Bipolarisation

législatif retrouve de ce fait un peu de son pouvoir en contrôlant un peu plus les politiques publiques engagées par le gouvernement. 1 è r e s S T I 2 D e t T e r m i n a l e s H I S T O I R E L a 5 è m e R é p u b l i q u e P a g e | 6 3. Une bipolarisation de la vie politique française ? 3.1. Une division très ancienne La division entre droite et gauche remonte à la Révolution et aux débats autour des pouvoirs du roi dans la monarchie constitutionnelle mise en place. Ceux qui étaient favorables

génétique. Bourdieu met en avant trois formes de capital : économique matériel (instruction) la densité du réseau social que l’on peut mobiliser dans telle ou telle classe Bourdieu met en avant l’importance du capital culturel. Il y a une bipolarisation sociale. Il y aura d’un côté une culture dominante imposée par une classe dominante. La classe dominée va subir « une violence symbolique ». Cela génère une lutte de classements. L’école est une institution de reproduction sociale, et plus précisément

d’états, 2° à cause de l’augmentation du nombre des organisations internationales. On la retient avec 3 dates majeures : 1945 fin de la deuxième guerre mondiale. 1989 explosion du bloc URSS 2001 attentats du 11 septembre. Section I : La bipolarisation du monde 1945-1989 : Pendant ces années le monde est idéologiquement séparé en deux camps et en deux blocs. Le bloc occidental mené par les états unis et le bloc oriental mené par l’URSS. Paragraphe 1 : La période de tension La Guerre Froide

fondée en 1958 par le Général de Gaulle, repose sur un système à fort pouvoir présidentiel. Depuis 1962, l’élection du président de la République se fait au suffrage universel. Cela renforce la présidentialisation de la République et accroit la bipolarisation de la vie politique autour de la droite et de la gauche. De Gaulle mène une politique d’indépendance et de grandeur nationale mais le régime est ébranlé par la crise de mai 1968 et le président démissionne en 1969. - 1969/1981 : L’après

29 pays appellent à l’émancipation des territoires encore colonisés, rappellent le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et l’égalité de toutes les nations. A l’égard des 2 blocs, ils proposent le neutralisme en dénonçant le danger de la bipolarisation et appellent à un développement juste de la planète. Le mouvement des non- alignés naît à Belgrade en 1961 à l’initiative de Tito (et Nehru et Nasser) et regroupe un nombre croissant de pays lors de différentes conférences (Le Caire en 64,

relations extérieures de l’URSS. Le socialisme soviétique n’est plus imposé aux Etats communistes, mais c’est un pluralisme qui s’installe dans le bloc de l’Est. B. Une bipolarisation du monde toujours plus sensible L’importance qu’accordait Staline aux Etats d’Europe occidentale est indissociable du contexte de bipolarisation progressive du monde entre le bloc de l’Ouest et le bloc de l’Est : la création du Kominform, « bureau d’information » des partis communistes européens, en 1947, traduit

le système majoritaire et donc faire un référendum pour proposer une modification du mode de scrutin. Car le système majoritaire ne pouvait pas faire gagner les libéraux démocrates qui étaient trop faibles. Ce système, en effet, entrainait une bipolarisation du paysage politique car tout le monde votait pour les partis les plus forts et qui ont une chance de gagner et non pas pour les petits partis. Ils proposent donc le : Vote alternatif Chaque électeur classe tout ou une partie des candidats

Représentants) et le pouvoir judiciaire (détenu par la Cour Suprême). On peut également faire part de la bipolarisation politique, c'est-a-dire le mode de scrutin (scrutin majoritaire uninominal à un tour) qui favorise les grands partis qui constituent de véritables machines électorales. On parle bien évidemment du Parti Démocrate et le Parti Républicain. C'est pourquoi on parle ici de bipolarisation politique. La constitution de 1936 de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, modifiée en

Retrait des forces françaises des commandements intégrés mis en place par l’OTAN (il s’achève en 1966) - La politique étrangère Vis à vis des Supergrands, le général de Gaulle entend montrer que la France ne saurait prendre son parti de la bipolarisation. Elle reste l’alliée des Etats-Unis mais elle demande à être traitée en partenaire et non en vassale, et ne se sent pas tenue d’approuver toutes les initiatives américaines (en 1966 à Phnom Penh, de Gaulle développe une vigoureuse critique de

La bipolarisation remise en cause (1975-1991). Introduction : Les années 1970 voient la remise en cause de l’équilibre international. Le monde entre la récession, de nouveaux acteurs et conflits apparaissent échappant au contrôle des deux grands. La chute du mur de Berlin en 1989 puis l’effondrement de l’URSS en 1991 marquent la fin de la guerre froide. On se demande : comment est-on passé d’une reprise de la guerre froide à la disparition des deux blocs. I - Les années 1970 : vers le désordre