes appelait ; l’Etat de nature => situation fictive dans lequel l’Etat est un loup pour l’Etat (chacun pour soit). L’Etat ne peut compter sur aucune autorité pour exercer la souveraineté à sa place. En théorie les Etats ne peuvent compter

l'Est repose sur l'égalité sociale (abolition de la propriété privée, établissement d'une société sans classe. Ces deux modèles, deux universalismes ont par conséquent vocation à s'appliquer au monde entier. L'affrontement qui dure du lendemain de la Seconde Guerre Mondiale jusqu'à la chute de l'un des ennemis et fait craindre à plusieurs reprises un Holocauste nucléaire puise sa source dans le modèle idéologique et par là les choix politiques, économiques et sociaux que chacune des superpuissances proposaient

guerre, en effet, le monde, uni dans sa lutte contre le nazisme, se divise en deux camps opposés : d’un côté, le bloc communiste de l’Est, principalement constitué de l’URSS et de nombreux pays pauvres, tels ceux de l’Europe de l’Est, appelés « États satellites » ; d’un autre côté, le bloc capitaliste de l’Ouest, composé des États-Unis et de nombreux pays riches, tels ceux de l’Europe de l’Ouest. On parle alors de « monde bipolaire » ou encore de « bipolarisation » du monde. ​Pour exercer leur mainmise

obligations internationales Section 2 : Il arrive que l'individu ait des droits à faire valoir sur le plan international SECONDE PARTIE : LES GRANDS PRINCIPES REGISSANT LES RELATIONS INTERNATIONALES Chapitre 1 : L'interdiction de l'emploi de la menace ou l'emploi de la force Section 1 : La portée du principe de l'interdiction du recours à la force Section 2 : La mise en œuvre institutionnelle de l'interdiction du recours à la force, le système de sécurité collective de l'ONU et son évolution Les relations

MONDIALE ET LES REGLEMENTS DU CONFLIt Introduction  Le second conflit mondial est la plus grave catastrophe que le monde ait jusqu’à présent jamais connu. L’ampleur des combats, le caractère planétaire du conflit et la puissance des armements expliquent l’énormité et l’immensité de l’hécatombe humaine mais aussi de la folie destructive. Le monde va essayer d’en tirer des leçons en procédant à des règlements dont l’ambition fut d’empêcher le réveil des vieux démons ; mais les conséquences sont si profondes

remarques sur l’intitulé du cours : Généralement il y a des théories là ou la science a réussis à percer. Mais y’a-t-il vraiment une science-politique ?  La science ne se pilote pas. Il faut simplement créer des conditions favorables aux chercheurs et espérer qu’ils fassent émerger quelque chose.  Au niveau de l’actualité des théories internationales c'est très variable. Aujourd’hui c’est le constructivisme, mais il y a 10 ans c’était différent. Ces théories apparaissent, sont

l’obligation de coopérer. Cette coopération en dit sur les formes diverses de régulation qui passe par le moyen de la négociation. D’un autre coté, il existe entre les Etats une compétition acharnée et la société internationale reste à ce point mal organisée que certain parle encore à son égard de société anarchique. On évoque une société anarchique pour un certain nombre de raisons : d’abord parce que la domination et la prédation reste omniprésente, ensuite parce que le droit qui régule les relations entre

mercantilisme, mais à partir du milieu du 18ème siècle, elle peut être décrite en termes de capitalisme libéral. Le mercantilisme est une doctrine qui estime que l’État nation naissant doit être puissant, donc riche. Il lui faut alors des métaux précieux. L’économie est alors orientée vers l’obtention de ces métaux, il faut vendre en masse à l’étranger et importer le moins possible. Pour cela, l’objectif est de protéger l’économie nationale, le mercantilisme est donc protectionniste. A cette première

mercantilisme, mais à partir du milieu du 18ème siècle, elle peut être décrite en termes de capitalisme libéral. Le mercantilisme est une doctrine qui estime que l’État nation naissant doit être puissant, donc riche. Il lui faut alors des métaux précieux. L’économie est alors orientée vers l’obtention de ces métaux, il faut vendre en masse à l’étranger et importer le moins possible. Pour cela, l’objectif est de protéger l’économie nationale, le mercantilisme est donc protectionniste. A cette première