Bismarck Beveridge

L’une s’inspire du principe d’assistance prôné par Lord Beveridge. Dans ce principe, la société reconnaît à chacun de ses membres le droit à un minimum de ressources, même s’il n’a pas cotisé auparavant. C’est le cas du versement du RMI depuis 1988, du minimum vieillesse ou de l’allocation de solidarité aux chômeurs en fin de droits. La seconde logique – une logique d’assurance – émane des premières assurances sociales mises en place par Bismarck à la fin du XIXe siècle en Allemagne. Elle établit un

La conception Bismarckienne de la protection sociale Bismarck : chancelier allemand de la fin du 19ème siècle. Il a mis en place 4 principes du ce système : Protection sociale seulement pour ceux qui sont salarié Réservé pour ceux qui ont un salaire inférieur à un certain seuil Proportionnalité entre les cotisations versées et les versements reçus C’est un système qui est géré par les employeurs b. La conception Beveridgienne Lord Beveridge : 3 principes : Couverture de toute la population et de

tout cela est insuffisant pour résoudre le problème de pauvreté. Donc l’innovation de l’époque consiste réellement en la création des assurances sociales par le chancelier Bismarck dans l’empire allemand. Pour couper l’herbe sous le pied du mouvement socialiste allemand et assurer la loyauté de la classe ouvrière à l’empire, Bismarck imagine d’obliger certaines catégories de salariés à s’assurer auprès de caisses pour la maladie et pour la retraite. 3 lois sont alors votées dans les années 1880 : en

BismarckL'Etat providence arrive tt d'abord en Allemagne avec le chancelier Bismarck, qui met en place en 1883,l' invention des assurances maladies obligatoires pr les ouvriers de basse salaires et en 1986,pr tout les ouvriers. L'assurance décès en 1911. Tout ce système d'assurance doit ê financé. Dc pour cela tout le monde doit cotiser.On va mêler les prestations aux cotisations. Mise en place de partenaires sociaux. Par Beveridge (anglais)Repose sur 3 pts:L'universalité -> pr lui chaque citoy doit

travail changea aussi les conditions de la solidarité entre les individus. Les débuts de la protection sociale se retrouvent organisés par les ouvriers eux-mêmes. Ensuite, ces fondements, sont mis en œuvre et codifiés dans l'Allemagne de Bismarck puis par l'Anglais Beveridge. Ils servent à inventer les systèmes qui seront mis en place en Europe après la seconde guerre mondiale. La protection sociale est l’Ensemble des procédés mis en place pour assurer et assister chaque individu devant les grands risques

bien être physique, mental et social qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. » Il existe deux types historiques de système de santé, un basé sur l’assurance (Bismarck en Allemagne) et un basé sur la solidarité nationale (Beveridge en Angleterre). En Allemagne, c’est donc Bismarck qui met en place la première assurance sociale en 1883. Cette dernière est au profit des ouvriers de l’industrie dont le salaire est inférieur à un certain seuil. Le principe étant de faire

salaire entre les deux parties (en période de chômage, les entreprises ont un pouvoir de négociation plus important). Le premier auteur à s'apercevoir que le marché était imparfait, est l'économiste Anglais Beveridge qui a publié un article en 1942 où il décrit la courbe de Beveridge. (si l'on a beaucoup de postes vacants le taux de chômage sera faible, et inversement). Pissarides (1970) introduit la question du temps : quand il y a moins de personnes qui cherchent un emploi, il sera plus

clés d’un basculement de cette état gendarme vers un état providence, vers une généralisation de l’intervention de l’état qui intervient de plus en plus l’économie et dans la société. Les prémices de l’Etat Providence en Europe c’est Bismarck, depuis Rapport Beveridge 1942, émergence de fin 19 à WWII. L’état doit intervenir pour corriger les imperfections de marché. 1. L’état comme correcteur des imperfections de marché A. L’internalisation des externalités Surproduction de ces externalités. L’entreprise

cotisations sociales. A ce titre, il existe deux formes distingue de cotisation sociale. Le modèle dit Beveridge et le modèle de Bismarck. Ils font référence à des principes de justice sociale radicalement différents. Dans le sens ou les prélèvements sur les revenues des agents et les règles lié aux prestations sociales n'obéisse pas à la même conception de la justice sociale. 1er modèle le modèle de Beveridge : C'est un modèle qui renforce le modèle de l'Etat au sens stricte du terme. L'impôt représente

varie en fonction des revenus. La pension dépend de l'épargne personnelle, de son montant et de la durée d'épargne. Il n'y a pas de solidarité nationale ou intergénérationelle. II. Le système de santé : 2 logiques  A. Les principes système de Bismarck : basé sur la cotisation des personnes qui travaillent : solidarité corporatiste qui devient solidarité professionnelle. Mise en place en France et Allemagne. Limites : chômage, sous emploi (précaires et atypiques), rigueur salariale (les salaires