Bismarck Beveridge

Protection sociale Au sein de notre Protection sociale réside deux logiques, la première est anglaise et a été léguée par Lord Beveridge (a) alors que la seconde est allemande et a été élaborée par le chancelier Bismarck (b). a) Une logique Beveridgienne Le plan Beveridge était fondé sur les trois principes de l'unité (un seul système), de l'uniformité et de l'universalité (les mêmes prestations pour tous les membres de la société). Les bénéficiaires

providence : logique assuranciel ou soit une logique d’assistance (Espin-Anderson, Pallier, Barbier) Ces deux systèmes proviennent de deux choix effectués par 2 pays l’Allemagne a mis en place d’un système assuranciel (Bismarck) et l’Angleterre un système d’assistance (Beveridge). La logique du système Bismarckien et que l’Etat contraint l’entreprises et les ménages à mettre en place un système d’assurance sociale visant à le protéger contre un certain nombre de risque sociaux. Le montant des prestations

- couverture des risques (accidents du travail, maladie, etc.) - versement des cotisations pour les employés et les salaries. Ce programme était un programme de protection sociale de Bismarck. On constate donc que la politique extérieure de Bismarck, qui consiste à créer des systèmes d'alliances entre les puissances européennes afin de protéger l'Allemagne de sa situation géographique et de mettre la France à l'écart, en raison d'un sentiment de revanche que celle-ci

permettant de protéger chaque individu contre les risques sociaux. On distingue 2 logiques :· La logique de l’assurance· La logique de l’assistance 1. La logique de l'assurance : Le modèle bismarckienDu nom du Chancelier Bismarck, qui mit en place le système d'assurances sociales en Allemagne à la fin du XIX siècle. Chaque actif cotise proportionnellement à son revenu et il reçoit des prestations proportionnelles

familiale. Ce système ce concrétise grâce au chancelier Bismarck qui crée alors en 1884 le premier Etat providence. Cette initiative est prise pour prévenir du socialisme. Seuls les travailleurs à ce système de protection sociale. Ils sont protégés contre les risques du au chômage, le risque d’accidents du travail... Mais ce système exclu les chômeurs, les familles monoparentales… Ce système est suivi du système Beveridgien, du nom de William Beveridge qui remit un rapport sur la protection sociale à W

opposition aux solidarités traditionnelles (famille, communautés, corporations...). Mais, la création des premiers systèmes d’assurance sociale à la fin du XIXe siècle, (ex : système de Bismarck en Allemagne) et le développement de la sécurité sociale en Grande-Bretagne (Welfare State) à partir du rapport Beveridge en 1942, influencé par les idées de l’économiste Keynes, ont fait évoluer les réflexions sur ce sujet. La mise en place, en France, d’un État-providence développé s’est concrétisée par

assiste peu à peu à une protection sociale liée au travail. Par ailleurs, Pierre Laroque a crée en 1945 la sécurité sociale tel que nous la connaissons aujourd’hui. Pour cela il s’est inspiré du modèle Allemand (Bismarck) basé sur un principe de cotisation et sur le modèle Anglais (Beveridge) qui garantit des revenus minimum à toute la population. Pierre Laroque pose 4 principes : L’unité : un seul système pour tout le monde ; L’uniformité : nous sommes tous couvert de la même façon ; Ces deux systèmes

sociale est issue de l'industrialisation. Ex: conducteur de train qui était attiré grâce à des prestations sociales → régime spéciaux de retraite. La protection sociale a été mise en place pour éviter les guerres, et les révolutions. Ex : Bismarck impose les protections sociales pour éviter la révolution. Intérêt macro économique de la protection sociale Aux USA la protection sociale a été mise en place pour relancer la consommation grâce à des lois prises par Roosevelt : 1933 : le

assurance/assistance, services collectifs, fiscalité, prestations et cotisations sociales, redistribution, protection sociale. Notions complémentaires Equité, Méritocratie Justice sociale Egalité de droits/ des chances/ des situations. Risques sociaux Bismarck/Beveridge impôt progressif discrimination positive crise de financement/d’efficacité de légitimité trappe à chômage /inactivité courbe de Laffer effet de substitution effets de revenu Plan : I. Sur quelles conceptions de la justice sociale se fonde

l’Autriche dans le Zollverein. Cependant, la politique de Bismarck engendra la crainte d’une Allemagne nouvelle dominée par la Prusse. Encouragée à étouffer les aspirations prussiennes, l’Autriche demande alors une réforme générale de Confédération germanique sans consulter la Prusse. Cette politique se révèle être un échec puisque des liens économiques forts unissaient les Etats membres autour de la Confédération. Dès l’origine, Bismarck s’orienta vers un conflit ouvert avec l’Autriche. La guerre